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La SNCM ne quittera pas Nice laissant les quais niçois à son challenger Corsica Ferries. Telle est l’assurance faire par Gérard Couturier à Dominique Estève, Président de la CCI. Du 14 avril au 30 septembre, la SNCM proposera deux rotations quotidiennes vers Calvi et Ile Rousse avec le NGV Liamone qui, à 40 nœuds, met Nice à moins de trois heures de La Balagne.
La SNCM proposera 506 traversées soit 110.000 places supplémentaires par rapport à 2005. Pour marquer ce retour, elle a mis en vente 50.000 places à 4,5 euros soit 10 % de sa capacité.
Corsica Ferries réagit avec son « Corsica Shuttle » vers Calvi et de l’Ile Rousse et 20.000 places supplémentaires par semaine en haute saison. Au total elle offrira 1219 traversées soit une offre supérieure à 10 % à 2005.
"Nous avions besoin d'une saine concurrence"
C’est un tarif à 5 euros pour les passagers bénéficiant du tarif réduit grâce à la collectivité territoriale de Corse sans oublier son Jackpot Auto à partir de 9 € (hors taxes et droits de port). « Nous avions besoin d'une saine concurrence sur cette liaison maritime " s’exclame Dominique Estève président de la CCi.
Toutefois, il ne cache pas son inquiétude pour l’avenir. Les deux compagnies abandonnent les NGV (gourmands en carburants) pour des cars ferries plus rapides et plus gros (200 m). Leur accueil dans un port limité en surface repose le problème de son adaptation aux trafics (Corse et croisières).
La SNCM proposera 506 traversées soit 110.000 places supplémentaires par rapport à 2005. Pour marquer ce retour, elle a mis en vente 50.000 places à 4,5 euros soit 10 % de sa capacité.
Corsica Ferries réagit avec son « Corsica Shuttle » vers Calvi et de l’Ile Rousse et 20.000 places supplémentaires par semaine en haute saison. Au total elle offrira 1219 traversées soit une offre supérieure à 10 % à 2005.
"Nous avions besoin d'une saine concurrence"
C’est un tarif à 5 euros pour les passagers bénéficiant du tarif réduit grâce à la collectivité territoriale de Corse sans oublier son Jackpot Auto à partir de 9 € (hors taxes et droits de port). « Nous avions besoin d'une saine concurrence sur cette liaison maritime " s’exclame Dominique Estève président de la CCi.
Toutefois, il ne cache pas son inquiétude pour l’avenir. Les deux compagnies abandonnent les NGV (gourmands en carburants) pour des cars ferries plus rapides et plus gros (200 m). Leur accueil dans un port limité en surface repose le problème de son adaptation aux trafics (Corse et croisières).