L’étude assurée par le Syndicat des agences de voyages (Snav) et l’Odit France sur l'avenir de la profession a été réalisée en deux parties. La première présentée au dernier Top Résa portait sur "Les agences de voyages vues par le consommateur : les clés de la réussite de demain".
Dans le cadre du Conseil national du Snav, hier à Paris, Georges Colson, son président, a présenté la seconde partie, soit le Plan d’action sectoriel 2006-2008 pour la profession.
La réalisation de l’étude a été confiée aux sociétés de conseil KPMG et Itac. C’est le président de cette dernière, Antoine Cachin, qui a détaillé le plan d’action aux administrateurs du Conseil national. On peut citer quelques suggestions faites au Snav.
Une étude confiée à KPMG et Itac
Pourquoi ne pas créer par exemple un site internet relais, via un portail «ombrelle» commun à l’ensemble de la profession et favorisant le dialogue entre tous les métiers ? Quid d’une enseigne métier fixée à l’extérieur des agences, comme la «carotte» des buralistes ? Pourquoi ne pas constituer une commission d’arbitrage des litiges à même de régler les conflits à l’amiable ?
Le Plan d’action rassemble bien d’autres recommandations, à l’adresse des producteurs, réceptifs et surtout distributeurs. L’ensemble de l’étude est publié sous la forme d’un mini-guide d’Odit-France rédigé sous forme de fiches d’actions simples.
Le Snav espère que celui-ci constituera une véritable «boite à outils» pour la profession. Le syndicat va d’ailleurs envoyer ce mini-guide à ses adhérents d’ici une dizaine de jours.
Dans le cadre du Conseil national du Snav, hier à Paris, Georges Colson, son président, a présenté la seconde partie, soit le Plan d’action sectoriel 2006-2008 pour la profession.
La réalisation de l’étude a été confiée aux sociétés de conseil KPMG et Itac. C’est le président de cette dernière, Antoine Cachin, qui a détaillé le plan d’action aux administrateurs du Conseil national. On peut citer quelques suggestions faites au Snav.
Une étude confiée à KPMG et Itac
Pourquoi ne pas créer par exemple un site internet relais, via un portail «ombrelle» commun à l’ensemble de la profession et favorisant le dialogue entre tous les métiers ? Quid d’une enseigne métier fixée à l’extérieur des agences, comme la «carotte» des buralistes ? Pourquoi ne pas constituer une commission d’arbitrage des litiges à même de régler les conflits à l’amiable ?
Le Plan d’action rassemble bien d’autres recommandations, à l’adresse des producteurs, réceptifs et surtout distributeurs. L’ensemble de l’étude est publié sous la forme d’un mini-guide d’Odit-France rédigé sous forme de fiches d’actions simples.
Le Snav espère que celui-ci constituera une véritable «boite à outils» pour la profession. Le syndicat va d’ailleurs envoyer ce mini-guide à ses adhérents d’ici une dizaine de jours.