La société des Aéroports de la Côte d’Azur (Nice, Cannes Saint Tropez) et la CCI du Var ont posé ensemble leur candidature pour la gestion de l’aéroport Toulon Hyères, actuellement géré par la CCI.
"Nous avons constaté qu’il fallait engager d’important travaux sur la piste, en raison de la présence d’eau, et au-delà de ce qui était envisagé dans l’appel d’offres", précise Dominique Thillaud, Président du Directoire de la Société des aéroports de la Côte d’Azur, lors de l’inauguration du vol Nice Montréal d’Air Canada Rouge.
A l’origine, la DGAC avait évalué à 25 millions d'euros l’investissement, dont 8 millions d'euros pris en charge par la Marine qui utilise l’aéroport. Mais la facture serait au moins du double.
La CCI du Var qui aurait voulu poursuivre la gestion, qu’elle assure depuis 40 ans, a finalement jeté l’éponge et renonce avec la Société aéroports de la Côte d’Azur à participer à l’appel d’offres amélioré lancé par la DGAC pour désigner le délégataire des 25 prochaines années.
Des trois candidats au départ, seul reste en lice Vinci, le canadien SNC Lavallin ayant préféré renoncer également.
Pour la société des Aéroports de la Côte d’Azur, la gestion de Toulon Hyères avec la CCI du Var pouvait s’inscrire dans une logique territoriale Côte d’Azur (Var et Alpes Maritimes) avec une répartition du trafic aérien.
La société a ainsi joué cette carte pour l’aviation d’affaires en reprenant la gestion de l’aéroport de la Môle à Saint Tropez en partenariat avec le gestion aviation d’affaires à Nice et Cannes.
La gestion de Toulon Hyères aurait pu soulager Nice d’un trafic plus à l’intention des Varois même si le spectre d’une saturation de l’aéroport Nice Côte d’Azur n’est plus d’actualité.
Les deux pistes sont utilisées à 50 % de leur capacité optimale. Elles traitent 130 000 mouvements alors que Genève par exemple avec une seule piste en gère 160 000.
Reste la gestion des passagers, mais la création d’un troisième terminal et les rénovations des terminaux 1 et 2 (2014 -2016) repoussent dans le temps le seuil de saturation fixé à l’origine à 16 millions de passagers (11,5 actuellement).
"Nous avons des ambitions raisonnables en terme de trafic", conclut D.Thillaud.
"Nous avons constaté qu’il fallait engager d’important travaux sur la piste, en raison de la présence d’eau, et au-delà de ce qui était envisagé dans l’appel d’offres", précise Dominique Thillaud, Président du Directoire de la Société des aéroports de la Côte d’Azur, lors de l’inauguration du vol Nice Montréal d’Air Canada Rouge.
A l’origine, la DGAC avait évalué à 25 millions d'euros l’investissement, dont 8 millions d'euros pris en charge par la Marine qui utilise l’aéroport. Mais la facture serait au moins du double.
La CCI du Var qui aurait voulu poursuivre la gestion, qu’elle assure depuis 40 ans, a finalement jeté l’éponge et renonce avec la Société aéroports de la Côte d’Azur à participer à l’appel d’offres amélioré lancé par la DGAC pour désigner le délégataire des 25 prochaines années.
Des trois candidats au départ, seul reste en lice Vinci, le canadien SNC Lavallin ayant préféré renoncer également.
Pour la société des Aéroports de la Côte d’Azur, la gestion de Toulon Hyères avec la CCI du Var pouvait s’inscrire dans une logique territoriale Côte d’Azur (Var et Alpes Maritimes) avec une répartition du trafic aérien.
La société a ainsi joué cette carte pour l’aviation d’affaires en reprenant la gestion de l’aéroport de la Môle à Saint Tropez en partenariat avec le gestion aviation d’affaires à Nice et Cannes.
La gestion de Toulon Hyères aurait pu soulager Nice d’un trafic plus à l’intention des Varois même si le spectre d’une saturation de l’aéroport Nice Côte d’Azur n’est plus d’actualité.
Les deux pistes sont utilisées à 50 % de leur capacité optimale. Elles traitent 130 000 mouvements alors que Genève par exemple avec une seule piste en gère 160 000.
Reste la gestion des passagers, mais la création d’un troisième terminal et les rénovations des terminaux 1 et 2 (2014 -2016) repoussent dans le temps le seuil de saturation fixé à l’origine à 16 millions de passagers (11,5 actuellement).
"Nous avons des ambitions raisonnables en terme de trafic", conclut D.Thillaud.
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