Comme beaucoup de Français aujourd’hui, vous vous demandez où vous pourrez partir en vacances dans les prochaines semaines et les prochains mois.
Alors, que reste-t-il de possible, en dehors de la vieille Europe ?
Si vous regardez une carte du monde vous vous apercevrez vite que l’horizon est toujours bouché côté Asie.
Il reste quelques pays en Afrique certes, mais en famille ça peut poser des problèmes à certains...
L’Océanie a tiré le rideau et l’Amérique du Nord traverse une tourmente qui n’en finit plus.
Mais l’espoir demeure quelque part vers l’Amérique du Sud et surtout en Amérique centrale. Principalement du côté du Costa Rica, petit pays (51 000 Km2) de 5 millions d’habitants, grand comme deux fois la Bretagne, qui accueille les touristes sans exiger de test PCR.
La destination a plutôt bien géré et traversé la crise de la Covid-19, même si elle n’a pas échappé à la dernière flambée. Pourquoi ? Parce que les Costariciens font preuve d’une remarquable discipline en matière de protocoles et de gestes barrière.
Alors, que reste-t-il de possible, en dehors de la vieille Europe ?
Si vous regardez une carte du monde vous vous apercevrez vite que l’horizon est toujours bouché côté Asie.
Il reste quelques pays en Afrique certes, mais en famille ça peut poser des problèmes à certains...
L’Océanie a tiré le rideau et l’Amérique du Nord traverse une tourmente qui n’en finit plus.
Mais l’espoir demeure quelque part vers l’Amérique du Sud et surtout en Amérique centrale. Principalement du côté du Costa Rica, petit pays (51 000 Km2) de 5 millions d’habitants, grand comme deux fois la Bretagne, qui accueille les touristes sans exiger de test PCR.
La destination a plutôt bien géré et traversé la crise de la Covid-19, même si elle n’a pas échappé à la dernière flambée. Pourquoi ? Parce que les Costariciens font preuve d’une remarquable discipline en matière de protocoles et de gestes barrière.
0,03% des terres émergées... 5 à 7% du total de la biodiversité mondiale !
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Tourisme durable : les 5 bonnes nouvelles de février 2023
Le moindre bistrot, le plus petit restaurant comme le plus grand hôtel, disposent tous des dispositifs censés faire barrage au virus : lavage des mains obligatoire, désinfection des chaussures, hydro-gel, prise de température et, parfois même… taux d’oxygène sanguin !
Rien ne vous sera épargné de ce côté là, et force est de constater que c’est plutôt rassurant même si par moments cela peut sembler fastidieux.
Mais ne vous en plaignez pas : vous voulez une destination safe, nature, authentique avec montagnes, volcans, mer et plages à perte de vue ? Alors le Costa Rica est la destination qu’il vous faut !
Cela peut paraître incroyable, mais ce véritable paradis pour les amoureux de la nature, qui représente à peine 0,03% des terres émergées, rassemble 5 à 7% du total de la biodiversité mondiale.
Le Costa Rica mène depuis des décennies une politique exemplaire en matière d’environnement. Plus précisément et depuis la fin des années 1990, la protection de la biodiversité et le développement d'un tourisme durable, sont devenus la priorité absolue de ses différents gouvernements.
Les forêts occupent désormais 52 % du territoire et on y recense 850 espèces d’oiseaux, 180 d’amphibiens, 220 de reptiles, 34 000 insectes, 230 mammifères et un raton laveur... Sans compter les 12 000 espèces de plantes, répertoriées par l’Institut national de la biodiversité.
Dès 1997, le pays lance un label de tourisme durable. Un label suivi l’année suivante d’une loi sur la biodiversité. L'électricité y est produite en quasi-totalité à partir d'énergies renouvelables et le pays affiche une autonomie quasi totale en la matière.
Rien ne vous sera épargné de ce côté là, et force est de constater que c’est plutôt rassurant même si par moments cela peut sembler fastidieux.
Mais ne vous en plaignez pas : vous voulez une destination safe, nature, authentique avec montagnes, volcans, mer et plages à perte de vue ? Alors le Costa Rica est la destination qu’il vous faut !
Cela peut paraître incroyable, mais ce véritable paradis pour les amoureux de la nature, qui représente à peine 0,03% des terres émergées, rassemble 5 à 7% du total de la biodiversité mondiale.
