Marmara lance la plateforme d’échanges entre voyageurs « Covacanciers », pour créer des relations en amont d’un séjour. ©Marmara
On prend Tinder et Meetic, Covoyageurs et Tripnco…. On mélange.
On y ajoute de la réflexion, de la stratégie et un esprit, qui se révélera ou non, avant-gardiste.
Et on obtient « Co-vacanciers », lancé sous l’égide de Marmara.
Ce site, créé en 2010 et parti depuis dans les oubliettes du web, revient avec un nouveau concept reboosté façon génération Z. "Il s'agit d'un site de rencontres, d'échanges, de partage entre voyageurs", résume Olivier Roche, directeur digital de TUI France.
"Nous avions lancé Marmarafit , un forum de voyageurs où ils publient leurs avis, leurs photos et vidéos sur leurs séjours Marmara. Comme une sorte de TripAdvisor.
Avec Covacanciers, nous poussons le concept plus loin."
En effet le site s'adresse aux clients Marmara mais pas que. "L'idée est que le gens prennent contact avec d'autres personnes pendant la préparation de leur séjour. Des internautes aux mêmes affinités pourront communiquer via cette plateforme.
Qu'ils réservent ou non chez nous", poursuit le directeur e-commerce.
"L’ADN de Marmara est fort. On ne choisit pas des vacances en club par hasard. Dans une société individualiste, certains cherchent plus de collectif.
Cette plateforme va aider les personnes qui veulent partir en club à se rapprocher. Les nouvelles technologies aident les gens à se retrouver, notamment entre communautés.
Si une famille monoparentale désire partir au mois d’août, la plateforme lui permettra de voir les profils similaires et de rentrer en conversation avec eux."
De même pour une personne qui réserve dans un club et qui est à la recherche d'un partenaire de tennis.
"Nous avons repris les codes des sites de rencontres comme Tinder. Les deux profils doivent être d’accord pour communiquer entre eux."
On y ajoute de la réflexion, de la stratégie et un esprit, qui se révélera ou non, avant-gardiste.
Et on obtient « Co-vacanciers », lancé sous l’égide de Marmara.
Ce site, créé en 2010 et parti depuis dans les oubliettes du web, revient avec un nouveau concept reboosté façon génération Z. "Il s'agit d'un site de rencontres, d'échanges, de partage entre voyageurs", résume Olivier Roche, directeur digital de TUI France.
"Nous avions lancé Marmarafit , un forum de voyageurs où ils publient leurs avis, leurs photos et vidéos sur leurs séjours Marmara. Comme une sorte de TripAdvisor.
Avec Covacanciers, nous poussons le concept plus loin."
En effet le site s'adresse aux clients Marmara mais pas que. "L'idée est que le gens prennent contact avec d'autres personnes pendant la préparation de leur séjour. Des internautes aux mêmes affinités pourront communiquer via cette plateforme.
Qu'ils réservent ou non chez nous", poursuit le directeur e-commerce.
"L’ADN de Marmara est fort. On ne choisit pas des vacances en club par hasard. Dans une société individualiste, certains cherchent plus de collectif.
Cette plateforme va aider les personnes qui veulent partir en club à se rapprocher. Les nouvelles technologies aident les gens à se retrouver, notamment entre communautés.
Si une famille monoparentale désire partir au mois d’août, la plateforme lui permettra de voir les profils similaires et de rentrer en conversation avec eux."
De même pour une personne qui réserve dans un club et qui est à la recherche d'un partenaire de tennis.
"Nous avons repris les codes des sites de rencontres comme Tinder. Les deux profils doivent être d’accord pour communiquer entre eux."
Travailler son capital sympathie et récolter de la data
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Derrière cette volonté de partage, de convivialité… Marmara affiche clairement son ambition : « Si les internautes se rencontrent grâce à notre marque, notre capital sympathie sera meilleur.
C’est un moyen de faire parler de nous autrement », explique le directeur digital.
C’est aussi un moyen de récolter quelques data éclairantes : savoir qui sont les personnes qui veulent partir, où, ce qu’elles recherchent…
"Nous allons analyser les envies de voyages et la valeur que ce type de site peut apporter en amont d’un séjour", résume Olivier Roche qui ne veut pas non plus mettre en place une démarche intrusive.
En attendant l'annonce du premier mariage né d'une rencontre sur "Covac", la plateforme compte pour l’instant plus de 2 600 inscrits en quinze jours.
C’est un moyen de faire parler de nous autrement », explique le directeur digital.
C’est aussi un moyen de récolter quelques data éclairantes : savoir qui sont les personnes qui veulent partir, où, ce qu’elles recherchent…
"Nous allons analyser les envies de voyages et la valeur que ce type de site peut apporter en amont d’un séjour", résume Olivier Roche qui ne veut pas non plus mettre en place une démarche intrusive.
En attendant l'annonce du premier mariage né d'une rencontre sur "Covac", la plateforme compte pour l’instant plus de 2 600 inscrits en quinze jours.