Une remise en état spectaculaire
La vie a repris son cours à Funchal : le marché, les balades le long de la plage, les jardins fleuris, les terrasses de café attendent les touristes. La boue et les débris ont totalement disparu.
Seules quelques cicatrices rappellent encore les inondations. Quelques rambardes provisoires remplacent ci et là, les barrières en fer forgé, le long de la rivière. Dans le bas de la ville, on voit que les terrains ont été remblayés.
Des travaux, qui passent souvent aux yeux des visiteurs, pour des aménagements courants, sans aucun lien avec les inondations.
Sur le reste de l’île même constat. Les amateurs de marche et de nature ont repris le chemin des Levadas (canaux d’irrigation) et des sentiers de randonnées. A Ribeira Brava, à l‘Ouest de Funchal, on a du mal à croire qu’un torrent a emporté le vieux pont, déjà remplacé, par une nouvelle passerelle.
Il faut dire que le gouvernement de l’île s’est très vite retroussé les manches, pour remettre les lieux les plus touchés en état. Le résultat est spectaculaire.
L’enjeu est d'importance, avec un parc hôtelier de 33000 lits, le tourisme est la seconde ressource de l'île.
Seules quelques cicatrices rappellent encore les inondations. Quelques rambardes provisoires remplacent ci et là, les barrières en fer forgé, le long de la rivière. Dans le bas de la ville, on voit que les terrains ont été remblayés.
Des travaux, qui passent souvent aux yeux des visiteurs, pour des aménagements courants, sans aucun lien avec les inondations.
Sur le reste de l’île même constat. Les amateurs de marche et de nature ont repris le chemin des Levadas (canaux d’irrigation) et des sentiers de randonnées. A Ribeira Brava, à l‘Ouest de Funchal, on a du mal à croire qu’un torrent a emporté le vieux pont, déjà remplacé, par une nouvelle passerelle.
Il faut dire que le gouvernement de l’île s’est très vite retroussé les manches, pour remettre les lieux les plus touchés en état. Le résultat est spectaculaire.
L’enjeu est d'importance, avec un parc hôtelier de 33000 lits, le tourisme est la seconde ressource de l'île.