Chez Thomas Cookland ce n'est pas que du bonheur...
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Les départs récents d’Olivier de Nicola et Hubert Chemla ont créé un véritable tsunami dans l’entreprise. D’autant que c’est à une véritable saignée que l’on assiste au sein du management.
Si le départ du directeur du réseau, Jacques Bœuf, à la retraite, n’est pas lié directement à la dernière décision des actionnaires, d’autres démissions le sont : celle de Jordan Perez, directeur des accords commerciaux et celle de Françis Marianne, directeur des ressources humaines.
Et les syndicats craignent d‘autres départs parmi les cadres supérieurs trop marqués par l‘équipe managériale précédente.
« Nous avons appris le départ de Olivier de Nicola par la presse. Cela a eu un effet boomerang pendant les trois jours qui ont suivi cette annonce. Tous les employés s’échangeaient des mails pour tenter d’en savoir plus. Nous regrettons sincèrement le départ d’Olivier de Nicola et Hubert Chemla qui avaient réussi à mettre en place une vraie dynamique », explique une voix syndicale.
La tâche de Denis Wathier ne sera pas facile...
D’autant que leurs arrivées avaient coïncidé avec le premier plan social de 2005/06 qui s’était soldé par 136 départs. Même si Denis Wathier le remplaçant d’Olivier de Nicola a tenu des propos rassurants - dans la presse mais rien en interne - les syndicats sont loin d’être convaincus.
Difficile de l’être lorsqu’une provision de 14 me aurait été inscrite au budget pour financer un nouveau plan social en France. Le réseau compte 1573 salariés à l’heure actuelle. Pour combien de temps ?
Dans le même temps, les syndicats s’apprêtent à lancer un droit d’alerte à propos des mouvements de capitaux qui passent d’une structure française à l’autre. En l’occurrence 8 millions d’euros que Thomas Cook Voyages aurait à verser à Thomas Cook France.
Autant dire que la tâche de Denis Wathier ne sera pas facile. A en croire les syndicats, l’ entreprise est traumatisée et donc peu concentrée sur ses tâches. Saura-t-il ou pourra-t-il la rassurer et la redynamiser ?
Début de réponse à la fin de cette semaine.
Si le départ du directeur du réseau, Jacques Bœuf, à la retraite, n’est pas lié directement à la dernière décision des actionnaires, d’autres démissions le sont : celle de Jordan Perez, directeur des accords commerciaux et celle de Françis Marianne, directeur des ressources humaines.
Et les syndicats craignent d‘autres départs parmi les cadres supérieurs trop marqués par l‘équipe managériale précédente.
« Nous avons appris le départ de Olivier de Nicola par la presse. Cela a eu un effet boomerang pendant les trois jours qui ont suivi cette annonce. Tous les employés s’échangeaient des mails pour tenter d’en savoir plus. Nous regrettons sincèrement le départ d’Olivier de Nicola et Hubert Chemla qui avaient réussi à mettre en place une vraie dynamique », explique une voix syndicale.
La tâche de Denis Wathier ne sera pas facile...
D’autant que leurs arrivées avaient coïncidé avec le premier plan social de 2005/06 qui s’était soldé par 136 départs. Même si Denis Wathier le remplaçant d’Olivier de Nicola a tenu des propos rassurants - dans la presse mais rien en interne - les syndicats sont loin d’être convaincus.
Difficile de l’être lorsqu’une provision de 14 me aurait été inscrite au budget pour financer un nouveau plan social en France. Le réseau compte 1573 salariés à l’heure actuelle. Pour combien de temps ?
Dans le même temps, les syndicats s’apprêtent à lancer un droit d’alerte à propos des mouvements de capitaux qui passent d’une structure française à l’autre. En l’occurrence 8 millions d’euros que Thomas Cook Voyages aurait à verser à Thomas Cook France.
Autant dire que la tâche de Denis Wathier ne sera pas facile. A en croire les syndicats, l’ entreprise est traumatisée et donc peu concentrée sur ses tâches. Saura-t-il ou pourra-t-il la rassurer et la redynamiser ?
Début de réponse à la fin de cette semaine.