Le ministère des affaires étrangères des Pays-Bas (CBI) organise depuis plusieurs années des programmes de soutien technique et logistique à destination des réceptifs du monde entier - DR
Pas facile pour un réceptif étranger de s'implanter durablement sur le marché touristique européen, surtout lorsqu'on vient d'un pays en voie de développement.
Pour aider ces jeunes entreprises, le ministère des affaires étrangères des Pays-Bas (CBI) organise depuis plusieurs années des programmes de soutien technique et logistique à destination des réceptifs du monde entier.
Bien loin des politiques d'assistanat, le CBI ne fournit pas de financement mais apporte expertises et conseils.
"Nous leur mettons le pied à l'étrier" explique Bertrand Carrier, l'un des experts du CBI. "Nous leur apprenons à monter un business plan, à lancer des actions commerciales, à contacter des TO ou à séduire une clientèle directe avec leur site internet".
Une sorte de coaching pour aider ces entreprises à mieux comprendre le marché pour s'y implanter durablement.
Pour aider ces jeunes entreprises, le ministère des affaires étrangères des Pays-Bas (CBI) organise depuis plusieurs années des programmes de soutien technique et logistique à destination des réceptifs du monde entier.
Bien loin des politiques d'assistanat, le CBI ne fournit pas de financement mais apporte expertises et conseils.
"Nous leur mettons le pied à l'étrier" explique Bertrand Carrier, l'un des experts du CBI. "Nous leur apprenons à monter un business plan, à lancer des actions commerciales, à contacter des TO ou à séduire une clientèle directe avec leur site internet".
Une sorte de coaching pour aider ces entreprises à mieux comprendre le marché pour s'y implanter durablement.
Une assistance sous plusieurs formes
Cette assistance technique revêt plusieurs formes. Tout d'abord, le CBI met à disposition un stand dans les salons professionnels, à l'instar de l'IFTM où il sera présent en septembre prochain.
Dix réceptifs venant de Jordanie, Madagascar, Bénin, Mongolie, Pérou, Indonésie, Vietnam, Albanie et de Bolivie pourront ainsi utiliser le stand pour rencontrer les professionnels français.
Des sessions de formations et des séminaires portant sur diverses thématiques sont également organisés tout au long de l'année.
Enfin, le site du CBI fournit gratuitement des études pointues sur des marchés de niche en développement dans 13 pays européens, dont la France.
Dix réceptifs venant de Jordanie, Madagascar, Bénin, Mongolie, Pérou, Indonésie, Vietnam, Albanie et de Bolivie pourront ainsi utiliser le stand pour rencontrer les professionnels français.
Des sessions de formations et des séminaires portant sur diverses thématiques sont également organisés tout au long de l'année.
Enfin, le site du CBI fournit gratuitement des études pointues sur des marchés de niche en développement dans 13 pays européens, dont la France.
Un travail d'apprentissage sur le long terme
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Pour participer à ces programmes, les réceptifs doivent répondre à plusieurs critères.
L'entreprise doit être à taille humaine, entre 5 et 50 salariés et être détenue par des capitaux locaux, sans participation de grande multinationale. Deux à trois membres de l'équipe doivent obligatoirement maîtriser l'anglais, à l'oral comme à l'écrit.
Actuellement, les inscriptions sont closes, mais de nouveaux programmes sont en réflexion et devraient être lancés d'ici fin 2013.
Plusieurs pays sont concernés : le Vietnam, les Philippines, l'Indonésie, le Sri Lanka, la Mongolie, le Népal en Asie ; le Kenya, le Mozambique, Madagascar, l'Ethiopie en Afrique ; la Bolivie, le Nicaragua, le Pérou et la Colombie en Amérique Latine.
Chaque réceptif sélectionné est suivi par un expert pendant 5 à 7 ans. Un travail de longue haleine avec des objectifs précis en termes de chiffre d'affaires, de nombre d'employés et de nouveaux partenaires.
"Nous n'avons pas encore de statistiques de résultats, mais lorsque l'entreprise suit notre programme dans sa totalité, tous les objectifs sont généralement atteints " assure Bertrand Carrier.
Pour plus de renseignements, contactez Bertrand Carrier par mail b.carrier@cbi.eu
L'entreprise doit être à taille humaine, entre 5 et 50 salariés et être détenue par des capitaux locaux, sans participation de grande multinationale. Deux à trois membres de l'équipe doivent obligatoirement maîtriser l'anglais, à l'oral comme à l'écrit.
Actuellement, les inscriptions sont closes, mais de nouveaux programmes sont en réflexion et devraient être lancés d'ici fin 2013.
Plusieurs pays sont concernés : le Vietnam, les Philippines, l'Indonésie, le Sri Lanka, la Mongolie, le Népal en Asie ; le Kenya, le Mozambique, Madagascar, l'Ethiopie en Afrique ; la Bolivie, le Nicaragua, le Pérou et la Colombie en Amérique Latine.
Chaque réceptif sélectionné est suivi par un expert pendant 5 à 7 ans. Un travail de longue haleine avec des objectifs précis en termes de chiffre d'affaires, de nombre d'employés et de nouveaux partenaires.
"Nous n'avons pas encore de statistiques de résultats, mais lorsque l'entreprise suit notre programme dans sa totalité, tous les objectifs sont généralement atteints " assure Bertrand Carrier.
Pour plus de renseignements, contactez Bertrand Carrier par mail b.carrier@cbi.eu