TUI attend offrir plus de flexibilité pour ses clients - Crédit photo : TUI
Les annonces sont nombreuses du côté de TUI en cette rentrée. Les cartables sont sous les tables de bureau, et les équipes travaillent.
Si le dossier de Corsair n'est toujours pas évoqué, la cession paraît inéluctable car la compagnie ne s'intègre pas nécessairement au modèle économique du tour-opérateur.
C'est surtout le dossier des clubs qui est source de croissance économique, pour la branche française de l'expert allemand.
En effet, ce sont 4 nouveaux clubs qui intègrent le catalogue et sur lesquels les équipes fondent de grands espoirs pour l'hiver 2018.
La liaison Ajman / Dubaï doit permettre à la clientèle de découvrir l'expérience des Émirats, sans la densité urbaine ni la frénésie de Dubaï, puisque le club dont TUI possède environ la moitié des chambres est situé à 40 min du centre ville de l'Émirats.
Ce n'est pas tout !
Le club l’Auberge du lac Morency (Canada) doit "faire vivre le chaud et le froid dans le grand nord canadien" selon les propres mots de Pascal de Izaguirre. Et pour finir les resorts du Panama et de Zanzibar complètent le tout, et permet de renouveler l'offre de clubs.
Si le dossier de Corsair n'est toujours pas évoqué, la cession paraît inéluctable car la compagnie ne s'intègre pas nécessairement au modèle économique du tour-opérateur.
C'est surtout le dossier des clubs qui est source de croissance économique, pour la branche française de l'expert allemand.
En effet, ce sont 4 nouveaux clubs qui intègrent le catalogue et sur lesquels les équipes fondent de grands espoirs pour l'hiver 2018.
La liaison Ajman / Dubaï doit permettre à la clientèle de découvrir l'expérience des Émirats, sans la densité urbaine ni la frénésie de Dubaï, puisque le club dont TUI possède environ la moitié des chambres est situé à 40 min du centre ville de l'Émirats.
Ce n'est pas tout !
Le club l’Auberge du lac Morency (Canada) doit "faire vivre le chaud et le froid dans le grand nord canadien" selon les propres mots de Pascal de Izaguirre. Et pour finir les resorts du Panama et de Zanzibar complètent le tout, et permet de renouveler l'offre de clubs.
Plus de flexibilité, moins de charter
Les 4 clubs font partie de la caste Lookéa, et donc de ceux qui servent de pied-à-terre à des voyageurs qui veulent découvrir et aller à la rencontre des populations.
C'est l'une des particularités de la marque : proposer des excursions au cœur des populations, et de la culture du pays.
Sur ce segment, TUI entend appuyer et frapper fort dans les mois à venir afin "de devenir l'un des leaders mondiaux de l'excursion" selon Pascal de Izaguirre.
Car si les clubs ont le vent en poupe et affichent des croissances affriolantes, il convient de se démarquer, et proposer une image de marque propre. Pour le moment rien n'a filtré sur la stratégie, mais pour alimenter ce genre de séjours TUI de réduire son engagement aérien.
En effet dans certains clubs, les routes régionales partant de Clermont-Ferrant ou Marseille permettent de remplir quasi à elles seules les resorts.
Le TO regarde du côté des compagnies low-cost pour intégrer une plus grande flexibilité en terme de prix et d'horaires.
La volonté n'est pas de supprimer l'activité aérienne du TO, mais plutôt de répondre au mieux aux attentes des clients, de l'avis même d'un responsable.
Si la révolution n'est pas pour maintenant, les ajustements le sont.
C'est l'une des particularités de la marque : proposer des excursions au cœur des populations, et de la culture du pays.
Sur ce segment, TUI entend appuyer et frapper fort dans les mois à venir afin "de devenir l'un des leaders mondiaux de l'excursion" selon Pascal de Izaguirre.
Car si les clubs ont le vent en poupe et affichent des croissances affriolantes, il convient de se démarquer, et proposer une image de marque propre. Pour le moment rien n'a filtré sur la stratégie, mais pour alimenter ce genre de séjours TUI de réduire son engagement aérien.
En effet dans certains clubs, les routes régionales partant de Clermont-Ferrant ou Marseille permettent de remplir quasi à elles seules les resorts.
Le TO regarde du côté des compagnies low-cost pour intégrer une plus grande flexibilité en terme de prix et d'horaires.
La volonté n'est pas de supprimer l'activité aérienne du TO, mais plutôt de répondre au mieux aux attentes des clients, de l'avis même d'un responsable.
Si la révolution n'est pas pour maintenant, les ajustements le sont.