Le Costa Rica mène depuis des décennies une politique exemplaire en matière d’environnement. Plus précisément et depuis la fin des années 1990, la protection de la biodiversité et le développement d'un tourisme durable, sont devenus la priorité absolue de ses différents gouvernements.
Les forêts occupent désormais 52 % du territoire et on y recense 850 espèces d’oiseaux, 180 d’amphibiens, 220 de reptiles, 34 000 insectes, 230 mammifères et un raton laveur... Sans compter les 12 000 espèces de plantes, répertoriées par l’Institut national de la biodiversité.
Dès 1997, le pays lance un label de tourisme durable. Un label suivi l’année suivante d’une loi sur la biodiversité. L'électricité y est produite en quasi-totalité à partir d'énergies renouvelables et le pays affiche une autonomie quasi totale en la matière.
200 volcans de l'arc volcanique d'Amérique centrale
La destination possède plus de 200 volcans qui constituent l'arc volcanique d'Amérique centrale /crédit JDL
Voilà pourquoi le Costa Rica, dont le tourisme représente aujourd’hui 8% du PIB, est l’une des valeurs sûres de l’après Covid-19. Un “après” qui verra des voyageurs de plus en plus exigeants voire intransigeants sur les valeurs environnementales.
Nous vous proposons d’aller faire un petit tour au pays de la “Pura vida”, expression fourre-tout (bonjour, ça va, etc) et que les habitants mettent à toutes les sauces.
Appelée aussi la “Suisse” de l’Amérique du Sud, la destination possède plus de 200 volcans qui constituent l'arc volcanique d'Amérique centrale, lui-même constituant un maillon de la ceinture de feu du Pacifique. Le plus haut cratère (3432m) est celui de l’Irazú.
Nous quittons San José pour nous rendre sur la côte caribéenne. Pour cela on va franchir la chaîne de montagnes, en fait la cordillère volcanique centrale qui divise le pays d’est en ouest sur 110 km.
Nous traversons le Parc national Braulio Carrillo, situé à 38 km de la capitale, et qui constitue la deuxième réserve de biosphère du Costa Rica. Avec ses 50 000 hectares, elle est la plus grande zone protégée de la région centrale et le poumon vert de la capitale,
Le parc est traversé par la route 32 qui donne accès à la vallée centrale et à la province de Limón. Ce sera notre première étape en direction de Tortuguero.
Puerto Limon (environ 60 000 habitants) situé sur la côte caraïbe, est le plus important centre économique et politique de la région avec environ 60 000 habitants. C’est dans la petite île de Quiribri, située à quelques encablures du rivage, que Christophe Colomb, lors de son 5e et dernier voyage en 1502, a jeté l’encre et pris possession du pays.
Une statue de l’illustre navigateur... ainsi que celle de son principal opposant amérindien, célèbrent l’événement.
A Puerto Viejo de Talamanca, quelques kilomètres plus loin vers le sud, la découverte au programme n’est pas seulement géographique. Chez les Bribris, l’une des 8 plus importantes communautés amérindiennes, des familles revendent toute une série de dérivés du cacao et du chocolat proposés par les producteurs de la région : produits de beauté, crèmes et onguents divers pour le Spa ou des tablettes de chocolat pour les plus gourmands.
Le tout laisse rêveur sur les propriétés et les incroyables débouchés de ces graines blanchâtres, extraites des cabosses des cacaoyers, véritable don des Dieux pour la population indigène.
Nous vous proposons d’aller faire un petit tour au pays de la “Pura vida”, expression fourre-tout (bonjour, ça va, etc) et que les habitants mettent à toutes les sauces.
Appelée aussi la “Suisse” de l’Amérique du Sud, la destination possède plus de 200 volcans qui constituent l'arc volcanique d'Amérique centrale, lui-même constituant un maillon de la ceinture de feu du Pacifique. Le plus haut cratère (3432m) est celui de l’Irazú.
Nous quittons San José pour nous rendre sur la côte caribéenne. Pour cela on va franchir la chaîne de montagnes, en fait la cordillère volcanique centrale qui divise le pays d’est en ouest sur 110 km.
Nous traversons le Parc national Braulio Carrillo, situé à 38 km de la capitale, et qui constitue la deuxième réserve de biosphère du Costa Rica. Avec ses 50 000 hectares, elle est la plus grande zone protégée de la région centrale et le poumon vert de la capitale,
Le parc est traversé par la route 32 qui donne accès à la vallée centrale et à la province de Limón. Ce sera notre première étape en direction de Tortuguero.
