Au siège de Salaün Holidays à Châteaulun (Finistère). Michel Salaün avec Richard Ferrand député du Finistère (au centre) et, venu de Paris, Roland de Barbentane directeur général de Ouibus. Photo MS.
Le 7 décembre 2015, 4 mois après la promulgation de la loi Macron libéralisant le transport en autocars, Michel Salaün, président du groupe Salaün, fait un premier bilan de ses trois mois de partenariat avec Ouibus.
Dans cet esprit il a réuni dans ses bureaux de Châteaulun (Finistère) Richard Ferrand, député de la circonscription du Finistère et rapporteur de la loi Macron à l’Assemblée Nationale et, venu de Paris, Roland de Barbentane, directeur général de Ouibus.
« Nous avons vocation de développer sur le marché un mode de transport nouveau, haut de gamme, abordable et propre. Cetet offre doit séduire les automobilistes et concurrencer le covoiturage » a dit en substance Rolande de Barbentane.
Pour donner cet essor nouveau à la mobilité, Ouibus a engagé un partenariat avec 8 opérateurs privés répartis à travers le territoire français.
« Ils ont été choisis en raison de leur professionnalisme, de leur fiabilité, de leur réactivité, de leur capacité à répondre à notre demande de façon pérenne et de leur renommée régionale». C’est un partenariat « gagnant – gagnant » Ouibus s’engageant à prendre en charge les risques sur les recettes.
De son côté, Michel Salaûn, a mis en perspective le désenclavement de sa région en proposant une offre de qualité à petits prix.
Pour cela, sa filiale Salaün Autocars a fait l’acquisition de 16 autocars neufs de 14 mètres – soit un investissement de l’ordre de 4,8 M€. Il a créé 30 nouveaux emplois de conducteurs. 60 le seront à terme sur l’ensemble du contrat.
Dans cet esprit il a réuni dans ses bureaux de Châteaulun (Finistère) Richard Ferrand, député de la circonscription du Finistère et rapporteur de la loi Macron à l’Assemblée Nationale et, venu de Paris, Roland de Barbentane, directeur général de Ouibus.
« Nous avons vocation de développer sur le marché un mode de transport nouveau, haut de gamme, abordable et propre. Cetet offre doit séduire les automobilistes et concurrencer le covoiturage » a dit en substance Rolande de Barbentane.
Pour donner cet essor nouveau à la mobilité, Ouibus a engagé un partenariat avec 8 opérateurs privés répartis à travers le territoire français.
« Ils ont été choisis en raison de leur professionnalisme, de leur fiabilité, de leur réactivité, de leur capacité à répondre à notre demande de façon pérenne et de leur renommée régionale». C’est un partenariat « gagnant – gagnant » Ouibus s’engageant à prendre en charge les risques sur les recettes.
De son côté, Michel Salaûn, a mis en perspective le désenclavement de sa région en proposant une offre de qualité à petits prix.
Pour cela, sa filiale Salaün Autocars a fait l’acquisition de 16 autocars neufs de 14 mètres – soit un investissement de l’ordre de 4,8 M€. Il a créé 30 nouveaux emplois de conducteurs. 60 le seront à terme sur l’ensemble du contrat.
Une logistique inspirée du modèle aérien
Quid du profil clientèle ? « Des jeunes et des seniors qui connaissent notre entreprise et qui nous interrogent. Nous avons ders retour dans nos agences de voyages qui sont un excellent relais physique d’informations ». explique Michel Salaün qui dispose d’un réseau de 70 agences dont 28 en propre.
Les agences de voyages pourraient-elles être un complément à la commercialisation digitale développée par Ouibus ? Posée à Roland de Barbentane, la question n’est pas d’actualité
Les partenaires de Ouibus doivent répondre à un cahier des charges qui impose la sécurité, le confort et une véritable homogénéité des services.
On y relève même le trop rare critère de « bienveillance » que les conducteurs baptisés « capitaines » doivent réserver à leurs clients voyageurs.
« Ouibus assure un stage de formation et je les rencontre tous personnellement », précise Roland de Barbentane.
La logistique mise en place avec géolocalisation et réseaux sociaux qui relaient l’information est directement inspirée du modèle aérien.
Rappelons que tous les autocars doivent être équipés d’un éthylotest anti-démarrage (EAD) et respecter les normes d’émissions de polluants atmosphériques.
Pour le confort des passagers Ouibus, ils sont dotés de 48 à 57 sièges espacés de 78 cm, Wifi gratuit, prises électriques, toilettes.
Les agences de voyages pourraient-elles être un complément à la commercialisation digitale développée par Ouibus ? Posée à Roland de Barbentane, la question n’est pas d’actualité
Les partenaires de Ouibus doivent répondre à un cahier des charges qui impose la sécurité, le confort et une véritable homogénéité des services.
On y relève même le trop rare critère de « bienveillance » que les conducteurs baptisés « capitaines » doivent réserver à leurs clients voyageurs.
« Ouibus assure un stage de formation et je les rencontre tous personnellement », précise Roland de Barbentane.
La logistique mise en place avec géolocalisation et réseaux sociaux qui relaient l’information est directement inspirée du modèle aérien.
Rappelons que tous les autocars doivent être équipés d’un éthylotest anti-démarrage (EAD) et respecter les normes d’émissions de polluants atmosphériques.
Pour le confort des passagers Ouibus, ils sont dotés de 48 à 57 sièges espacés de 78 cm, Wifi gratuit, prises électriques, toilettes.
Nouveau : Brest-Nantes via Vannes et Rennes- Bordeaux via La Rochelle
A partir du 5 janvier 2016 Salaün ouvrira 3 nouvelles lignes Ouibus :
- Brest – Quimper – Lorient – Vannes - Nantes avec un aller-retour par jour,
- Rennes – Nantes - La Rochelle – Bordeaux avec 2 allers et retours par jour,
- Brest Saint-Brieux Rennes Paris
Les billets sont mis en vente à partir de ce 9 décembre (de 5 € jusqu’à 19 €).
Ces lignes s’ajoutent aux lignes déjà assurées :
- Nantes – Angers - Le Mans - Paris (depuis le 4 sept. 2015),
- Paris - Rennes (depuis le 5 oct. 2015),
- Brest – Quimper – Lorient – Rennes - Paris (depuis le 16 nov. 2015), une ligne qui a affiché un taux de remplissage de 82 % durant le premier week-end de décembre. 70 % des clients venaient de la voiture.
Rappelons que Paris propose trois gares routières : Paris La Défense, Paris Bercy et l’aéroport d’Orly.
- Brest – Quimper – Lorient – Vannes - Nantes avec un aller-retour par jour,
- Rennes – Nantes - La Rochelle – Bordeaux avec 2 allers et retours par jour,
- Brest Saint-Brieux Rennes Paris
Les billets sont mis en vente à partir de ce 9 décembre (de 5 € jusqu’à 19 €).
Ces lignes s’ajoutent aux lignes déjà assurées :
- Nantes – Angers - Le Mans - Paris (depuis le 4 sept. 2015),
- Paris - Rennes (depuis le 5 oct. 2015),
- Brest – Quimper – Lorient – Rennes - Paris (depuis le 16 nov. 2015), une ligne qui a affiché un taux de remplissage de 82 % durant le premier week-end de décembre. 70 % des clients venaient de la voiture.
Rappelons que Paris propose trois gares routières : Paris La Défense, Paris Bercy et l’aéroport d’Orly.