En réaction aux événements qui se sont produits mercredi 2 octobre au soir et jeudi 3 octobre 2013 matin sur l'île touristique de Nosy Be, l'Office National du Tourisme de Madagascar (ONTM) publie un nouveau communiqué ce vendredi. ( Lire : Madagascar : l'OT rassure les touristes à la suite des échauffourées des 2 et 3 octobre 2013)
L'office y explique avoir consulté des agences de voyages réceptives malgaches et qu'aucune n'a reçu de demande d'annulation de séjour pour les touristes déjà sur place cette semaine.
Il tient également à préciser qu'il n'y a "pas de connotation xénophobe dans les actes perpétrés par la foule sur les deux victimes européennes (…), car il est clairement établi que la troisième victime est un Malgache."
Par ailleurs, l'ONTM ajoute que les deux victimes européennes sont "connues des locaux depuis plusieurs années et sont présumées être des résidents à Madagascar et non des touristes."
Selon l'OT, la situation est revenue au calme sur l'ensemble de l'île de Nosy Be et dès l'après-midi du jeudi 4 octobre 2013, les voyageurs et la population locale ont pu y circuler normalement.
"L'enquête sur l'origine de cette vengeance populaire est en cours au niveau des autorités malgaches" et "les événements du 2 octobre n'ont pas de précédent à Nosy Be et demeurent à ce jour un acte isolé."
L'office y explique avoir consulté des agences de voyages réceptives malgaches et qu'aucune n'a reçu de demande d'annulation de séjour pour les touristes déjà sur place cette semaine.
Il tient également à préciser qu'il n'y a "pas de connotation xénophobe dans les actes perpétrés par la foule sur les deux victimes européennes (…), car il est clairement établi que la troisième victime est un Malgache."
Par ailleurs, l'ONTM ajoute que les deux victimes européennes sont "connues des locaux depuis plusieurs années et sont présumées être des résidents à Madagascar et non des touristes."
Selon l'OT, la situation est revenue au calme sur l'ensemble de l'île de Nosy Be et dès l'après-midi du jeudi 4 octobre 2013, les voyageurs et la population locale ont pu y circuler normalement.
"L'enquête sur l'origine de cette vengeance populaire est en cours au niveau des autorités malgaches" et "les événements du 2 octobre n'ont pas de précédent à Nosy Be et demeurent à ce jour un acte isolé."
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