Puerto Limon (environ 60 000 habitants) situé sur la côte caraïbe, est le plus important centre économique et politique de la région avec environ 60 000 habitants. C’est dans la petite île de Quiribri, située à quelques encablures du rivage, que Christophe Colomb, lors de son 5e et dernier voyage en 1502, a jeté l’encre et pris possession du pays.
Une statue de l’illustre navigateur... ainsi que celle de son principal opposant amérindien, célèbrent l’événement.
A Puerto Viejo de Talamanca, quelques kilomètres plus loin vers le sud, la découverte au programme n’est pas seulement géographique. Chez les Bribris, l’une des 8 plus importantes communautés amérindiennes, des familles revendent toute une série de dérivés du cacao et du chocolat proposés par les producteurs de la région : produits de beauté, crèmes et onguents divers pour le Spa ou des tablettes de chocolat pour les plus gourmands.
Le tout laisse rêveur sur les propriétés et les incroyables débouchés de ces graines blanchâtres, extraites des cabosses des cacaoyers, véritable don des Dieux pour la population indigène.
Tortuguero : au paradis des tortues vertes
Avec plus de 1400 espèces de ces arbres le Costa Rica figure parmi les producteurs les plus fertiles d’Amérique centrale en matière de cacao. Mais il est aussi très bien placé en ce qui concerne le café. Nous y reviendrons.
Au sud de Limon, vous trouverez quelques-unes des plus belles plages : Cahuita, Puerto Viejo (LIRE Costa Rica : vivez une expérience "martienne" à Puerto Viejo), Manzanillo, etc.
Au nord se trouve Tortuguero, notre prochaine destination, avant la région de Turrialba, dans le centre.
Créé en 1970, le Parc national de Tortuguero abrite la plus importante plage de nidification des tortues vertes de l'hémisphère occidental. Accessible uniquement par bateau ou par avion, il est le 2e Parc le plus fréquenté du Costa Rica.
Ici la végétation tropicale est luxuriante et pour cause : c'est l'une des régions les plus pluvieuses du pays. Il y tombe 6000 mm d’eau par an.
Nous logeons au Pachira Lodge, l’un des nombreux hôtels de la zone. Sa particularité : offrir des chambres largement ouvertes, très confortables et connectées avec l’extérieur à l’aide de grandes ouvertures protégées (indispensable) par des moustiquaires.
Vous vous endormez au son des grenouilles, vous vous réveillez avec les cris des singes hurleurs… Difficile de faire plus nature, non ?
Les activités ne manquent pas : balades à bateau avec des guides pour découvrir l’incroyable richesse de la faune et de la flore, kayak dans les canaux qui parsèment la forêt et, si l’époque est propice, une sortie nocturne inoubliable pour aller observer, avec guide et protocole strict, la ponte des tortues.
Au sud de Limon, vous trouverez quelques-unes des plus belles plages : Cahuita, Puerto Viejo (LIRE Costa Rica : vivez une expérience "martienne" à Puerto Viejo), Manzanillo, etc.
Au nord se trouve Tortuguero, notre prochaine destination, avant la région de Turrialba, dans le centre.
Créé en 1970, le Parc national de Tortuguero abrite la plus importante plage de nidification des tortues vertes de l'hémisphère occidental. Accessible uniquement par bateau ou par avion, il est le 2e Parc le plus fréquenté du Costa Rica.
Ici la végétation tropicale est luxuriante et pour cause : c'est l'une des régions les plus pluvieuses du pays. Il y tombe 6000 mm d’eau par an.
Nous logeons au Pachira Lodge, l’un des nombreux hôtels de la zone. Sa particularité : offrir des chambres largement ouvertes, très confortables et connectées avec l’extérieur à l’aide de grandes ouvertures protégées (indispensable) par des moustiquaires.
Vous vous endormez au son des grenouilles, vous vous réveillez avec les cris des singes hurleurs… Difficile de faire plus nature, non ?
Les activités ne manquent pas : balades à bateau avec des guides pour découvrir l’incroyable richesse de la faune et de la flore, kayak dans les canaux qui parsèment la forêt et, si l’époque est propice, une sortie nocturne inoubliable pour aller observer, avec guide et protocole strict, la ponte des tortues.
Turrialba : le parc du volcan a rouvert depuis le 4 décembre 2020
Il avait joué à la “Belle au bois dormant” pendant plus d’un siècle, avant de se réveiller au début des années 2000 et faire cauchemarder la population, avec des éruptions à répétition depuis une décennie.
