Depuis samedi dernier, la fédération nationale des transports de voyageurs (FNTV) participe aux cellules de crises du gouvernement.
Elle a recensé tous les autocars disponibles chez environ 1500 adhérents et les a immédiatement mis à disposition de cette cellule.
« Nous avons pu mobiliser dès le début environ 25 000 places et 32 000 lundi soir » estime Serge Montagne, directeur des affaires générales. « Une grande majorité a été utilisée ».
Ces autocars ont été employés pour des services nationaux ou internationaux, au départ des aéroports ou des lieux de séjour, vers le lieu de destination finale des voyageurs.
Mais ils été également très utiles pour assurer les navettes entre les aéroports et les gares SNCF.
Enfin, ils ont permis d'acheminer le personnel navigant des compagnies aériennes vers les aéroports encore ouverts dans le sud du pays.
Elle a recensé tous les autocars disponibles chez environ 1500 adhérents et les a immédiatement mis à disposition de cette cellule.
« Nous avons pu mobiliser dès le début environ 25 000 places et 32 000 lundi soir » estime Serge Montagne, directeur des affaires générales. « Une grande majorité a été utilisée ».
Ces autocars ont été employés pour des services nationaux ou internationaux, au départ des aéroports ou des lieux de séjour, vers le lieu de destination finale des voyageurs.
Mais ils été également très utiles pour assurer les navettes entre les aéroports et les gares SNCF.
Enfin, ils ont permis d'acheminer le personnel navigant des compagnies aériennes vers les aéroports encore ouverts dans le sud du pays.
Une réglementation assouplie
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Pour que les conducteurs puissent circuler plus de 6 jours consécutifs, contrairement à la réglementation en vigueur, la fédération a également demandé la prise d’un arrêté préfectoral. Ce qui leur a été accordé.
« L’autocar prouve ainsi sa souplesse et sa réactivité face à un évènement d’une telle ampleur. C’est un maillon incontournable de la chaîne de déplacement » estime Serge Montagne.
L’occasion de donner une bonne image de la profession, et de mettre en avant ses avantages de flexibilité et de souplesse.
Chez Eurolines, les employés sont également sur le pied de guerre pour dépanner les passagers. Le nombre de bus au départ de Paris a été doublé, passant de 30 à 60 par jour depuis vendredi dernier.
Les dessertes du Royaume-Uni, des Pays-Bas, de l’Italie, de l’Espagne et de la Scandinavie ont été renforcées. « Nous fonctionnons en flux tendu et nous pouvons rajouter des bus à tout moment.
Par exemple, 25 cars ont été mis en place lundi après midi pour l’Espagne », explique Céline Heller d’Eurolines.
Coté prix, les tarifs n’ont pas été augmenté, même si la compagnie doit faire appel à des appareils qui ne font pas partie de sa flotte et donc coûtent plus cher.
« L’autocar prouve ainsi sa souplesse et sa réactivité face à un évènement d’une telle ampleur. C’est un maillon incontournable de la chaîne de déplacement » estime Serge Montagne.
L’occasion de donner une bonne image de la profession, et de mettre en avant ses avantages de flexibilité et de souplesse.
Chez Eurolines, les employés sont également sur le pied de guerre pour dépanner les passagers. Le nombre de bus au départ de Paris a été doublé, passant de 30 à 60 par jour depuis vendredi dernier.
Les dessertes du Royaume-Uni, des Pays-Bas, de l’Italie, de l’Espagne et de la Scandinavie ont été renforcées. « Nous fonctionnons en flux tendu et nous pouvons rajouter des bus à tout moment.
Par exemple, 25 cars ont été mis en place lundi après midi pour l’Espagne », explique Céline Heller d’Eurolines.
Coté prix, les tarifs n’ont pas été augmenté, même si la compagnie doit faire appel à des appareils qui ne font pas partie de sa flotte et donc coûtent plus cher.