
la décision néerlandaise de suspendre les vols de la compagnie turque est fondée sur des problèmes inhérents à la sécurité
La DGAC n'a pas précisé les raisons de cette décision, pas plus d'ailleurs que les autres pays où la Compagnie a été interdite.
Cette suspension intervient après des décisions similaires des autorités de l'aviation civile allemandes, néerlandaises et suisses, jeudi et vendredi. Les Pays-Bas ont interdit jeudi Onur Air, pour un mois, pour des "raisons de sécurité".
Une mesure similaire a ensuite été adoptée par l'Allemagne et selon nos informations, la Suisse aurait fait de même.
Onur Air a menacé de poursuivre en justice l'Allemagne et les Pays-Bas
Selon un copie de la décision des autorités de l'aviation civile néerlandaise, obtenue par l'AFP, la décision de suspendre les vols de la compagnie turque est fondée "sur des déficiences de sécurité sérieuses observées concernant les appareils, les procédures d'opération et la maintenance des avions".
De son côté Onur Air a menacé vendredi de poursuivre en justice l'Allemagne et les Pays-Bas si les deux pays ne donnaient pas d'explication satisfaisante à leurs décisions d'interdiction des vols.
"Nos avions ont vu leurs autorisations de vols suspendues, mais aucune raison n'a été donnée", a avancé le président d'Onur Air, Cankut Bagana. "Si nous ne recevons pas d'explications, nous allons les poursuivre devant une cour de justice aux Pays-Bas et en Allemagne", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse en Turquie, a rapporté l'agence de presse turque Anatolie.
Le ministre des Transports turc Binali Yildirim a de son côté annoncé qu'une réunion entre des responsables de l'aviation civile des trois pays se tiendrait lundi aux Pays-Bas pour régler le conflit.
Mais que fait la DGAC ?
Ceci étant, on a tout de même du mal à comprendre pourquoi il a fallu 24 h aux autorités françaises, avec le tragique accident de Flash Airlines, pour mettre en place une telle décision.
La France qui avait juré ses grands dieux qu'elle allait faire le ménage dans les compagnies charter et mettre en place un "Label Bleu" (que l'on attend toujours...) immédiatement qualifié de mesure "bidon" par les spécialistes.
Alors, on fait quoi pour éradiquer les compagnies poubelles qui mettent en danger l'industrie du tourisme toute entière ?
Cette suspension intervient après des décisions similaires des autorités de l'aviation civile allemandes, néerlandaises et suisses, jeudi et vendredi. Les Pays-Bas ont interdit jeudi Onur Air, pour un mois, pour des "raisons de sécurité".
Une mesure similaire a ensuite été adoptée par l'Allemagne et selon nos informations, la Suisse aurait fait de même.
Onur Air a menacé de poursuivre en justice l'Allemagne et les Pays-Bas
Selon un copie de la décision des autorités de l'aviation civile néerlandaise, obtenue par l'AFP, la décision de suspendre les vols de la compagnie turque est fondée "sur des déficiences de sécurité sérieuses observées concernant les appareils, les procédures d'opération et la maintenance des avions".
De son côté Onur Air a menacé vendredi de poursuivre en justice l'Allemagne et les Pays-Bas si les deux pays ne donnaient pas d'explication satisfaisante à leurs décisions d'interdiction des vols.
"Nos avions ont vu leurs autorisations de vols suspendues, mais aucune raison n'a été donnée", a avancé le président d'Onur Air, Cankut Bagana. "Si nous ne recevons pas d'explications, nous allons les poursuivre devant une cour de justice aux Pays-Bas et en Allemagne", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse en Turquie, a rapporté l'agence de presse turque Anatolie.
Le ministre des Transports turc Binali Yildirim a de son côté annoncé qu'une réunion entre des responsables de l'aviation civile des trois pays se tiendrait lundi aux Pays-Bas pour régler le conflit.
Mais que fait la DGAC ?
Ceci étant, on a tout de même du mal à comprendre pourquoi il a fallu 24 h aux autorités françaises, avec le tragique accident de Flash Airlines, pour mettre en place une telle décision.
La France qui avait juré ses grands dieux qu'elle allait faire le ménage dans les compagnies charter et mettre en place un "Label Bleu" (que l'on attend toujours...) immédiatement qualifié de mesure "bidon" par les spécialistes.
Alors, on fait quoi pour éradiquer les compagnies poubelles qui mettent en danger l'industrie du tourisme toute entière ?