Le mode de répercussion de la hausse des prix varie d'un voyagiste à l'autre, en général sous la forme d'un forfait, et la hausse est applicable selon les voyagistes entre le 1er et le 15 juillet, pour une durée indéterminée. Ainsi, Kuoni a décidé d'appliquer, à compter du 12 juillet, des augmentations forfaitaires de 9 euros et 15 euros selon les compagnies aériennes et les destinations, a indiqué le voyagiste.
Jet Tours a précisé appliquer un forfait unique de 9 euros à compter du 1er juillet pour les personnes déjà inscrites, du 1er juin pour les nouvelles inscriptions. Fram applique un forfait de 8 euros ou 12 euros selon les compagnies, a indiqué une porte-parole.
Voyagistes : manque de visibilité sur l'été
Selon la loi de 1992 régissant leur profession, les tour-opérateurs ne peuvent répercuter une hausse des carburants que sur les forfaits pour un
départ au-delà de trente jours, soit actuellement pour début juillet. Après ce délai, le client peut refuser la hausse et annuler sans frais.
Bien qu'un certain nombre de Cies (dont Air France) aient annoncé qu'en cas de baisse significative elles pourraient revoir à la baisse leurs tarifs, René-Marc Chikli, n'y croit pas. "Il y a peu de chances pour que les Cie européennes le fassent et puis il n'y a tout simplement pas d'exemple passé.
Pour le président du CETO ces hausses viennent, dans un climat d'incertitude et un "manque de visibilité sur l'été, compliquer un marché qui n'est déjà pas facile. On n'avait pas besoin de ça !"
Jet Tours a précisé appliquer un forfait unique de 9 euros à compter du 1er juillet pour les personnes déjà inscrites, du 1er juin pour les nouvelles inscriptions. Fram applique un forfait de 8 euros ou 12 euros selon les compagnies, a indiqué une porte-parole.
Voyagistes : manque de visibilité sur l'été
Selon la loi de 1992 régissant leur profession, les tour-opérateurs ne peuvent répercuter une hausse des carburants que sur les forfaits pour un
départ au-delà de trente jours, soit actuellement pour début juillet. Après ce délai, le client peut refuser la hausse et annuler sans frais.
Bien qu'un certain nombre de Cies (dont Air France) aient annoncé qu'en cas de baisse significative elles pourraient revoir à la baisse leurs tarifs, René-Marc Chikli, n'y croit pas. "Il y a peu de chances pour que les Cie européennes le fassent et puis il n'y a tout simplement pas d'exemple passé.
Pour le président du CETO ces hausses viennent, dans un climat d'incertitude et un "manque de visibilité sur l'été, compliquer un marché qui n'est déjà pas facile. On n'avait pas besoin de ça !"