
Les 124 passagers du vol Fly Air, interdite de vol depuis samedi sont enfin partis lundi matin sur un vol d'Onur Air, interdite de vol quelques semaines au printemps dernier
Cent quarante-huit passagers devaient prendre samedi en fin d'après-midi le vol FLM 802. Mais leur avion, un Airbus A-300 de la compagnie turque Fly Air, a été immobilisé par la Direction générale de l'aviation civile (DGAC) à la suite d'un contrôle.
Le tour-opérateur Mediades a alors décidé de faire voyager ses passagers sur un avion de la compagnie Onur Air.
Celle-ci avait elle-même fait l'objet, du 12 au 24 mai, d'une interdiction de vol par la France, les Pays-Bas, la Suisse et l'Allemagne, pour raison de sécurité.
L'avion a été contrôlé par la DGAC lundi, et a obtenu l'autorisation de décoller.
Vingt-quatre passagers ont préféré annuler leur voyage, a précisé Mediades, un tour-opérateur français travaillant exclusivement à destination de la Turquie.
L'avion de la Fly Air est reparti dimanche soir à vide de l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle après avoir changé son train d'atterrissage, réglé un problème de fuite de carburant, et obtenu l'agrément de la DGAC, a-t-on appris de source aéroportuaire.
Mediades suspend sa collaboration avec la compagnie en attendant qu'un "contrôle global de la compagnie par la DGAC" lève tous les doutes en matière de sécurité, a déclaré le directeur commercial du tour-opérateur Thomas Fiorito.
Le tour-opérateur Mediades a alors décidé de faire voyager ses passagers sur un avion de la compagnie Onur Air.
Celle-ci avait elle-même fait l'objet, du 12 au 24 mai, d'une interdiction de vol par la France, les Pays-Bas, la Suisse et l'Allemagne, pour raison de sécurité.
L'avion a été contrôlé par la DGAC lundi, et a obtenu l'autorisation de décoller.
Vingt-quatre passagers ont préféré annuler leur voyage, a précisé Mediades, un tour-opérateur français travaillant exclusivement à destination de la Turquie.
L'avion de la Fly Air est reparti dimanche soir à vide de l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle après avoir changé son train d'atterrissage, réglé un problème de fuite de carburant, et obtenu l'agrément de la DGAC, a-t-on appris de source aéroportuaire.
Mediades suspend sa collaboration avec la compagnie en attendant qu'un "contrôle global de la compagnie par la DGAC" lève tous les doutes en matière de sécurité, a déclaré le directeur commercial du tour-opérateur Thomas Fiorito.