Après Alstom, c'est un autre constructeur de trains qui est en grandes difficultés en France actuellement : Bombardier.
Selon Les Echos, le site du groupe canadien à Crespin, dans le Nord, serait menacé de fermeture si des commandes ne sont pas passées "dans les six à neuf mois", comme l'explique, Laurent Bouyer, président de Bombardier.
Les activités de l'usine vont nettement diminuer à partir de début 2017. Ce qui devrait entraîner le reclassement d'une centaine de salariés. Et, pour le moment, le site de Crespin n'enregistre aucune commande à produire après le premier trimestre 2019.
Bombardier compte sur l'appel d'offres du RER NG qui prolongera à l'Ouest la ligne E et devrait entrer en service en 2022. Un projet pour lequel 125 trains neufs devront être construits pour une commande totale d'environ 2 milliards d'euros.
Selon Les Echos, le site du groupe canadien à Crespin, dans le Nord, serait menacé de fermeture si des commandes ne sont pas passées "dans les six à neuf mois", comme l'explique, Laurent Bouyer, président de Bombardier.
Les activités de l'usine vont nettement diminuer à partir de début 2017. Ce qui devrait entraîner le reclassement d'une centaine de salariés. Et, pour le moment, le site de Crespin n'enregistre aucune commande à produire après le premier trimestre 2019.
Bombardier compte sur l'appel d'offres du RER NG qui prolongera à l'Ouest la ligne E et devrait entrer en service en 2022. Un projet pour lequel 125 trains neufs devront être construits pour une commande totale d'environ 2 milliards d'euros.