Le 26 décembre 2004, une vague de 9 à 10 mètres envahissait la plage de Khao Lak sur laquelle se trouvait implanté l'hôtel Sofitel Magic Lagoon.
Cette enquête a pour but de "recenser avec précision l'identité des personnes disparues, d'entendre les plaignants et d'établir avec précision la chronologie des faits et d'éventuelles responsabilités", a-t-on précisé de même source.
Elle fait suite à la plainte contre X pour "homicide involontaire et défaut d'assistance à personne en péril", déposée le 5 septembre par l'association de soutien aux victimes du Sofitel de Khao Lak et de l'essentiel des familles des victimes françaises du tsunami, hébergées au Sofitel.
Les investigations ont été confiées à la brigade de répression de la délinquance contre les personnes, au sein de la police judiciaire parisienne.
Le 26 décembre 2004, une vague de 9 à 10 mètres envahissait la plage de Khao Lak sur laquelle se trouvait implanté l'hôtel Sofitel Magic Lagoon.
135 des 438 clients de l'hôtel, dont 42 touristes français, sont morts dans le raz-de-marée.
"Le parquet se donne la peine de vérifier et d'enquêter, ce qui prouve que nous avons dénoncé des faits susceptibles de constituer une infraction pénale", a commenté lundi Me Gérard Chemla, avocat des 32 familles des victimes qui ont porté plainte.
Elle fait suite à la plainte contre X pour "homicide involontaire et défaut d'assistance à personne en péril", déposée le 5 septembre par l'association de soutien aux victimes du Sofitel de Khao Lak et de l'essentiel des familles des victimes françaises du tsunami, hébergées au Sofitel.
Les investigations ont été confiées à la brigade de répression de la délinquance contre les personnes, au sein de la police judiciaire parisienne.
Le 26 décembre 2004, une vague de 9 à 10 mètres envahissait la plage de Khao Lak sur laquelle se trouvait implanté l'hôtel Sofitel Magic Lagoon.
135 des 438 clients de l'hôtel, dont 42 touristes français, sont morts dans le raz-de-marée.
"Le parquet se donne la peine de vérifier et d'enquêter, ce qui prouve que nous avons dénoncé des faits susceptibles de constituer une infraction pénale", a commenté lundi Me Gérard Chemla, avocat des 32 familles des victimes qui ont porté plainte.