Dans une lettre adressée aux professionnels du tourisme de Nouvelle-Calédonie, le directeur de la stratégie de Virgin Blue, David Huttner, met en cause le "contrôle des prix des billets d'avions" décidés par l'ancien gouvernement local, le coût élevé des prestations aéroportuaires et la décision "du syndicat des agents de voyage de boycotter formellement Virgin Blue".
Au travers de sa filiale Pacific Blue Airlines, Virgin Blue devait commencer à desservir la Nouvelle-Calédonie à partir du 12 octobre, avec deux rotations hebdomadaires entre Brisbane (Queensland) et Nouméa, à des prix variant de 125 à 390 euros.
2 rotations hebdo Brisbane/Nouméa entre 125 et 390 euros
M. Huttner a également indiqué que la compagnie espérait ensuite obtenir des droits sur Sydney et Melbourne "mais qu'aucun signe ne montrait que les droits d'atterrir seront étendus à ces lignes".
Un porte-parole du gouvernement de Nouvelle-Calédonie a fait part de la "surprise" des autorités locales concernant la décision de Virgin Blue, estimant qu'elle cachait peut-être "un changement de stratégie dans le développement de la compagnie sur les destinations du Pacifique".
Le syndicat des agents de voyage a pour sa part démenti tout boycott. Virgin Blue, qui en quatre ans a absorbé 30% du marché intérieur australien, dispose d'une flotte de 48 appareils et s'attaque au Pacifique. Elle dessert pour le moment la Nouvelle-Zélande, Fidji et le Vanuatu.
La Redaction avec Afp - redaction@tourmag.com
Au travers de sa filiale Pacific Blue Airlines, Virgin Blue devait commencer à desservir la Nouvelle-Calédonie à partir du 12 octobre, avec deux rotations hebdomadaires entre Brisbane (Queensland) et Nouméa, à des prix variant de 125 à 390 euros.
2 rotations hebdo Brisbane/Nouméa entre 125 et 390 euros
M. Huttner a également indiqué que la compagnie espérait ensuite obtenir des droits sur Sydney et Melbourne "mais qu'aucun signe ne montrait que les droits d'atterrir seront étendus à ces lignes".
Un porte-parole du gouvernement de Nouvelle-Calédonie a fait part de la "surprise" des autorités locales concernant la décision de Virgin Blue, estimant qu'elle cachait peut-être "un changement de stratégie dans le développement de la compagnie sur les destinations du Pacifique".
Le syndicat des agents de voyage a pour sa part démenti tout boycott. Virgin Blue, qui en quatre ans a absorbé 30% du marché intérieur australien, dispose d'une flotte de 48 appareils et s'attaque au Pacifique. Elle dessert pour le moment la Nouvelle-Zélande, Fidji et le Vanuatu.
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