Les italiens sont incroyables. Alors que le transport aérien a souffert en 2009, de nombreuses compagnies low cost émergent et parfois disparaissent aussi vite mais qui témoignent que nos voisins transalpins conservent leur esprit d’aventurier de l’entreprise.
Rien de comparable en France où aucun projet de compagnies low cost n’a germé au cours des dernières années contrairement à l’Espagne, l’Allemagne, l’Angleterre, les pays scandinaves ou de l’Est.
Le marché français reste bien verrouillé par Air France qui menace toujours de sortir son projet de low cost via Transavia pour contrer toute velléité de concurrence sur les transversales de province de la part d’Easyjet ou de Ryanair.
Rien de cela n’existe en Italie où la compagnie Air Italy ouvrira fin juillet la ligne Nice-Naples que la compagnie Flyonair, autre italien, abandonne cet été.
Une destination qu’Air France via toujours Transavia aurait pu ouvrir car le trafic existe, Air Littoral l’avait largement démontré en son temps.
Rien de comparable en France où aucun projet de compagnies low cost n’a germé au cours des dernières années contrairement à l’Espagne, l’Allemagne, l’Angleterre, les pays scandinaves ou de l’Est.
Le marché français reste bien verrouillé par Air France qui menace toujours de sortir son projet de low cost via Transavia pour contrer toute velléité de concurrence sur les transversales de province de la part d’Easyjet ou de Ryanair.
Rien de cela n’existe en Italie où la compagnie Air Italy ouvrira fin juillet la ligne Nice-Naples que la compagnie Flyonair, autre italien, abandonne cet été.
Une destination qu’Air France via toujours Transavia aurait pu ouvrir car le trafic existe, Air Littoral l’avait largement démontré en son temps.