La table ronde des tour-opérateurs réunissait lors du congrès Selectour 10 représentants de voyagiste et croisiéristes - Photo JDL
Muriel Bougeard (VisitEurope) : les gens veulent des vacances pas comme tout le monde. On va changer nos excursions et les personnaliser davantage. Nous allons aller vers plus de voyages en immersion dans les destinations.
Patrice Caradec (Bravo Club) : Nous allons lancer un un plan triennal. Nous sommes full B2B. Les Italiens nous ont appris à sortir des sentiers battus avec des destinations telles que les Maldives en tout inclus, Naxos, les Pouilles ou encore Minorque.
Rafelle d'Ambrosio (Costa Croisières) : l’expérience passager ca va être l’enjeu majeur sur le développement durable. On va avoir 2 bateaux au GNL. 2025, branchement à quai à Marseille et 2050 bateau zéro émission. Le travail on l’a fait aussi sur le produit, la gastronomie avec des chefs étoilés et les excursions. Coté distribution : on croit à la valeur ajoutée des agences de voyages.
Aurélien Aufort (Voyamar) : Voyamar est né des agences donc nous avons cette optique dans l’ADN de l’entreprise. Nous allons créer des clubs plus premium baptisés Collection et nous laçons une marque dédiée au tourisme responsable avec une brochure regroupant l’ensemble de l’offre.
Patrice Caradec (Bravo Club) : Nous allons lancer un un plan triennal. Nous sommes full B2B. Les Italiens nous ont appris à sortir des sentiers battus avec des destinations telles que les Maldives en tout inclus, Naxos, les Pouilles ou encore Minorque.
Rafelle d'Ambrosio (Costa Croisières) : l’expérience passager ca va être l’enjeu majeur sur le développement durable. On va avoir 2 bateaux au GNL. 2025, branchement à quai à Marseille et 2050 bateau zéro émission. Le travail on l’a fait aussi sur le produit, la gastronomie avec des chefs étoilés et les excursions. Coté distribution : on croit à la valeur ajoutée des agences de voyages.
Aurélien Aufort (Voyamar) : Voyamar est né des agences donc nous avons cette optique dans l’ADN de l’entreprise. Nous allons créer des clubs plus premium baptisés Collection et nous laçons une marque dédiée au tourisme responsable avec une brochure regroupant l’ensemble de l’offre.
Alain de Mendonça (Fram) : Fram va bien. Notre partenaire nous soutient. Aujourd'hui, on a la chance d’avoir des marques françaises qui percent, Jumbo, Framissima et le Framissima Premium qu'on vient de lancer et qui sera dans notre brochures été.
Gilles Chauvet (MSC Cruises) : MSC est très engagée sur le plan RSE depuis 2 années. Des nouvelles catégories de cabines sont créées. Nous allons laisser aux agences une plus grande latitude pour conseiller le client. La segmentation tarifaires et produits sera meilleure.
Michel Tixier (Asia) : Nous avons été les plus touchés par la fermeture et les premiers. Nous avons testé la France. Il nous fallait trouver de nouveaux terrains de jeu. Le rapprochement avec Intermèdes sur la France et l’Europe et le rachat d’Equatoriales nous permettent de nous diversifier. Nous sommes passés de spécialistes à multi-spécialistes.
Ludovic Esteves (Belambra) : On a investi 300 M€ pour renouveler le parc. On a un vrai enjeu pour expliquer ce qu’est le Club et l’expérience qu’il va trouver chez Belambra. On a besoin des réseaux pour ça.
Olivier Narcy (Ponant) : On va rassurer les clients car beaucoup de nos clients cherchent un interlocuteur physique. La sécurité sanitaire aussi car on nous y attend là dessus.
Nicolas Ivaldi (Héliades) : Nous devons gagner en souplesse et nous voulons développer le à la carte sur des produits différents et devenir exhaustifs, sur des montées en gamme avec notamment des clubs plus premium et installer les clients dans un cadre confortable.
Gilles Chauvet (MSC Cruises) : MSC est très engagée sur le plan RSE depuis 2 années. Des nouvelles catégories de cabines sont créées. Nous allons laisser aux agences une plus grande latitude pour conseiller le client. La segmentation tarifaires et produits sera meilleure.
Michel Tixier (Asia) : Nous avons été les plus touchés par la fermeture et les premiers. Nous avons testé la France. Il nous fallait trouver de nouveaux terrains de jeu. Le rapprochement avec Intermèdes sur la France et l’Europe et le rachat d’Equatoriales nous permettent de nous diversifier. Nous sommes passés de spécialistes à multi-spécialistes.
Ludovic Esteves (Belambra) : On a investi 300 M€ pour renouveler le parc. On a un vrai enjeu pour expliquer ce qu’est le Club et l’expérience qu’il va trouver chez Belambra. On a besoin des réseaux pour ça.
Olivier Narcy (Ponant) : On va rassurer les clients car beaucoup de nos clients cherchent un interlocuteur physique. La sécurité sanitaire aussi car on nous y attend là dessus.
Nicolas Ivaldi (Héliades) : Nous devons gagner en souplesse et nous voulons développer le à la carte sur des produits différents et devenir exhaustifs, sur des montées en gamme avec notamment des clubs plus premium et installer les clients dans un cadre confortable.