« Nous accusons une baisse de -55%, sur Madère »
« La première semaine qui a suivi le 20 février, les réservations ont marqué un coup d‘arrêt. », précise Fabien Cadio, directeur commercial de Top Of Travel, le leader français de la destination.
« Depuis le 20 févier, nous accusons une baisse de -55%, sur Madère, alors que dans le même temps le reste de la production connaît une progression (hors Madère) de +39%.
Nous enregistrons environ 25 pax par jour en individuel, contre 50 à 60 pax/jour avant le 20 février. Le manque à gagner s’établit à 30 000 €, par jour.»
Paradoxe de la situation, tous les groupes prévus depuis les inondations sont partis et partent encore. Dans la semaine qui a suivi la tempête, les annulations se sont comptées sur les doigts de la main.
« Nous avons même reçu des lettres de clients partis seulement deux jours après les inondations, qui ne comprennent pas pourquoi il y a tant d’inquiétude de la part des voyageurs. »
« Depuis le 20 févier, nous accusons une baisse de -55%, sur Madère, alors que dans le même temps le reste de la production connaît une progression (hors Madère) de +39%.
Nous enregistrons environ 25 pax par jour en individuel, contre 50 à 60 pax/jour avant le 20 février. Le manque à gagner s’établit à 30 000 €, par jour.»
Paradoxe de la situation, tous les groupes prévus depuis les inondations sont partis et partent encore. Dans la semaine qui a suivi la tempête, les annulations se sont comptées sur les doigts de la main.
« Nous avons même reçu des lettres de clients partis seulement deux jours après les inondations, qui ne comprennent pas pourquoi il y a tant d’inquiétude de la part des voyageurs. »
Deux éductours organisés fin mars
Une crise qui tombe bien mal pour Top of Travel qui a mis le paquet sur la destination. Pour 2010, le voyagiste a mis en place 26 000 sièges en engagement, fort de ses 19 051 clients enregistrés en 2009.
Cette année, un vol est prévu chaque semaine de Lyon, Mulhouse et Toulouse ainsi que deux vols hebdomadaires depuis Paris et Nantes. Malgré la crise, aucun charter n’a été annulé.
Alors on s’active dur, tant au bureau Top Of Travel à Funchal qu’à Paris. On essaie de faire bouger les télévisons, multiplier les actions en direction du grand public et des agents de voyages.
« Il faut rétablir la vérité, la réalité de la situation » insiste Alain Glacet, directeur passionné du bureau de Top Of Travel à Funchal.
Pour ce faire, un mois après les intempéries, le voyagiste a organisé deux éductours. Le dernier en date s’est déroulé du 27 au 30 mars, et a emmené 21 agents de voyages à la découverte de l’île.
De leur camp de base situé à l’hôtel 5 étoiles Pestana Casino Park à Funchal, ils ont arpenté l’Est puis l’Ouest de l’île. Les agents de voyages sont unanimes : il n’y a aucune raison de bouder la destination. (voir vidéo en fin d'article)
Cette année, un vol est prévu chaque semaine de Lyon, Mulhouse et Toulouse ainsi que deux vols hebdomadaires depuis Paris et Nantes. Malgré la crise, aucun charter n’a été annulé.
Alors on s’active dur, tant au bureau Top Of Travel à Funchal qu’à Paris. On essaie de faire bouger les télévisons, multiplier les actions en direction du grand public et des agents de voyages.
« Il faut rétablir la vérité, la réalité de la situation » insiste Alain Glacet, directeur passionné du bureau de Top Of Travel à Funchal.
Pour ce faire, un mois après les intempéries, le voyagiste a organisé deux éductours. Le dernier en date s’est déroulé du 27 au 30 mars, et a emmené 21 agents de voyages à la découverte de l’île.
De leur camp de base situé à l’hôtel 5 étoiles Pestana Casino Park à Funchal, ils ont arpenté l’Est puis l’Ouest de l’île. Les agents de voyages sont unanimes : il n’y a aucune raison de bouder la destination. (voir vidéo en fin d'article)