"Si Thomas Cook France ne sera pas à l'équilibre cette année, il en sera très proche", a commenté le patron du groupe, Peter Fankhauser - Photo Thomas Cook Group
La présentation des résultats du premier trimestre de l'exercice (oct-déc 2016) par les dirigeants de Thomas Cook arrive plutôt comme une bonne surprise.
Le volume d'affaires est en hausse de 1% à 1,62 milliard de livres sterling, tandis que le résultat d'exploitation s'améliore d'un million de livres, à -49 millions.
Zone par zone, la Grande-Bretagne a contribué au chiffre d'affaires à hauteur de 660 millions de livres (+14 millions sur l'an dernier), l'Europe continentale à hauteur de 660 millions (-14 millions), l'Europe du Nord à hauteur de 300 millions (+18 millions) tandis que la compagnie allemande Condor a apporté 334 millions (-7 millions).
En ce qui concerne l'Europe continentale, Peter Fankhauser, le CEO du groupe, explique que la baisse des revenus provient de l'Allemagne et la Belgique tandis que la Russie et la France ont au contraire bien performé.
La France a amélioré sa marge, notamment avec la vente des produits Jet tours "très demandés". "Si Thomas Cook France ne sera pas à l'équilibre cette année, il en sera très proche", a commenté le patron du groupe.
A noter que l'EBIT de la zone s'est amélioré de cinq millions, avec un résultat négatif de 19 millions au lieu de 24 millions l'année dernière.
Le volume d'affaires est en hausse de 1% à 1,62 milliard de livres sterling, tandis que le résultat d'exploitation s'améliore d'un million de livres, à -49 millions.
Zone par zone, la Grande-Bretagne a contribué au chiffre d'affaires à hauteur de 660 millions de livres (+14 millions sur l'an dernier), l'Europe continentale à hauteur de 660 millions (-14 millions), l'Europe du Nord à hauteur de 300 millions (+18 millions) tandis que la compagnie allemande Condor a apporté 334 millions (-7 millions).
En ce qui concerne l'Europe continentale, Peter Fankhauser, le CEO du groupe, explique que la baisse des revenus provient de l'Allemagne et la Belgique tandis que la Russie et la France ont au contraire bien performé.
La France a amélioré sa marge, notamment avec la vente des produits Jet tours "très demandés". "Si Thomas Cook France ne sera pas à l'équilibre cette année, il en sera très proche", a commenté le patron du groupe.
A noter que l'EBIT de la zone s'est amélioré de cinq millions, avec un résultat négatif de 19 millions au lieu de 24 millions l'année dernière.
Un regain d'intérêt pour l'Egypte et le Maroc
Tous marchés confondus, la production de la saison hiver 2016/17 est à 82% écoulée avec un nombre de réservations en hausse de 1% mais à un prix moyen en baisse de 1%.
Quant à l'été 2017, 31% de la production est déjà vendue, en avance de 2% par rapport à l'année dernière.
Le groupe Thomas Cook remarque que l'Espagne, qui avait fortement progressé l'année dernière à la suite des problèmes rencontrés par la Turquie et l'Egypte, ne connaîtra pas le même élan cette année.
Peter Fankhauser laisse entendre que le groupe ne cherche pas à accroître son offre sur les îles espagnoles.
La demande se tourne vers des destinations alternatives comme la Croatie, la Bulgarie, le Portugal. Mais c'est surtout la Grèce qui connait un véritable bond des demandes à +40%.
Le groupe sent également un regain d'intérêt pour l'Egypte et le Maroc.
Quant à l'été 2017, 31% de la production est déjà vendue, en avance de 2% par rapport à l'année dernière.
Le groupe Thomas Cook remarque que l'Espagne, qui avait fortement progressé l'année dernière à la suite des problèmes rencontrés par la Turquie et l'Egypte, ne connaîtra pas le même élan cette année.
Peter Fankhauser laisse entendre que le groupe ne cherche pas à accroître son offre sur les îles espagnoles.
La demande se tourne vers des destinations alternatives comme la Croatie, la Bulgarie, le Portugal. Mais c'est surtout la Grèce qui connait un véritable bond des demandes à +40%.
Le groupe sent également un regain d'intérêt pour l'Egypte et le Maroc.
|
||||||||||
Plus de brochures en ligne |