TourMaG.com - Pourquoi cette ouverture sur Nice ?
Akbar Al Baker - Nous proposons déjà 14 vols sur Paris, les études de trafic nous ont conduit a envisagé l’ouverture d’une seconde destination sur le Sud de la France et Nice est tout indiquée par l’attractivité de la destination et le potentiel de développement d’une clientèle qui veut utiliser nos vols 5 étoiles pour se rendre sur le Moyen Orient, l’Afrique, l’Océan Indien ou la zone Asie pacifique via notre hub de Doha.
Notre compagnie offre un service de grande qualité. Skytrax nous a décerné le titre de 3ème meilleure qualité au monde.
A Doha au Terminal Premium, les clients de la classe affaires bénéficient d’une gamme de services uniques au monde. Un terminal de 10.000 m2 d’un coût de 100 millions de dollars qui comporte entre autre un spa, un sauna, commerces Duby free, salles de conférences, restaurants…
Avec Nice nous desservons désormais 17 destinations en Europe et 95 dans le monde.
Plus largement depuis février nous avons ouvert Bangalore, Copenhague, Ankara, Tôkyô, Barcelone, Sao Paulo, Buenos –Aires, Phuket et Hanoï. En janvier nous ouvrons Bucarest, Budapest et Bruxelles puis Stuttgart en mars. D’ici 2013 nous prévoyons 120 destinations.
Akbar Al Baker - Nous proposons déjà 14 vols sur Paris, les études de trafic nous ont conduit a envisagé l’ouverture d’une seconde destination sur le Sud de la France et Nice est tout indiquée par l’attractivité de la destination et le potentiel de développement d’une clientèle qui veut utiliser nos vols 5 étoiles pour se rendre sur le Moyen Orient, l’Afrique, l’Océan Indien ou la zone Asie pacifique via notre hub de Doha.
Notre compagnie offre un service de grande qualité. Skytrax nous a décerné le titre de 3ème meilleure qualité au monde.
A Doha au Terminal Premium, les clients de la classe affaires bénéficient d’une gamme de services uniques au monde. Un terminal de 10.000 m2 d’un coût de 100 millions de dollars qui comporte entre autre un spa, un sauna, commerces Duby free, salles de conférences, restaurants…
Avec Nice nous desservons désormais 17 destinations en Europe et 95 dans le monde.
Plus largement depuis février nous avons ouvert Bangalore, Copenhague, Ankara, Tôkyô, Barcelone, Sao Paulo, Buenos –Aires, Phuket et Hanoï. En janvier nous ouvrons Bucarest, Budapest et Bruxelles puis Stuttgart en mars. D’ici 2013 nous prévoyons 120 destinations.
TourMaG.com - Les compagnies européennes comme Air France-KLM ou Lufthansa parlent de concurrence déloyale ?
Akbar Al Baker - C’est triste de constater que la concurrence les effraye. Nous proposons un service de qualité aux Européens. Ils ont perdu le sens de la compétition. Et ils ne sont peut être pas au niveau de qualité que nous offrons.
Ils appréhendent la perte de clientèle. Ils essaient de trouver des excuses face à leur perte de part de marché.
Quant à l’accusation de polluer : nos appareils ont 5 ans d’âge moyen ce qui est très en deçà de l’âge moyen de la flotte des compagnies européennes.
Nous voulons profiter de la crise que traverse le transport aérien pour investir et nous positionner comme acteur majeur du transport international. Mais notre volonté d’ouverture de lignes repose sur des analyses de trafic.
Nous voulons nous positionner là où il y a du trafic et donc des profits à récupérer c’est le cas aujourd’hui sur Nice.
TourMaG.com - Comment jugez-vous l’arrivée de low cost sur long courrier en provenance d’Asie comme Air Asia par exemple ?
Akbar Al Baker - Ce n’est pas notre politique. Nous voulons offrir un produit qui vise l’excellence dans la qualité de service mais avec des tarifs compétitifs.
Toutefois si l’on constate que le trafic low cost prend une part de marché significative sur nos lignes nous avons établi des plans pour créer une compagnie de ce type en moins de trois mois qui sera capable d’éliminer nos concurrents.
Akbar Al Baker - C’est triste de constater que la concurrence les effraye. Nous proposons un service de qualité aux Européens. Ils ont perdu le sens de la compétition. Et ils ne sont peut être pas au niveau de qualité que nous offrons.
Ils appréhendent la perte de clientèle. Ils essaient de trouver des excuses face à leur perte de part de marché.
Quant à l’accusation de polluer : nos appareils ont 5 ans d’âge moyen ce qui est très en deçà de l’âge moyen de la flotte des compagnies européennes.
