Toutes ces questions sont abordées dans une étude de clientèle commanditée par le Ministère des Affaires Etrangères et réalisée par l'Union Nationale des Associations de Tourisme, impliquée depuis plusieurs années dans la coordination de ce secteur en France.
L'analyse se fonde sur une enquête menée en partenariat avec la SOFRES sur un échantillon représentatif de la population française qui voyage à l'étranger. Cette étude a été présentée hier, jeudi 17 mars, à la presse au Salon Mondial du Tourisme à Paris.
Une notoriété relativement élevée
Elle révèle les connaissances et attentes à l'égard du concept de "tourisme solidaire", des Français qui ont voyagé au moins une fois à l'étranger durant ces deux dernières années. Un tiers des personnes (32,5 %) interviewées déclarent avoir déjà entendu parler du tourisme solidaire.
Ces personnes ont majoritairement entre 35 et 64 ans, ce sont des "grands voyageurs" et appartiennent aux catégories socioprofessionnelles supérieures. Leur connaissance du terme "tourisme solidaire" provient en premier lieu de la presse écrite.
Un tiers des personnes (30,8 %) ayant déclaré avoir déjà entendu parler du tourisme solidaire l'associent spontanément au commerce équitable. L'"aide aux populations locales" - 26 % - ainsi que les notions de respect et d'échange sont ensuite les éléments les plus cités.
Information insuffisante et offre de voyages trop peu présente
66 % des interviewés, après explication du concept, déclarent être intéressés par le tourisme solidaire. "Avoir des contacts avec la population locale" est considéré comme la composante la plus importante de ce type de tourisme par 45 % de ces personnes, qui dans un second temps, privilégient "la connaissance et le respect de la nature et du patrimoine" et le fait de " savoir exactement à qui va l'argent versé pour payer le voyage".
52 % des personnes manifestant de l'intérêt pour le tourisme solidaire sont prêtes à consacrer à ces voyages un budget plus important. Le "manque d'information", l'absence d'"occasions " expliquent en grande partie le non-achat de ce type de voyages.
Plus de 50 % des personnes connaissant le tourisme solidaire et y manifestant un intérêt, évoquent en effet ces raisons pour expliquer leur non-participation à ce type de voyages.
L'analyse se fonde sur une enquête menée en partenariat avec la SOFRES sur un échantillon représentatif de la population française qui voyage à l'étranger. Cette étude a été présentée hier, jeudi 17 mars, à la presse au Salon Mondial du Tourisme à Paris.
Une notoriété relativement élevée
Elle révèle les connaissances et attentes à l'égard du concept de "tourisme solidaire", des Français qui ont voyagé au moins une fois à l'étranger durant ces deux dernières années. Un tiers des personnes (32,5 %) interviewées déclarent avoir déjà entendu parler du tourisme solidaire.
Ces personnes ont majoritairement entre 35 et 64 ans, ce sont des "grands voyageurs" et appartiennent aux catégories socioprofessionnelles supérieures. Leur connaissance du terme "tourisme solidaire" provient en premier lieu de la presse écrite.
Un tiers des personnes (30,8 %) ayant déclaré avoir déjà entendu parler du tourisme solidaire l'associent spontanément au commerce équitable. L'"aide aux populations locales" - 26 % - ainsi que les notions de respect et d'échange sont ensuite les éléments les plus cités.
Information insuffisante et offre de voyages trop peu présente
66 % des interviewés, après explication du concept, déclarent être intéressés par le tourisme solidaire. "Avoir des contacts avec la population locale" est considéré comme la composante la plus importante de ce type de tourisme par 45 % de ces personnes, qui dans un second temps, privilégient "la connaissance et le respect de la nature et du patrimoine" et le fait de " savoir exactement à qui va l'argent versé pour payer le voyage".
52 % des personnes manifestant de l'intérêt pour le tourisme solidaire sont prêtes à consacrer à ces voyages un budget plus important. Le "manque d'information", l'absence d'"occasions " expliquent en grande partie le non-achat de ce type de voyages.
Plus de 50 % des personnes connaissant le tourisme solidaire et y manifestant un intérêt, évoquent en effet ces raisons pour expliquer leur non-participation à ce type de voyages.