Peter Fankhauser directeur général : "Nous enregistrons 1,5 million de clients supplémentaires par rapport à ce que Thomas Cook faisait il y a trois ans" - Photo Thomas Cook Group
Le chiffre d'affaires du troisième trimestre de l'exercice (avril/juin) progresse de 14% à £ 2,27 milliards. Le bénéfice courant s'améliore de 11% à £ 468 millions.
Le redressement de la compagnie Condor en Allemagne, lié, entre autres, à l'exploitation de quelques appareils par la filiale anglaise, participe de cette performance. A l'inverse, la compétition intense sur les produits Espagne a produit un effet négatif sur la marge opérationnelle.
Peter Fankhauser fait néanmoins remarquer que Thomas Cook a limité la casse avec le retrait en Angleterre, de 10% de la production été de l'Espagne pour la rediriger vers la Turquie qui connait un regain d'intérêt notamment auprès des clients anglais.
Au global, le volume de réservation de l'été affiche une progression de 11% tous marchés confondus et le prix moyen du forfait de 1%. "Nous enregistrons 1,5 million de clients supplémentaires par rapport à ce que Thomas Cook faisait il y a trois ans", remarque Peter Fankhauser.
C'est surtout sur le continent et en Scandinavie que ce volume progresse : respectivement +13% de clients notamment allemands et russes et + 8% de Scandinaves.
Le redressement de la compagnie Condor en Allemagne, lié, entre autres, à l'exploitation de quelques appareils par la filiale anglaise, participe de cette performance. A l'inverse, la compétition intense sur les produits Espagne a produit un effet négatif sur la marge opérationnelle.
Peter Fankhauser fait néanmoins remarquer que Thomas Cook a limité la casse avec le retrait en Angleterre, de 10% de la production été de l'Espagne pour la rediriger vers la Turquie qui connait un regain d'intérêt notamment auprès des clients anglais.
Au global, le volume de réservation de l'été affiche une progression de 11% tous marchés confondus et le prix moyen du forfait de 1%. "Nous enregistrons 1,5 million de clients supplémentaires par rapport à ce que Thomas Cook faisait il y a trois ans", remarque Peter Fankhauser.
C'est surtout sur le continent et en Scandinavie que ce volume progresse : respectivement +13% de clients notamment allemands et russes et + 8% de Scandinaves.
Thomas Cook prévoit de recommencer à programmer la Tunisie
Le marché britannique sur lequel le tour-opérateur entend rehausser la qualité des produits proposés voit le nombre de réservation un peu à la traîne à +6%. C'est aussi sur ce marché qu'il reste le plus grand stock été (23%), tandis qu'il ne reste plus que 10% du stock été sur le continent et 6% en Scandinavie.
En terme de destinations, la Grèce progresse de 22%, la Bulgarie de 19%, Chypre de 14%. Le long-courrier est également en progression comme la Turquie. Le dirigeant prévoit également une petite reprise de l'Egypte avec des vols sur Hurgada et Marsa Allam.
Avec la recommandation positive du Foreign Office sur la Tunisie, Thomas Cook prévoit de recommencer à programmer la destination à partir de la fin de l'hiver.
Autre prévision positive, avec la reprise des destinations orientales, la pression sur les prix espagnols devrait s'alléger quelque peu pour revenir à une situation plus normale...
Mais ce qui inquiète les dirigeants du groupe britannique à moyen terme ce sont les conséquences du Brexit, notamment sur les droits de trafic.
En terme de destinations, la Grèce progresse de 22%, la Bulgarie de 19%, Chypre de 14%. Le long-courrier est également en progression comme la Turquie. Le dirigeant prévoit également une petite reprise de l'Egypte avec des vols sur Hurgada et Marsa Allam.
Avec la recommandation positive du Foreign Office sur la Tunisie, Thomas Cook prévoit de recommencer à programmer la destination à partir de la fin de l'hiver.
Autre prévision positive, avec la reprise des destinations orientales, la pression sur les prix espagnols devrait s'alléger quelque peu pour revenir à une situation plus normale...
Mais ce qui inquiète les dirigeants du groupe britannique à moyen terme ce sont les conséquences du Brexit, notamment sur les droits de trafic.