"La Nouvelle-Calédonie doit élaborer un programme de développement clair et fédérateur. L'objectif de ces Assises est de réveiller un développement touristique en panne", a déclaré M. Bertrand.
Organisées dans le cadre du Congrès annuel de l'Association des maires d'Outre-mer (ACD'OM), les Assises du tourisme en Calédonie ont rassemblé près de 200 élus de tout l'Outre-mer ainsi que de nombreux professionnels.
Tout en soulignant le "patrimoine naturel unique" de la Nouvelle-Calédonie, Léon Bertrand a indiqué que l'archipel souffrait "d'une desserte aérienne instable" et "d'une grande faiblesse" de l'offre touristique en dehors de Nouméa, "malgré les efforts".
"Desserte aérienne instable" et "d'une grande faiblesse"
Depuis une vingtaine d'année, la fréquentation touristique en Nouvelle-Calédonie stagne aux alentours de 100.000 visiteurs par an, en raison notamment d'une desserte aérienne onéreuse et insuffisante, d'une promotion mal organisée et du rapport qualité-prix des séjours déséquilibré.
"Le tourisme mondial connaît une croissance permanente de l'ordre de 5% par an, alors que nous, nous régressons d'environ 1 à 2% chaque année", a déclaré Philippe Gomes, président de la province sud.
Pour la première fois depuis de nombreuses années, le nombre de touristes devrait passer en 2004 sous la barre des 100.000, essentiellement à cause d'un recul de plus de 10% de la clientèle métropolitaine.
Un état des lieux général pour le 1er semestre 2005
Philippe Gomes a en revanche souligné que dans la région des destinations telles que Fidji, les îles Cook ou la Polynésie française avaient connu une hausse de leur fréquentation, malgré "les impacts négatifs de l'épidémie de pneumonie atypique et des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis".
Pour tenter de relancer le tourisme calédonien, les autorités locales ont confié une expertise à un cabinet d'ingénierie métropolitain, dont les Assises organisées mardi constituaient la première étape. Un état des lieux général au cours du premier semestre 2005 doit jeter les bases de la mise en oeuvre d'un plan de développement.
La rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
Organisées dans le cadre du Congrès annuel de l'Association des maires d'Outre-mer (ACD'OM), les Assises du tourisme en Calédonie ont rassemblé près de 200 élus de tout l'Outre-mer ainsi que de nombreux professionnels.
Tout en soulignant le "patrimoine naturel unique" de la Nouvelle-Calédonie, Léon Bertrand a indiqué que l'archipel souffrait "d'une desserte aérienne instable" et "d'une grande faiblesse" de l'offre touristique en dehors de Nouméa, "malgré les efforts".
"Desserte aérienne instable" et "d'une grande faiblesse"
Depuis une vingtaine d'année, la fréquentation touristique en Nouvelle-Calédonie stagne aux alentours de 100.000 visiteurs par an, en raison notamment d'une desserte aérienne onéreuse et insuffisante, d'une promotion mal organisée et du rapport qualité-prix des séjours déséquilibré.
"Le tourisme mondial connaît une croissance permanente de l'ordre de 5% par an, alors que nous, nous régressons d'environ 1 à 2% chaque année", a déclaré Philippe Gomes, président de la province sud.
Pour la première fois depuis de nombreuses années, le nombre de touristes devrait passer en 2004 sous la barre des 100.000, essentiellement à cause d'un recul de plus de 10% de la clientèle métropolitaine.
Un état des lieux général pour le 1er semestre 2005
Philippe Gomes a en revanche souligné que dans la région des destinations telles que Fidji, les îles Cook ou la Polynésie française avaient connu une hausse de leur fréquentation, malgré "les impacts négatifs de l'épidémie de pneumonie atypique et des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis".
Pour tenter de relancer le tourisme calédonien, les autorités locales ont confié une expertise à un cabinet d'ingénierie métropolitain, dont les Assises organisées mardi constituaient la première étape. Un état des lieux général au cours du premier semestre 2005 doit jeter les bases de la mise en oeuvre d'un plan de développement.
La rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com