Dans cette région riche en loisirs et activités diverses (VTT, treks, rafting…) la fermeture aux visites des abords du cratère, classés parc national depuis janvier 2012, avait plombé considérablement l’économie locale.
Bonne nouvelle : depuis 4 décembre dernier, les accès sont de nouveau ouverts. Les visiteurs vont pouvoir fouler les nombreux sentiers aménagés pour la plus grande joie des acteurs du tourisme local.
Mais le tourisme n’est pas l’unique ressource de la région. Les plantations de café qui s’étendent à perte de vue dans la vallée avant de partir à l’assaut des flancs du volcan, est une richesse non négligeable.
Le Costa Rica, 18e producteur mondial, n’a pas voulu challenger les grosses “cylindrées” du secteur, en pariant plutôt sur la qualité et la variété de l’Arabica, une valeur sûre.
Un pari gagnant comme en témoigne la réussite de la petite communauté d’Aquiares, et de ses 2000 habitants, étroitement associés au “cafetero” éponyme.
Implanté dans la région depuis 1932, Aquiares fait travailler et vivre la quasi-totalité des habitants ! 96% d’entre eux sont propriétaires de leur logement et la petite église coloniale aux couleurs vives, presque centenaire (1925), est inscrite au patrimoine historique national.
Dans cette région riche en loisirs et activités diverses (VTT, treks, rafting…) la fermeture aux visites des abords du cratère, classés parc national depuis janvier 2012, avait plombé considérablement l’économie locale.
Bonne nouvelle : depuis 4 décembre dernier, les accès sont de nouveau ouverts. Les visiteurs vont pouvoir fouler les nombreux sentiers aménagés pour la plus grande joie des acteurs du tourisme local.
Mais le tourisme n’est pas l’unique ressource de la région. Les plantations de café qui s’étendent à perte de vue dans la vallée avant de partir à l’assaut des flancs du volcan, est une richesse non négligeable.
Le Costa Rica, 18e producteur mondial, n’a pas voulu challenger les grosses “cylindrées” du secteur, en pariant plutôt sur la qualité et la variété de l’Arabica, une valeur sûre.
Un pari gagnant comme en témoigne la réussite de la petite communauté d’Aquiares, et de ses 2000 habitants, étroitement associés au “cafetero” éponyme.
Implanté dans la région depuis 1932, Aquiares fait travailler et vivre la quasi-totalité des habitants ! 96% d’entre eux sont propriétaires de leur logement et la petite église coloniale aux couleurs vives, presque centenaire (1925), est inscrite au patrimoine historique national.
Orosi : les fincas s’ouvrent à l’agritourisme
La Galinita Feliz s'est remplumée avec le tourisme et est entre de bonnes mains de bonnes mains avec Guillermo et Fabiola... /crédit JDL
Orosi est l'une des plus anciennes communautés du Costa Rica. C’est une vallée profonde au climat humide, entourée de collines et d'une végétation exubérante. Proche de la capitale, la région est essentiellement tournée vers le tourisme, et la production de café.
Depuis quelques années, l’agri-tourisme y fait aussi une percée remarquée. Des fincas traditionnelles accueillent les visiteurs et développent des petites structures d’accueil. Parmi elles, la grange la “Gallinita Feliz”, qui a décidé d’ouvrir au public ses activités.
Traire une vache, donner le biberon aux veaux, prendre une chèvre dans ses bras, découvrir le poulailler et des poules de tous les horizons, goûter des spécialités locales, faire du cheval ou des balades sur une charrette tirée par un buffle… c’est un monde inédit que les familles découvrent pour le plus grand bonheur des petits et des grands.
Quelques kilomètres plus loin, dans les hauteurs d’Orosi, on découvre la Finca Agropecuaria Queveri
Son lodge familial est une "Posada Turistica", à la fois ferme et refuge rural pouvant accueillir des individuels et des petits groupes.
La maison qui jouit d’une vue imprenable sur la vallée, date des années 30 et possède un charme surannée. Parmi les différentes activités proposées on note le “topo”, pratiqué par les Sabaneros, les cow-boys costariciens.
Cela consiste à mener le bétail dans les pâturages, le surveiller et le ramener en bon ordre à la ferme. Un vrai régal, même pour des cavaliers débutants...
Depuis quelques années, l’agri-tourisme y fait aussi une percée remarquée. Des fincas traditionnelles accueillent les visiteurs et développent des petites structures d’accueil. Parmi elles, la grange la “Gallinita Feliz”, qui a décidé d’ouvrir au public ses activités.
