Fermé samedi soir l'aéroport de Funchal reprenait déjà du service ce dimanche après-midi.
Avec 24 heures de retard, les touristes sont rentrés en France. D'autres repartaient déjà hier soir.
« Les dégâts sont énormes mais très localisés. Tous les avions sont partis et revenus.
Nos équipes, que ce soit à Madère ou à Paris, étaient en contact permanent avec nos clients. Ils les ont pris en charge » assure Helmut Stückelshweiger. le patron de Top Travel qui avait quelque 200 clients à Madère la semaine dernière.
Les vacanciers parisiens qui devaient partir samedi soir ont tout de même passé la nuit à l'aéroport pour ne partir qu'hier soir en fin d'après-midi.
Avec 24 heures de retard, les touristes sont rentrés en France. D'autres repartaient déjà hier soir.
« Les dégâts sont énormes mais très localisés. Tous les avions sont partis et revenus.
Nos équipes, que ce soit à Madère ou à Paris, étaient en contact permanent avec nos clients. Ils les ont pris en charge » assure Helmut Stückelshweiger. le patron de Top Travel qui avait quelque 200 clients à Madère la semaine dernière.
Les vacanciers parisiens qui devaient partir samedi soir ont tout de même passé la nuit à l'aéroport pour ne partir qu'hier soir en fin d'après-midi.
Commercialement géré par chacun des TO
Il semble que les choses se soient passé en douceur entre les clients et leur tour-opérateur.
Top of Travel envisagerait de proposer à ses clients des possibilités de report et certainement pas d'annulation sans frais.
Interrogé sur la position du CETO sur la gestion de cette catastrophe, René-Marc Chikli son président, s'est voulu rassurant, confirmant en effet les départs des clients et laissant toute latitude d'action à ses adhérents.
« Nous allons faire comme le Pérou. Cela sera commercialement géré par chacun des tour-opérateurs programmant la destination ».
Top of Travel envisagerait de proposer à ses clients des possibilités de report et certainement pas d'annulation sans frais.
Interrogé sur la position du CETO sur la gestion de cette catastrophe, René-Marc Chikli son président, s'est voulu rassurant, confirmant en effet les départs des clients et laissant toute latitude d'action à ses adhérents.
« Nous allons faire comme le Pérou. Cela sera commercialement géré par chacun des tour-opérateurs programmant la destination ».