Marie-Christine Garcin tient la chambre d’hôte « Les Toits du Marais » à Paris.
Depuis le mois de juin, elle utilise le service de paiement en ligne proposé par Payplug.
Partis du constat que les petites entreprises ne disposaient d'aucun outil simple pour se faire payer en ligne, Antoine Grimaud et Camille Tyan, ancien de chez Google, ont créé Payplug en 2011.
Pas de frais fixes, pas de contrat monétique ou contrat de vente à distance (VAD) !
En une minute les marchands - des freelances aux e-marchands, en passant par les auto-entrepreneurs ou les associations - peuvent se créer un compte grâce auquel ils accepteront les paiements par carte bancaire.
Dans le secteur du tourisme, la solution s’adapte parfaitement aux petites structures d’hébergement comme les chambres d’hôte mais également aux prestataires d’activités de loisirs.
Depuis le mois de juin, elle utilise le service de paiement en ligne proposé par Payplug.
Partis du constat que les petites entreprises ne disposaient d'aucun outil simple pour se faire payer en ligne, Antoine Grimaud et Camille Tyan, ancien de chez Google, ont créé Payplug en 2011.
Pas de frais fixes, pas de contrat monétique ou contrat de vente à distance (VAD) !
En une minute les marchands - des freelances aux e-marchands, en passant par les auto-entrepreneurs ou les associations - peuvent se créer un compte grâce auquel ils accepteront les paiements par carte bancaire.
Dans le secteur du tourisme, la solution s’adapte parfaitement aux petites structures d’hébergement comme les chambres d’hôte mais également aux prestataires d’activités de loisirs.
Une commission à la réservation uniquement
« J’utilise ce mode de paiement pour les acomptes que me versent mes clients et ça me facilite la vie », précise Marie-Christine Garcin.
Avec Payplug, un professionnel sans compétences techniques se crée un compte en une minute et peut ensuite accepter des paiements en ligne, ceci sans frais fixes.
« La commission est de 2,5% sur la réservation, un tarif moins cher que Paypal », explique Camille Tyan, co-fondateur de la start-up française.
« Les indépendants ont souvent un souci d’engagement et de flexibilité, notre offre est souple. La limite du paiement en un coup est fixée à 5 000 euros », poursuit-il.
Alors que négocier un contrat VAD avec une banque, intégrer une solution à son site et payer un abonnement se révèle souvent bien trop cher et compliqué, Payplug est une solution très concurrentielle pour les petites entreprises.
Et surtout beaucoup moins contraignante que celle proposée par le leader du paiement électronique Paypal.
En effet, Paypal demande au marchand mais aussi à l'acheteur de posséder un compte pour effectuer un paiement en ligne. Une démarche qui peut laisser filer des clients et cyberacheteurs.
Avec Payplug, un professionnel sans compétences techniques se crée un compte en une minute et peut ensuite accepter des paiements en ligne, ceci sans frais fixes.
« La commission est de 2,5% sur la réservation, un tarif moins cher que Paypal », explique Camille Tyan, co-fondateur de la start-up française.
« Les indépendants ont souvent un souci d’engagement et de flexibilité, notre offre est souple. La limite du paiement en un coup est fixée à 5 000 euros », poursuit-il.
Alors que négocier un contrat VAD avec une banque, intégrer une solution à son site et payer un abonnement se révèle souvent bien trop cher et compliqué, Payplug est une solution très concurrentielle pour les petites entreprises.
Et surtout beaucoup moins contraignante que celle proposée par le leader du paiement électronique Paypal.
En effet, Paypal demande au marchand mais aussi à l'acheteur de posséder un compte pour effectuer un paiement en ligne. Une démarche qui peut laisser filer des clients et cyberacheteurs.
Une solution simple d'utilisation
Un formulaire de paiement envoyé par mail ou sms
Avec Payplug, une chambre d'hôte, qui auparavant était limitée aux virements et aux chèques, rentre sur son compte le montant et l'adresse email du client.
