Selectour, Air France, NDC, Fram, blockchain... changements en vue dans le tourisme - DR
On prend les mêmes et on recommence !
Les négociations Selectour pour le nouveau référencement ne sont décidément pas un long fleuve tranquille... Le congrès Manor a une nouvelle fois servi de tribune aux tour-opérateurs irrités par la tournure que prend le nouveau système de rémunération que souhaite mettre en place le réseau à l'hippocampe.
Après Pascal de Izaguirre en 2012 qui avait aussi lancé au congrès Manor à l'époque : « Les TO sont dos au mur et si rien ne change ils vont mourir ! », c'est cette fois Nicolas Delord, président de Thomas Cook France qui a tiré la sonnette d'alarme.
« On a pris un virage dangereux, et on l’a pris beaucoup trop vite. Ce n’est un secret pour personne : les marges du tour-operating sont extrêmement sous pression.
Avec des commissions à 17%, les TO sont au bout du bout, cela va devoir éclater à un moment car ce n’est plus tenable », a-t-il lancé.
Lire : Selectour : taux de commissions TO... "Tout le secteur va droit dans le mur !"
Les négociations Selectour pour le nouveau référencement ne sont décidément pas un long fleuve tranquille... Le congrès Manor a une nouvelle fois servi de tribune aux tour-opérateurs irrités par la tournure que prend le nouveau système de rémunération que souhaite mettre en place le réseau à l'hippocampe.
Après Pascal de Izaguirre en 2012 qui avait aussi lancé au congrès Manor à l'époque : « Les TO sont dos au mur et si rien ne change ils vont mourir ! », c'est cette fois Nicolas Delord, président de Thomas Cook France qui a tiré la sonnette d'alarme.
« On a pris un virage dangereux, et on l’a pris beaucoup trop vite. Ce n’est un secret pour personne : les marges du tour-operating sont extrêmement sous pression.
Avec des commissions à 17%, les TO sont au bout du bout, cela va devoir éclater à un moment car ce n’est plus tenable », a-t-il lancé.
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Risque de turbulences aussi dans le ciel.
Si l'accord salarial a été signé par la majorité des syndicats d'Air France, le SNPL et la CGT ont eux, refusé de ratifier l'accord, laissant planer un doute sur un risque de grève.
Depuis les esprits s'échauffent. Les élections syndicales approchant à grand pas, le syndicat des pilotes veut accélérer le calendrier des négociations catégorielles...
Ne reculant devant rien pour avancer la date fixée au 5 novembre 2018, le SNPL... brandit une menace de grève... Et les professionnels du tourisme ne sont pas totalement sereins.
Lire : Accord salarial Air France : risque de nouvelles grèves sans l'accord du SNPL et de la CGT ?
Autre incertitude qui plane sur la tête des professionnels du tourisme : la norme NDC.
D’après les prévisions de Iata, NDC représentera 20% des ventes en 2020, 50% en 2023 et enfin 100% à horizon 2025. En attendant pour les agents de voyages tout semble bien flou.
Quid du nouveau modèle économique ? Quid des relations avec les GDS ? Quid des relations avec les compagnies ? Pour l'instant peu de réponses précises, une seule chose est sûre, le processus sera long !
Lire : Norme NDC : et si on vous refaisait le coup de la commission zéro ?
Si l'accord salarial a été signé par la majorité des syndicats d'Air France, le SNPL et la CGT ont eux, refusé de ratifier l'accord, laissant planer un doute sur un risque de grève.
Depuis les esprits s'échauffent. Les élections syndicales approchant à grand pas, le syndicat des pilotes veut accélérer le calendrier des négociations catégorielles...
Ne reculant devant rien pour avancer la date fixée au 5 novembre 2018, le SNPL... brandit une menace de grève... Et les professionnels du tourisme ne sont pas totalement sereins.
Lire : Accord salarial Air France : risque de nouvelles grèves sans l'accord du SNPL et de la CGT ?
Autre incertitude qui plane sur la tête des professionnels du tourisme : la norme NDC.
D’après les prévisions de Iata, NDC représentera 20% des ventes en 2020, 50% en 2023 et enfin 100% à horizon 2025. En attendant pour les agents de voyages tout semble bien flou.
Quid du nouveau modèle économique ? Quid des relations avec les GDS ? Quid des relations avec les compagnies ? Pour l'instant peu de réponses précises, une seule chose est sûre, le processus sera long !
Lire : Norme NDC : et si on vous refaisait le coup de la commission zéro ?
Changements en vue aussi pour Booking & Co....
Incontournables voire hégémonique, les grands noms du e-tourisme auraient-ils du souci à se faire ? Si l'on en croit BTU Protocol, la blockchain pourrait bel et bien bouleverser le modèle économique des grandes plateformes.
"Nous voulons contrecarrer Booking, et les autres plateformes qui avec leur position de quasi-monopole, imposent des prélèvements de l'ordre de 30%, alors qu'ils ne font que de la mise en relation," explique Maxime Logeart, le responsable de projet marketing et communication de BTU Protocol.
L'idée de la start-up est simple : réduire les intermédiaires et valoriser le circuit-court, sans passer par des plateformes ponctionnant un pourcentage élevé à chaque transaction.
Lire : La blockchain a-t-elle le potentiel de ringardiser Booking ?
Les turbulences, Fram connaît aussi ! Créée en 1949, l'une des marques les plus connues du tourisme, en a vu des vertes et des pas mûres. Ces 10 dernières années ont été plus rudes que les autres.
Retour, pour finir la semaine sur l'épopée FRAM entre 2008 et 2018. Espérons que la semaine prochain soit un peu plus calme.
Lire : 2008 - 2018 : une décennie de turbulences pour la maison FRAM
Bon week-end à tous !
Incontournables voire hégémonique, les grands noms du e-tourisme auraient-ils du souci à se faire ? Si l'on en croit BTU Protocol, la blockchain pourrait bel et bien bouleverser le modèle économique des grandes plateformes.
"Nous voulons contrecarrer Booking, et les autres plateformes qui avec leur position de quasi-monopole, imposent des prélèvements de l'ordre de 30%, alors qu'ils ne font que de la mise en relation," explique Maxime Logeart, le responsable de projet marketing et communication de BTU Protocol.
L'idée de la start-up est simple : réduire les intermédiaires et valoriser le circuit-court, sans passer par des plateformes ponctionnant un pourcentage élevé à chaque transaction.
Lire : La blockchain a-t-elle le potentiel de ringardiser Booking ?
Les turbulences, Fram connaît aussi ! Créée en 1949, l'une des marques les plus connues du tourisme, en a vu des vertes et des pas mûres. Ces 10 dernières années ont été plus rudes que les autres.
Retour, pour finir la semaine sur l'épopée FRAM entre 2008 et 2018. Espérons que la semaine prochain soit un peu plus calme.
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Bon week-end à tous !
Retrouvez notre Top 5.. Et bon week-end !
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