Il y a quelques jours, une dépêche AFP nous informait que le ministre du tourisme tunisien, Jamel Gamra s’est enquis, le 4 avril 2013, à Tozeur "des composantes d’un nouveau projet touristique, qui sera lancé, dans ce gouvernorat, par un investisseur français, moyennant un investissement dépassant les 30 millions d’euros, soit l’équivalent de 60 millions de dinars (MD), et ce, lors de sa visite à la région".
Ce projet, dont la mise en exploitation est prévue pour le début de l’année 2015, sera voué au tourisme spatial, avec l’aménagement d’un espace pour l’observation des étoiles et des astres, en utilisant des équipements de pointe.
Il permettra également l’organisation de voyages virtuels dans l’espace en 3D et la mise en place d’une station à l’aéroport de Tozeur, pour assurer des voyages aériens sur une hauteur de 100 km de la surface de la terre.
Ce projet, dont la mise en exploitation est prévue pour le début de l’année 2015, sera voué au tourisme spatial, avec l’aménagement d’un espace pour l’observation des étoiles et des astres, en utilisant des équipements de pointe.
Il permettra également l’organisation de voyages virtuels dans l’espace en 3D et la mise en place d’une station à l’aéroport de Tozeur, pour assurer des voyages aériens sur une hauteur de 100 km de la surface de la terre.
Le tourisme spatial s'ouvre à tous les marchés
Moins d’un mois après le 1er vol commercial européen en apesanteur réalisé depuis la base de Novespace de Bordeaux-Mérignac à bord de l’'Airbus A300 Zéro-G et qui emportait une quarantaine de passager, le tourisme spatial devient donc désormais un élément concret de notre paysage touristique.
Les sceptiques vont devoir s’y faire, le tourisme spatial n’est plus réservé aux seuls marchés nord américain, russe ou asiatique, mais frappe aujourd’hui à notre porte.
Certes cela ne va malheureusement pas inverser la tendance des ventes, mais quand on sait par exemple que pour un vol sub-orbital de Virgin Galactic à 200 000 dollars, les déposits sont de 50 000 dollars minimum, voilà qui arrangerait bien la trésorerie de certains…
Les sceptiques vont devoir s’y faire, le tourisme spatial n’est plus réservé aux seuls marchés nord américain, russe ou asiatique, mais frappe aujourd’hui à notre porte.
Certes cela ne va malheureusement pas inverser la tendance des ventes, mais quand on sait par exemple que pour un vol sub-orbital de Virgin Galactic à 200 000 dollars, les déposits sont de 50 000 dollars minimum, voilà qui arrangerait bien la trésorerie de certains…