« Une île dévastée. » Rivières sortant de leur lit, voitures emportées par des torrents de boue, ponts détruits, glissement de terrain, et un bilan humain lourd avec une quarantaine de victimes...
Le 20 février dernier, les mêmes images de l'Ile de Madère envahie par les flots, tournent en boucle sur nos télévisions.
Des images terribles qui ont marqué les esprits. Devant les yeux des téléspectateurs défilent toujours et encore les mêmes lieux pris par les eaux.
Les dégâts ne concernent que quatre endroits sur l'île et trois à Funchal. Mais l’imagination a fait le reste, et Madère apparaît comme une île entièrement dévastée.
Pourtant, la réalité est tout autre. Aucun hôtel n’a été touché. Ils n’ont même jamais fermé. Mais le mal est fait.
Le 20 février dernier, les mêmes images de l'Ile de Madère envahie par les flots, tournent en boucle sur nos télévisions.
Des images terribles qui ont marqué les esprits. Devant les yeux des téléspectateurs défilent toujours et encore les mêmes lieux pris par les eaux.
Les dégâts ne concernent que quatre endroits sur l'île et trois à Funchal. Mais l’imagination a fait le reste, et Madère apparaît comme une île entièrement dévastée.
Pourtant, la réalité est tout autre. Aucun hôtel n’a été touché. Ils n’ont même jamais fermé. Mais le mal est fait.
Page 2 - « Nous accusons une baisse de -55%, sur Madère »
Page 3 - Une remise en état spectaculaire
Page 4 - Madère n’attend plus que les touristes (vidéo)
Page 3 - Une remise en état spectaculaire
Page 4 - Madère n’attend plus que les touristes (vidéo)