Le client reçoit l'email avec un lien vers le formulaire, paie, et le marchand est notifié.
Une application mobile a aussi été développée pour les marchands qui envoient par SMS leur demande de paiement au client. Un lien pointe vers le formulaire.
« La page est entièrement sécurisée, nous travaillons en partenariat avec Credit Mutuelle », ajoute Camille Tyan, jeune entrepreneur.
Il est aussi possible d’intégrer un bouton pour payer directement depuis un site.
"L'envoi du mail prend 5 à 10 secondes et l’envoi est instantané, témoigne l’hôte située à Paris.
C’est très pratique car je peux avoir accès à mon historique de paiement depuis mon compte Payplug.
Et je peux l’imprimer sous forme de tableau Excel. J'ai donc un récapitulatif de mes transactions, une trace précieuse pour ma comptabilité."
En France, on dénombre moins d'un million de petits commerçants qui acceptent les paiements par carte et 1,5 million qui ne les acceptent pas.
Un marché que Payplug est bien décidé à séduire.
Le client reçoit l'email avec un lien vers le formulaire, paie, et le marchand est notifié.
Une application mobile a aussi été développée pour les marchands qui envoient par SMS leur demande de paiement au client. Un lien pointe vers le formulaire.
« La page est entièrement sécurisée, nous travaillons en partenariat avec Credit Mutuelle », ajoute Camille Tyan, jeune entrepreneur.
Il est aussi possible d’intégrer un bouton pour payer directement depuis un site.
"L'envoi du mail prend 5 à 10 secondes et l’envoi est instantané, témoigne l’hôte située à Paris.
C’est très pratique car je peux avoir accès à mon historique de paiement depuis mon compte Payplug.
Et je peux l’imprimer sous forme de tableau Excel. J'ai donc un récapitulatif de mes transactions, une trace précieuse pour ma comptabilité."
En France, on dénombre moins d'un million de petits commerçants qui acceptent les paiements par carte et 1,5 million qui ne les acceptent pas.
Un marché que Payplug est bien décidé à séduire.
Les Français et la carte bancaire selon une étude IFOP-PayPlug
Accros à la carte bancaire, les Français jugent sévèrement les commerçants qui la refusent et souhaiteraient étendre son usage à toujours plus de situations de la vie courante.
C’est une opportunité d’augmenter ses revenus pour de nombreux nouveaux métiers et professionnels indépendants qui sauront proposer ce service à leurs clients.
• Sept possesseurs de carte sur dix ont déjà été confrontés à l’impossibilité de payer avec leur carte dans une enseigne.
• Si 32% s’avouent frustrés de ne pouvoir payer en carte bancaire, 36% des Français jugent cela inadmissible.
• La sanction pour le commerçant peut être immédiate : en cas de refus de paiement par carte, 58% des Français ont déjà renoncé à effectuer leur achat et 58% se sont déjà tournés vers un autre commerçant qui accepte la carte.
• Le risque en terme d’image est lui aussi bien réel : entre suspicion de fraude fiscale (57%) et service client en berne (73%), les Français jugent sévèrement les commerçants qui refusent la carte.
C’est une opportunité d’augmenter ses revenus pour de nombreux nouveaux métiers et professionnels indépendants qui sauront proposer ce service à leurs clients.
• Sept possesseurs de carte sur dix ont déjà été confrontés à l’impossibilité de payer avec leur carte dans une enseigne.
• Si 32% s’avouent frustrés de ne pouvoir payer en carte bancaire, 36% des Français jugent cela inadmissible.
• La sanction pour le commerçant peut être immédiate : en cas de refus de paiement par carte, 58% des Français ont déjà renoncé à effectuer leur achat et 58% se sont déjà tournés vers un autre commerçant qui accepte la carte.
• Le risque en terme d’image est lui aussi bien réel : entre suspicion de fraude fiscale (57%) et service client en berne (73%), les Français jugent sévèrement les commerçants qui refusent la carte.