Ainsi l’aéroport International de Nice, avec le service technique des bases aériennes, utilise ces outils pour optimiser l’approche aérienne et accroître la capacité de traitement.
En utilisant ceux ci, l’aéroport de Manchester a optimisé l’implantation d’une seconde piste portant sa capacité de traitement à 28 millions de passagers par an contre 18 millions envisagés sans simulation.
Bruit et pollution intégrés
L’aéroport Charles de Gaulle a pu déceler également via cette simulation une faille dans sa capacité à traiter l’accueil des passagers sortant des futurs A 380. Des travaux d’aménagement seront engagés pour répondre à ce problème qui sans la simulation n’aurait pu être détecté.
La simulation intègre aujourd’hui de nouvelles données comme le bruit et la pollution dans le cadre d’une sensibilisation des aéroports à leur aspect environnemental sans oublier les problèmes de sécurité.
Louis Salvaret à Nice - louis.salvaret@tourmag.com
En utilisant ceux ci, l’aéroport de Manchester a optimisé l’implantation d’une seconde piste portant sa capacité de traitement à 28 millions de passagers par an contre 18 millions envisagés sans simulation.
Bruit et pollution intégrés
L’aéroport Charles de Gaulle a pu déceler également via cette simulation une faille dans sa capacité à traiter l’accueil des passagers sortant des futurs A 380. Des travaux d’aménagement seront engagés pour répondre à ce problème qui sans la simulation n’aurait pu être détecté.
La simulation intègre aujourd’hui de nouvelles données comme le bruit et la pollution dans le cadre d’une sensibilisation des aéroports à leur aspect environnemental sans oublier les problèmes de sécurité.
Louis Salvaret à Nice - louis.salvaret@tourmag.com