Jeudi, de nouveaux défilés sont prévus dans plusieurs grandes agglomérations, notamment à Rio. Cette journée coïncidera avec un match de la Coupe des Confédérations qui se dispute jusqu’au 30 juin - Photo JdL
En plein Coupe des Confédérations et à un an de la Coupe du Monde, les Brésiliens expriment leur ras le bol.
Depuis lundi, le pays est secoué par des manifestations.
Selon les chiffres annoncés dans les médias, ils étaient 250 000 dans plusieurs grandes villes lundi, et 50 000 à Sao Paulo mardi.
Les manifestants entendent protester contre les tarifs d’autobus et de métro trop élevés, les dépenses colossales (11 milliards d’euros) engagées par le pays pour le Mondial, alors même que des services publics comme la santé sont sinistrés.
Jeudi, de nouveaux défilés sont prévus dans plusieurs grandes agglomérations, notamment à Rio.
Cette journée coïncidera avec un match de la Coupe des Confédérations qui se dispute jusqu’au 30 juin.
Depuis lundi, le pays est secoué par des manifestations.
Selon les chiffres annoncés dans les médias, ils étaient 250 000 dans plusieurs grandes villes lundi, et 50 000 à Sao Paulo mardi.
Les manifestants entendent protester contre les tarifs d’autobus et de métro trop élevés, les dépenses colossales (11 milliards d’euros) engagées par le pays pour le Mondial, alors même que des services publics comme la santé sont sinistrés.
Jeudi, de nouveaux défilés sont prévus dans plusieurs grandes agglomérations, notamment à Rio.
Cette journée coïncidera avec un match de la Coupe des Confédérations qui se dispute jusqu’au 30 juin.
RAS du côté des voyagistes
Cette mobilisation ne semble pas troubler pour l'heure les affaires des voyagistes.
Les professionnels contactés, réceptifs, agences, ou TO sont unanimes : rien est à signaler pour les clients sur place ni dans les carnets de commandes.
"Les voyages sur place se déroulent normalement, et il n'y a aucun effet sur les réservations", constate Jean-François Lecomte, gérant de Brésil Aventure qui fait voyager 500 à 600 clients par an dans le pays.
Même son de cloche chez Voyageurs du Monde, qui constate par ailleurs que la destination fait le plein.
Chez Real, réceptif spécialiste du Brésil, comme pour Destino Mundo qui réalise 50% de CA sur le Brésil, même constat également.
Quant au Quai d'Orsay, il ne fait, à l'heure où nous écrivons ses lignes, aucune mention des manifestations dans son conseil aux voyageurs...
Les professionnels contactés, réceptifs, agences, ou TO sont unanimes : rien est à signaler pour les clients sur place ni dans les carnets de commandes.
"Les voyages sur place se déroulent normalement, et il n'y a aucun effet sur les réservations", constate Jean-François Lecomte, gérant de Brésil Aventure qui fait voyager 500 à 600 clients par an dans le pays.
Même son de cloche chez Voyageurs du Monde, qui constate par ailleurs que la destination fait le plein.
Chez Real, réceptif spécialiste du Brésil, comme pour Destino Mundo qui réalise 50% de CA sur le Brésil, même constat également.
Quant au Quai d'Orsay, il ne fait, à l'heure où nous écrivons ses lignes, aucune mention des manifestations dans son conseil aux voyageurs...