Traire une vache, donner le biberon aux veaux, prendre une chèvre dans ses bras, découvrir le poulailler et des poules de tous les horizons, goûter des spécialités locales, faire du cheval ou des balades sur une charrette tirée par un buffle… c’est un monde inédit que les familles découvrent pour le plus grand bonheur des petits et des grands.
Quelques kilomètres plus loin, dans les hauteurs d’Orosi, on découvre la Finca Agropecuaria Queveri
Son lodge familial est une "Posada Turistica", à la fois ferme et refuge rural pouvant accueillir des individuels et des petits groupes.
La maison qui jouit d’une vue imprenable sur la vallée, date des années 30 et possède un charme surannée. Parmi les différentes activités proposées on note le “topo”, pratiqué par les Sabaneros, les cow-boys costariciens.
Cela consiste à mener le bétail dans les pâturages, le surveiller et le ramener en bon ordre à la ferme. Un vrai régal, même pour des cavaliers débutants...
Ce que les professionnels en pensent...
TourMaG.com a accompagné un éductour au Costa Rica. Des TO spécialistes, des agences et même une start-up, étaient du voyage. Voici leur ressenti sur la destination.
"Quelle belle surprise. S’il y a bien un pays qui s’est préparé au retour des voyageurs sans concessions, c’est le Costa Rica.
Un lavabo et du savon à disposition avant d’entrer quelque part est devenu la norme, comme la prise de température, même dans les endroits les plus isolés du pays : des petites communautés perdues dans la jungle à la bourgade du bord de mer qui sert à manger dans sa propre cuisine en passant par les stations services.
Le masque n’est pas obligatoire et pourtant tout le monde le porte. Les « bulles sociales » sont délimitées dans les espaces communs des hébergements. Bref, ils sont prêts et ils nous attendent.
Les Costariciens sont souriants (même derrière leurs « mascarillas ») avenants et généreux. Meme si le Tourisme représente la 3ème ressource du pays, on sent que leurs sentiments sont sincères. Ce sont de grands gentils, tout simplement.
Concernant la destination en tant que telle : quelle belle surprise et quelle vision ! Tout miser sur l’écologie et la protection de l’environnement pour faire venir les touristes il y a 15 ans relevait de la folie. Et pourtant, après une année comme 2020, il y a fort à parier que le Costa Rica sera d’autant plus l’exemple à suivre.
De la nature, des espaces ouverts, des activités réalisables qu’en petits groupes, de la sensibilisation au développement durable...
Je rentre émerveillée de ce voyage. Émerveillée et gonflée d’optimisme quant à l’avenir de notre secteur. Non le tourisme n’est par mort. Oui, il va falloir voyager différemment.
Oui, le Costa Rica se positionne comme la destination qui coche toutes les cases pour voyager post-covid.
J’ai hâte de rentrer (juste) pour travailler sur des nouveau circuits hors des sentiers battus à proposer à mes voyageurs !
Chloé Proust - Tierra Latina
"Un profond sentiment de liberté, voilà ma première impression, une fois arrivée au Costa Rica. Je découvre alors ce que tout le monde appelle ici la "Pura Vida". Un pays où il fait bon vivre, avec des habitants à la gentillesse inestimable, qui nous offrent une approche exceptionnelle de la nature : faune et flore luxuriante, paysages à couper le souffle, diversité animalière, un vrai zoo à ciel ouvert. Durant plusieurs jours j’en ai pris plein la vue.
Au delà de la beauté du pays je constate avec admiration le stricte respect des mesures sanitaires dans l’ensemble des lieux visités depuis les hôtels jusqu’aux supermarchés en passant par le vendeur ambulant de noix de coco à Tortuguero... et ça c’est impressionnant !
Ici les gestes barrières sont bien ancrés dans les mentalités et on se sent en sécurité..."
Valentine Jean-Richard (Parfums du Monde)
"Le Costa Rica, appelé le "poumon" des Amériques, est un cadeau de la nature avec une végétation luxuriante le long des sentiers ou au bord de plages au sable doré. Dame nature est omniprésente, grâce à une humidité constante. On y découvre des écolodges nichés au cœur de la jungle où la faune a pris possession de l'espace : des singes hurleurs qui vous réveillent le matin , des toucans curieux qui vous regardent sur une branche, des caïmans qui font la sieste sur les troncs émergés le long du fleuve...