Nous voulons profiter de la crise que traverse le transport aérien pour investir et nous positionner comme acteur majeur du transport international. Mais notre volonté d’ouverture de lignes repose sur des analyses de trafic.
Nous voulons nous positionner là où il y a du trafic et donc des profits à récupérer c’est le cas aujourd’hui sur Nice.
TourMaG.com - Comment jugez-vous l’arrivée de low cost sur long courrier en provenance d’Asie comme Air Asia par exemple ?
Akbar Al Baker - Ce n’est pas notre politique. Nous voulons offrir un produit qui vise l’excellence dans la qualité de service mais avec des tarifs compétitifs.
Toutefois si l’on constate que le trafic low cost prend une part de marché significative sur nos lignes nous avons établi des plans pour créer une compagnie de ce type en moins de trois mois qui sera capable d’éliminer nos concurrents.
TourMaG.com - Quels sont les développements envisagés à Paris ?
Akbar Al Baker - Au départ de Paris on a mis en service 5 vols par semaine vers Phuket, via Kuala Lumpur et quatre vols par semaine vers Hanoï via Bangkok en complément des vols vers Ho Chi Minh Ville qui est passé en quotidien.
La compagnie augmente ses fréquences vers l’Inde (10 % du réseau international de la compagnie) en faisant passer de 74 à 88 les vols hebdomadaires. Une offre intéressante au départ de Paris via Doha.
Akbar Al Baker - Au départ de Paris on a mis en service 5 vols par semaine vers Phuket, via Kuala Lumpur et quatre vols par semaine vers Hanoï via Bangkok en complément des vols vers Ho Chi Minh Ville qui est passé en quotidien.
La compagnie augmente ses fréquences vers l’Inde (10 % du réseau international de la compagnie) en faisant passer de 74 à 88 les vols hebdomadaires. Une offre intéressante au départ de Paris via Doha.
Zoom sur le vol Nice-Doha
Au centre Akbar Al Baker, PDG de Qatar Airways
Le vol Nice Doha est assurée par un A330-200 de 260 sièges dont 24 en classes affaires.
Ces vols devraient permettre de faciliter l’accès au Sud de la France et de la proche Italie pour la clientèle du Moyen-Orient ou celle venant de l’Asie Pacifique via le hub de Doha et inversement.
Assurée trois fois par semaine, la liaison pourrait en fonction du remplissage passer en direct dès 2011. Ensuite les fréquences pourraient atteindre rapidement un rythme de vol quotidien.
Une démarché similaire à celle adoptée par Emirates sur Nice-Dubaï.
Ces vols devraient permettre de faciliter l’accès au Sud de la France et de la proche Italie pour la clientèle du Moyen-Orient ou celle venant de l’Asie Pacifique via le hub de Doha et inversement.
Assurée trois fois par semaine, la liaison pourrait en fonction du remplissage passer en direct dès 2011. Ensuite les fréquences pourraient atteindre rapidement un rythme de vol quotidien.
Une démarché similaire à celle adoptée par Emirates sur Nice-Dubaï.
Qatar Airways célébrera son anniversaire le 25 novembre lors d’une soirée à la Bourse de Paris où seront conviés TO et agents de voyages et notamment ceux qui vont vendre la ligne Nice-Doha. A Nice Côte d’Azur l’équipe Qatar se compose de trois personnes et pour l’assistance aéroportuaire s’appuie sur Map Handling (AMC Group).
La compagnie est dotée d’une flotte impressionnante de 85 appareils de moins de 5 ans. Elle a commandé plus de 200 appareils pour une valeur de 40 milliards de dollars dont cinq A 380 (bi super jumbo) de 555 places qui seront livrés en 2012 lorsque le nouvel aéroport de Doha sera opérationnel (coût 14,5 milliards de dollars pour une capacité de 24 millions de passagers par an).
Il proposera 80 portes d’embarquement, un terminal de 416.000 m2 dont 25.000 m2 de boutiques et restaurants, un terminal VIP et des hôtels pour les passagers en correspondance…
Il comportera un centre de maintenance avec hangars pouvant abriter 2 A380 et trois A 340 en même temps. Un monorail suspendu transportera les passagers d’un point à un autre. En 2015 l’aéroport pourra traiter 50 millions de passagers par an.
Il proposera 80 portes d’embarquement, un terminal de 416.000 m2 dont 25.000 m2 de boutiques et restaurants, un terminal VIP et des hôtels pour les passagers en correspondance…
Il comportera un centre de maintenance avec hangars pouvant abriter 2 A380 et trois A 340 en même temps. Un monorail suspendu transportera les passagers d’un point à un autre. En 2015 l’aéroport pourra traiter 50 millions de passagers par an.