C'est français, et c'est le premier moteur de recherche à afficher simultanément sur une seule page, et en cinq rubriques - dont un espace pour Open Ggraph et une colonne « shopping » - tous les résultats d'une requête puisés sur le web, les réseaux sociaux et dans les médias.
Il permet aussi à l'internaute d'entrer directement en contact avec les auteurs de messages sur Facebook, Twitter ou encore Google+…
Fondé par Jean-Manuel Rozan, Éric Leandri et la société Pertimm, qui développe des moteurs de recherche professionnels, Qwant est le résultat de plusieurs années de travail et… de quelques millions d'euros d'investissement. Et c'est tout simplement bluffant.
Affichant les derniers messages publics en lien avec le sujet de recherche sur Facebook, Twitter ou Google+, Qwant revient à trouver des réponses en temps réel. L'outil permet par ailleurs d'affiner les recherches par univers et de trouver des réponses insoupçonnées. Le tout en quinze langues, avec un focus possible sur les sites d'une trentaine de pays et zones géographiques !
Pour l'instant, si les résultats de Twitter peuvent ne dater que de quelques… secondes, au-delà des premiers résultats de la section « Web », on peut aussi malheureusement trouver des « informations » datant de… 2009.
Comme, à la requête « technologie+tourisme », le site de Tourism@, qui a hélas disparu et dont plus aucun lien ne fonctionne, évidemment. De petites erreurs de jeunesse, dans cette version Bêta, qui seront sans doute bientôt corrigées par une meilleure attention à l'ordre chronologique inverse.
Mais quel sera le modèle économique de Qwant ? La réponse n'est pas encore claire. Il semble qu'il s'oriente plutôt vers un modèle B to B, avec la capacité de renseigner les marques, et donc des annonceurs, sur ce que disent les gens à leur sujet. [Le Figaro]
En tout état de cause, Qwant représente une réelle nouveauté dans le monde très fermé des moteurs de recherche, où il semblait pourtant jusqu'ici qu'il ne restait plus rien à inventer. A essayer sans plus attendre. C.B.
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Alimentée par l'innovation technologique à laquelle ont recours les compagnies aériennes, les aéroports et… les passagers, notre façon de voyager devrait radicalement changer d'ici 2015, selon l'étude Flying into the Future que vient de publier SITA .
C'est évidemment déjà largement le cas, mais quatre tendances se dessinent :
- Le web et le mobile deviendront les deux principaux canaux de vente, tant pour les aéroports que pour les compagnies, boostés par la demande des passagers pour une personnalisation toujours plus poussée.
- D'ici deux ans, 90 p.c. des compagnies - contre 50 p.c. aujourd'hui - offriront l'enregistrement sur mobile. Les passagers utiliseront leur smartphone pour des cartes d'embarquement 2D ou, comme à Toulouse-Blagnac Airport, des technologies sans contact (NFC).
- Neuf aéroports ou compagnies sur dix, également, fourniront des mises à jour via des applications pour smartphones, également utilisées pour améliorer et personnaliser l'expérience du voyage, en réservant par exemple une place de parking à leur arrivée à l'aéroport, comme à celui d'Edinburgh.
- Plus de 80 p.c. des aéroports, enfin, auront mis en place d'ici 2015 des solutions de business intelligence (BI), qui leur permettront de se focaliser davantage encore sur la satisfaction du client et l'amélioration du service, souvent personnalisé, notamment à travers mes médias sociaux.
Alors qu'on s'attend à ce que leur nombre total dans le monde double d'ici à 2030, « les passagers veulent désormais contrôler tout le déroulement de leur voyage, explique Nigel Pickford, Director Market Insight, depuis la réservation de leur vol jusqu'à l'interaction avec la compagnie et aux types de services qu'ils souhaitent ».
Une infographie résume tous les chiffres des technologies présentes dans l'environnement des aéroports.
Après avoir lancé ses outils dédiés au monde du voyage, le moteur de recherche GraphSearch et l'outil de géolocalisation Nearby, Facebook dédie un spécialiste au secteur : anciennement en poste chez Expedia, Lee McCabe, nommé « head of travel », y sera chargé de développer une relation plus proche avec les hôteliers. [Hospitality-on]
Selon le blog technologique du Wall Street Journal « Allthingdigital», Apple ne travaillerait pas uniquement sur l'iPhone 6 mais aussi sur une montre bracelet reprenant certaines fonctions des smartphones.
Elle se porterait au poignet et disposerait d'un écran tactile très lisible, de capteurs intégrés pour prendre différentes mesures comme le rythme cardiaque ou la tension artérielle, et proposerait plusieurs fonctions inspirées des smartphones, ordinateurs et autres appareils Wifi comme la radio, un GPS ou même la télévision.
Fonctionnant sous iOS, cet objet pourrait contenir le système de reconnaissance vocal Siri, voire même un système de paiement et serait capable de communiquer avec les autres appareils de la marque. [Déplacements Pro]
Présentée comme la première tentative d'optimisation et d'intégration des principaux moteurs de distribution en une seule solution capable de desservir différents canaux de vente, y compris mobile, Airline Commerce Gateway, la nouvelle plate-forme de Farelogix, combine cinq composants : XML Host Connectivity (Direct Connect), un moteur de recherche virtuel de tarifs, un système de commercialisation, un moteur de règles de distribution et un API sous XML. [Mobility Tech Zone]
Basée sur les horaires en vigueur et disponible gratuitement sur App Store ou Google Play, l'application développée par Eurail vient en aide aux détenteurs de son pass ou de celui d'InterRail avec des informations sur la gare la plus proche en réalité augmentée. [Travolution]
Lancé en avril 2012 et proposant plus de 450.000 établissements, le moteur de recherche d'hôtels de Ryanair - alimenté, en fait, par HotelsCombined — a battu tous les records en janvier avec plus de 5,5 millions de visiteurs. [Travolution]
La version mobile du moteur de recherche Kayak a cessé d'intégrer GetYourGuide qui le fournissait en propositions d'excursions et d'activités depuis août 2011. [tnooz]
Les QR codes font littéralement partie du paysage à Rio De Janeiro, puisqu'ils sont intégrés… dans le pavement mosaïque noir et blanc de certains trottoirs de la ville. En le scannant avec son portable, on est redirigé vers un site d'information qui donne au touriste sa position et lui indique le chemin à suivre vers les plages, sites historiques et principaux points d'intérêt de la ville. [1to1 Media]