Les animaux sont les vrais propriétaires des lieux. Par ailleurs, de nombreuses activités agrémentent vos journées : vélo , rafting sur les fleuves , canoë le long de la rivière et dans les canaux, dignes de « crocodile dundee », randonnée à cheval !
Le tout est réuni dans un pays où règne une grande sécurité , une douceur de vivre et une population accueillante. Vous comprendrez facilement pourquoi la devise du pays est "Pura vida".
Janick Chenu-Ferrein (La Française des Circuits)
"Coup de coeur pour ce paradis vert qu'est le Costa Rica qui enchante par la très grande richesse de sa faune et sa flore encore préservée mais aussi par ses plages sauvages et ses volcans...
Merci à Bertrand, notre guide naturaliste, qui a su transmettre sa passion et partager ses connaissances, contribuant ainsi à rendre ce voyage fascinant.
Dans ce contexte mondiale difficile post confinement, avec tout un protocole à respecter, ce voyage a été une véritable bouffée d'oxygène d'autant plus appréciable grâce à l'extrême bienveillance des Costariciens.
Pura Vida!
Pascale Pomarico (Alma Latina)
"J’ai eu la chance de participer à ce voyage au Costa Rica organisé par l’ICT qui a été riche en découverte.
Cette parenthèse d’une semaine m’a permis de découvrir une région du pays que je ne connaissais pas, à savoir la partie Caraïbes. jungle, volcans, plantations de café ou de cacao, plages sauvages de sable noir ou de sable blanc et Parcs Nationaux, font partie des beautés naturelles du pays.
À mon sens, le Costa Rica est une destination idéale pour tous types de voyageurs, mais particulièrement les amoureux de la nature, la faune et la flore. Il s’agit d’une destination très verte, aventure, une vraie immersion dans la nature plus qu’impressionnante du pays.
La diversité des paysages en font une destination unique, que l’on peut, par ailleurs, découvrir à pied, en voiture, à cheval, en bateau à moteur, à vélo, ou encore en kayak.
Nous avons eu la chance de découvrir la gentillesse des Ticos, d’être toujours extrêmement bien accueillis et de découvrir ce pays accompagné d’un excellent guide passionné.
Lors de ce voyage, nous avons pu voir tous les protocoles mis en place contre le Covid dans le pays : prise de température, port du masque et lavage des mains à l’arrivée dans chaque hôtel, mais aussi avant toutes activités. Je n’ai pas trouvé cela trop contraignant et pense réellement que cela peut rassurer les voyageurs. J’ai pu me rendre compte aussi que le pays et les acteurs du tourisme étaient prêts à recevoir des touristes de nouveau.
Je n’hésiterais pas à mettre en avant la destination auprès de mes clients. Rien de mieux que de se réveiller au milieu de la jungle, au son du chant des oiseaux et cris des singes hurleurs pour un vrai dépaysement ;)
Aurélie Robert (Worldia)
Le site de l'Office du Tourisme (ICT) www.visitcostarica.com site de l'Office du Tourisme (ICT) https://www.visitcostarica.com/fr
"Quelle belle surprise. S’il y a bien un pays qui s’est préparé au retour des voyageurs sans concessions, c’est le Costa Rica.
Un lavabo et du savon à disposition avant d’entrer quelque part est devenu la norme, comme la prise de température, même dans les endroits les plus isolés du pays : des petites communautés perdues dans la jungle à la bourgade du bord de mer qui sert à manger dans sa propre cuisine en passant par les stations services.
Le masque n’est pas obligatoire et pourtant tout le monde le porte. Les « bulles sociales » sont délimitées dans les espaces communs des hébergements. Bref, ils sont prêts et ils nous attendent.
Les Costariciens sont souriants (même derrière leurs « mascarillas ») avenants et généreux. Meme si le Tourisme représente la 3ème ressource du pays, on sent que leurs sentiments sont sincères. Ce sont de grands gentils, tout simplement.
Concernant la destination en tant que telle : quelle belle surprise et quelle vision ! Tout miser sur l’écologie et la protection de l’environnement pour faire venir les touristes il y a 15 ans relevait de la folie. Et pourtant, après une année comme 2020, il y a fort à parier que le Costa Rica sera d’autant plus l’exemple à suivre.
De la nature, des espaces ouverts, des activités réalisables qu’en petits groupes, de la sensibilisation au développement durable...
Je rentre émerveillée de ce voyage. Émerveillée et gonflée d’optimisme quant à l’avenir de notre secteur. Non le tourisme n’est par mort. Oui, il va falloir voyager différemment.
