Les hôteliers français affichent leur satisfaction, ce vendredi 31 octobre 2014, après les annonces de Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères français, à propos de la taxe de séjour.
L'UMIH et le GNC diffusent ainsi un communiqué dans lequel ils "saluent les propositions visant à assurer une meilleure équité fiscale entre les différents types d'hébergement."
Leurs deux présidents rappellent que "les mêmes règles doivent être appliquées à tous les acteurs de l'hébergement marchand professionnels."
Les deux groupements se félicitent également de la modération de la hausse de la taxe de séjour évoquée par le ministre. Tout en regrettant l'augmentation du plafond de cette taxe qui va "fragiliser le secteur de l'hôtellerie en France".
L'UMIH et le GNC diffusent ainsi un communiqué dans lequel ils "saluent les propositions visant à assurer une meilleure équité fiscale entre les différents types d'hébergement."
Leurs deux présidents rappellent que "les mêmes règles doivent être appliquées à tous les acteurs de l'hébergement marchand professionnels."
Les deux groupements se félicitent également de la modération de la hausse de la taxe de séjour évoquée par le ministre. Tout en regrettant l'augmentation du plafond de cette taxe qui va "fragiliser le secteur de l'hôtellerie en France".
"Encadrement de la location de meublés touristiques"
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De son côté, le Groupement National des Indépendants (GNI) qui regroupe la CPIH, la FAGIHT et le SYNHORCAT, "salue la qualité d'écoute de Laurent Fabius".
Dans un communiqué, l'organisation assure qu'elle "apprécie la modération" de l'augmentation de la taxe de séjour.
"C'est aussi pour nous le point de départ à un encadrement de la location des meublés touristiques que nous demandions, ajoute Didier Chenet, son Président.
Il nous faut obtenir désormais une interdiction de location pour une durée inférieure à 7 jours, ces meublés touristiques n'étant pas des hôtels, et une réglementation permettant d'exiger qu'ils s'acquittent des autres charges, taxes et impôts auxquels nous sommes soumis. C'est une question d'équité."
Le GNI précise tout de même qu'une augmentation de la taxe de séjour, particulièrement en période de crise, n'est jamais une bonne nouvelle.
Dans un communiqué, l'organisation assure qu'elle "apprécie la modération" de l'augmentation de la taxe de séjour.
"C'est aussi pour nous le point de départ à un encadrement de la location des meublés touristiques que nous demandions, ajoute Didier Chenet, son Président.
Il nous faut obtenir désormais une interdiction de location pour une durée inférieure à 7 jours, ces meublés touristiques n'étant pas des hôtels, et une réglementation permettant d'exiger qu'ils s'acquittent des autres charges, taxes et impôts auxquels nous sommes soumis. C'est une question d'équité."
Le GNI précise tout de même qu'une augmentation de la taxe de séjour, particulièrement en période de crise, n'est jamais une bonne nouvelle.