"Tous les secteurs en profitent, en particulier le sur-mesure (+8%) et les tour-opérateurs d'aventures (+5%)", détaille Lionel Habasque, directeur général délégué. - Photo Google
En 25 ans de présence au Syndicat des tours-opérateurs (Seto), Jean-François Rial, à la tête du groupe Voyageurs du monde, estime n'avoir "jamais vu pareille croissance...".
Les voyagistes qu'il dirige en profitent : sur son exercice 2017 le groupe Voyageurs du monde a réalisé un chiffre d'affaires de 426,9 millions d'euros, en hausse de 12,5%.
"Tous les secteurs en profitent, en particulier le sur mesure (+8%) et les tour-opérateurs d'aventures (+5%)", détaille Lionel Habasque, directeur général délégué.
Surtout, la marque Voyageurs du monde affiche à elle seule une croissance de 25%.
Les voyagistes qu'il dirige en profitent : sur son exercice 2017 le groupe Voyageurs du monde a réalisé un chiffre d'affaires de 426,9 millions d'euros, en hausse de 12,5%.
"Tous les secteurs en profitent, en particulier le sur mesure (+8%) et les tour-opérateurs d'aventures (+5%)", détaille Lionel Habasque, directeur général délégué.
Surtout, la marque Voyageurs du monde affiche à elle seule une croissance de 25%.
Reprise du Moyen-Orient
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Les raisons de cette bonne santé financière sont multiples, d'après Jean-François Rial.
Il évoque, pêle-mêle, la reprise sur le Moyen-Orient, la stratégie de montée en gamme et de spécialisation, ou encore "un effet Macron indiscutable".
"C'est bien simple, aucune zone ne croît pas de moins de 15%", résume le dirigeant.
Parmi les progressions les plus importantes de l'année écoulée, il cite la reprise de l'Egypte, ou le TO s'apprête à lancer une croisière sur le lac Nasser à destination du Soudan, de la Jordanie, d'Oman ou même de la Mauritanie, réouverte depuis peu.
Pour les best-sellers, en termes de chiffre d'affaires, Jean-François Rial parle du Japon, des Etats-Unis, et de l'Afrique du Sud.
Il évoque, pêle-mêle, la reprise sur le Moyen-Orient, la stratégie de montée en gamme et de spécialisation, ou encore "un effet Macron indiscutable".
"C'est bien simple, aucune zone ne croît pas de moins de 15%", résume le dirigeant.
Parmi les progressions les plus importantes de l'année écoulée, il cite la reprise de l'Egypte, ou le TO s'apprête à lancer une croisière sur le lac Nasser à destination du Soudan, de la Jordanie, d'Oman ou même de la Mauritanie, réouverte depuis peu.
Pour les best-sellers, en termes de chiffre d'affaires, Jean-François Rial parle du Japon, des Etats-Unis, et de l'Afrique du Sud.
A l'assaut du monde anglophone
Autre raison de cette hausse de chiffre d'affaires : les rachats, en 2017 de deux tour-opérateurs britanniques (Original Travel et KE Adventure Travel), opération grâce à laquelle la part de clientèle étrangère de Voyageur du Monde s'élève maintenant à 21%, contre 11% en 2016.
"L'acquisition de deux structures au Royaume-Uni nous permet de consolider notre développement externe, et d'élargir notre gamme sur de nouveaux marchés", précise Lionel Habasque.
"Surtout, cela nous permet d'attaquer les marchés anglophones : Etats-unis, Canada ou Australie", ajoute-t-il, précisant que le voyagiste "restait à l’affût" de toutes opportunités de croissance externe sur de nouveaux marchés étrangers.
Pour la première fois cette année, le groupe annonce aussi avoir un bilan carbone neutre, en compensant à 100% ses émissions de CO2 générés par le transport aérien et terrestre de ses voyages.
"Nous compensons le bilan carbone de nos vols par des opérations de reforestation", explique Jean-François Rial. Par exemple, Voyageurs du Monde est engagé dans plusieurs projets de reconstitution de mangroves en Inde ou au Sénégal.
Des engagements que le groupe poursuivra en 2018, année où elle commercialisera de nouveaux voyages sur le marché français, en Corse ou dans les Cévennes par exemple.
Une année qui s'annonce aussi très prometteuse à en croire les premières tendances des départs déjà acquis : +14,5% par rapport à 2017.
"L'acquisition de deux structures au Royaume-Uni nous permet de consolider notre développement externe, et d'élargir notre gamme sur de nouveaux marchés", précise Lionel Habasque.
"Surtout, cela nous permet d'attaquer les marchés anglophones : Etats-unis, Canada ou Australie", ajoute-t-il, précisant que le voyagiste "restait à l’affût" de toutes opportunités de croissance externe sur de nouveaux marchés étrangers.
Pour la première fois cette année, le groupe annonce aussi avoir un bilan carbone neutre, en compensant à 100% ses émissions de CO2 générés par le transport aérien et terrestre de ses voyages.
"Nous compensons le bilan carbone de nos vols par des opérations de reforestation", explique Jean-François Rial. Par exemple, Voyageurs du Monde est engagé dans plusieurs projets de reconstitution de mangroves en Inde ou au Sénégal.
Des engagements que le groupe poursuivra en 2018, année où elle commercialisera de nouveaux voyages sur le marché français, en Corse ou dans les Cévennes par exemple.
Une année qui s'annonce aussi très prometteuse à en croire les premières tendances des départs déjà acquis : +14,5% par rapport à 2017.