Oui, le Costa Rica se positionne comme la destination qui coche toutes les cases pour voyager post-covid.
J’ai hâte de rentrer (juste) pour travailler sur des nouveau circuits hors des sentiers battus à proposer à mes voyageurs !
Chloé Proust - Tierra Latina
"Un profond sentiment de liberté, voilà ma première impression, une fois arrivée au Costa Rica. Je découvre alors ce que tout le monde appelle ici la "Pura Vida". Un pays où il fait bon vivre, avec des habitants à la gentillesse inestimable, qui nous offrent une approche exceptionnelle de la nature : faune et flore luxuriante, paysages à couper le souffle, diversité animalière, un vrai zoo à ciel ouvert. Durant plusieurs jours j’en ai pris plein la vue.
Au delà de la beauté du pays je constate avec admiration le stricte respect des mesures sanitaires dans l’ensemble des lieux visités depuis les hôtels jusqu’aux supermarchés en passant par le vendeur ambulant de noix de coco à Tortuguero... et ça c’est impressionnant !
Ici les gestes barrières sont bien ancrés dans les mentalités et on se sent en sécurité..."
Valentine Jean-Richard (Parfums du Monde)
"Le Costa Rica, appelé le "poumon" des Amériques, est un cadeau de la nature avec une végétation luxuriante le long des sentiers ou au bord de plages au sable doré. Dame nature est omniprésente, grâce à une humidité constante. On y découvre des écolodges nichés au cœur de la jungle où la faune a pris possession de l'espace : des singes hurleurs qui vous réveillent le matin , des toucans curieux qui vous regardent sur une branche, des caïmans qui font la sieste sur les troncs émergés le long du fleuve...
Les animaux sont les vrais propriétaires des lieux. Par ailleurs, de nombreuses activités agrémentent vos journées : vélo , rafting sur les fleuves , canoë le long de la rivière et dans les canaux, dignes de « crocodile dundee », randonnée à cheval !
Le tout est réuni dans un pays où règne une grande sécurité , une douceur de vivre et une population accueillante. Vous comprendrez facilement pourquoi la devise du pays est "Pura vida".
Janick Chenu-Ferrein (La Française des Circuits)
"Coup de coeur pour ce paradis vert qu'est le Costa Rica qui enchante par la très grande richesse de sa faune et sa flore encore préservée mais aussi par ses plages sauvages et ses volcans...
Merci à Bertrand, notre guide naturaliste, qui a su transmettre sa passion et partager ses connaissances, contribuant ainsi à rendre ce voyage fascinant.
Dans ce contexte mondiale difficile post confinement, avec tout un protocole à respecter, ce voyage a été une véritable bouffée d'oxygène d'autant plus appréciable grâce à l'extrême bienveillance des Costariciens.
Pura Vida!
Pascale Pomarico (Alma Latina)
"J’ai eu la chance de participer à ce voyage au Costa Rica organisé par l’ICT qui a été riche en découverte.
Cette parenthèse d’une semaine m’a permis de découvrir une région du pays que je ne connaissais pas, à savoir la partie Caraïbes. jungle, volcans, plantations de café ou de cacao, plages sauvages de sable noir ou de sable blanc et Parcs Nationaux, font partie des beautés naturelles du pays.
À mon sens, le Costa Rica est une destination idéale pour tous types de voyageurs, mais particulièrement les amoureux de la nature, la faune et la flore. Il s’agit d’une destination très verte, aventure, une vraie immersion dans la nature plus qu’impressionnante du pays.
La diversité des paysages en font une destination unique, que l’on peut, par ailleurs, découvrir à pied, en voiture, à cheval, en bateau à moteur, à vélo, ou encore en kayak.
Nous avons eu la chance de découvrir la gentillesse des Ticos, d’être toujours extrêmement bien accueillis et de découvrir ce pays accompagné d’un excellent guide passionné.
Lors de ce voyage, nous avons pu voir tous les protocoles mis en place contre le Covid dans le pays : prise de température, port du masque et lavage des mains à l’arrivée dans chaque hôtel, mais aussi avant toutes activités. Je n’ai pas trouvé cela trop contraignant et pense réellement que cela peut rassurer les voyageurs. J’ai pu me rendre compte aussi que le pays et les acteurs du tourisme étaient prêts à recevoir des touristes de nouveau.
Je n’hésiterais pas à mettre en avant la destination auprès de mes clients. Rien de mieux que de se réveiller au milieu de la jungle, au son du chant des oiseaux et cris des singes hurleurs pour un vrai dépaysement ;)
Aurélie Robert (Worldia)
Le site de l'Office du Tourisme (ICT) www.visitcostarica.com site de l'Office du Tourisme (ICT) https://www.visitcostarica.com/fr
LES PARTICIPANTS
Janick CHENU-FERREIN (La Française des Circuits)
Chloé PROUST (Tierra Latina)
Pascale POMARICO (Alma Latina)
Valentine JEAN-RICHARD (Parfums du Monde)
Aurélie ROBERT (Worldia)
Freddy LIZZANO (ICT)
Chloé PROUST (Tierra Latina)
Pascale POMARICO (Alma Latina)
Valentine JEAN-RICHARD (Parfums du Monde)
Aurélie ROBERT (Worldia)
Freddy LIZZANO (ICT)
Covid-19 : les dispositions en vigueur à l'aller et au retour
Pour se rendre au Costa Rica, il n'est plus besoin d'un PCR. En contrepartie les voyageurs devront disposer d'une assurance personnelle les couvrant pour un montant de 50 000 dollars. Une formulaire est également à remplir justifiant de l'assurance en question et d'un certain nombre d'informations. Le questionnaire se traduit par un QR Code à présenter au moment de l'embarquement ainsi que le justificatif de l'assurance.
Les motifs de déplacement à l'heure actuelle restent ceux prévus par les autorités françaises.
En rentrant en France, le décret n°2020-1310 du 29 octobre 2020 modifié fait obligation aux passagers de présenter au transporteur aérien ou maritime, avant leur départ, une déclaration sur l’honneur attestant qu’ils ne présentent pas de symptôme d’infection à la covid-19 et qu’ils n’ont pas connaissance d’avoir été en contact avec un cas confirmé de covid-19 dans les quatorze jours précédant le départ. Ils doivent porter un masque de protection.
En outre, ce décret prévoit que les personnes de onze ans ou plus voyageant par avion ou navire à destination de la France métropolitaine depuis le Costa Rica et ne sont pas en mesure de présenter à leur arrivée en France le résultat d’un examen biologique de dépistage virologique (par exemple test PCR), réalisé moins de 72 heures avant le départ ne concluant pas à une contamination par la covid-19, sont dirigées à l’aéroport ou au port vers un poste de contrôle sanitaire permettant la réalisation d’un tel examen.
Compte tenu de ces dispositions, il est fortement recommandé aux personnes de onze ans ou plus, en provenance du Costa Rica, si elles le peuvent localement, de réaliser ce test virologique, moins de 72 heures avant leur départ.
NDLR - Au retour, (San José-Marseille via Madrid) Iberia s'est contentée de faire signer aux passagers une déclaration avec les coordonnées permettant de retrouver les passagers. Aucun test n'a été pratiqué à Madrid ni à Marseille, malgré le décret.
Les motifs de déplacement à l'heure actuelle restent ceux prévus par les autorités françaises.
En rentrant en France, le décret n°2020-1310 du 29 octobre 2020 modifié fait obligation aux passagers de présenter au transporteur aérien ou maritime, avant leur départ, une déclaration sur l’honneur attestant qu’ils ne présentent pas de symptôme d’infection à la covid-19 et qu’ils n’ont pas connaissance d’avoir été en contact avec un cas confirmé de covid-19 dans les quatorze jours précédant le départ. Ils doivent porter un masque de protection.
En outre, ce décret prévoit que les personnes de onze ans ou plus voyageant par avion ou navire à destination de la France métropolitaine depuis le Costa Rica et ne sont pas en mesure de présenter à leur arrivée en France le résultat d’un examen biologique de dépistage virologique (par exemple test PCR), réalisé moins de 72 heures avant le départ ne concluant pas à une contamination par la covid-19, sont dirigées à l’aéroport ou au port vers un poste de contrôle sanitaire permettant la réalisation d’un tel examen.
Compte tenu de ces dispositions, il est fortement recommandé aux personnes de onze ans ou plus, en provenance du Costa Rica, si elles le peuvent localement, de réaliser ce test virologique, moins de 72 heures avant leur départ.
NDLR - Au retour, (San José-Marseille via Madrid) Iberia s'est contentée de faire signer aux passagers une déclaration avec les coordonnées permettant de retrouver les passagers. Aucun test n'a été pratiqué à Madrid ni à Marseille, malgré le décret.