Profitant de la reprise de Corse Voyages, le TO autrichien met en effet le paquet sur cette destination pour sa saison printemps-été 2013. DR
Travel Europe et Visit Europe ne font guère de bruit.
Ils communiquent moins que d’autres mais ils suivent à la lettre leur feuille de route.
Globalement, le TO autrichien devrait atteindre 100 M € de chiffre d’affaires 2011-2012. C’est 10 % de moins que l’an dernier, mais Anton Gschwentner l’explique sans détours :
« Nous avons fermé notre hôtel de Stans, nous avons aussi essuyé des pertes sur la Jordanie, et surtout en Espagne où nous enregistrons une baisse de 22 %. »
Si le Pdg de Travel Europe n’est guère plus embarrassé que ça, c’est que malgré ces déconvenues, son entreprise termine quand même son exercice avec un résultat net de 0,5 M€.
Ils communiquent moins que d’autres mais ils suivent à la lettre leur feuille de route.
Globalement, le TO autrichien devrait atteindre 100 M € de chiffre d’affaires 2011-2012. C’est 10 % de moins que l’an dernier, mais Anton Gschwentner l’explique sans détours :
« Nous avons fermé notre hôtel de Stans, nous avons aussi essuyé des pertes sur la Jordanie, et surtout en Espagne où nous enregistrons une baisse de 22 %. »
Si le Pdg de Travel Europe n’est guère plus embarrassé que ça, c’est que malgré ces déconvenues, son entreprise termine quand même son exercice avec un résultat net de 0,5 M€.
Visit Europe : un panier moyen de 1 000 €
Le plus encourageant pour lui, c’est que Visit Europe, son « département » des ventes individuelles, qui a pesé en 2012 près de 25 000 clients, est enfin à l’équilibre, comme il l’annonçait l’an dernier…
Cerise sur le gâteau, le panier moyen de Visit Europe est également en hausse, à 1 000€/pax.
De quoi redoubler d’efforts…
C’est ce qu’il fait au plan commercial, en renforçant son équipe, notamment avec l’arrivée de Muriel Bougeard comme directrice commerciale de Visit Europe.
C’est ce qu’il fait également au plan des produits en relançant la brochure Visit France et la Corse.
Profitant de la reprise de Corse Voyages, le TO autrichien met en effet le paquet sur cette destination pour sa saison printemps-été 2013.
Elle représente 25 % de la brochure, 35 hôtels et 20 000 sièges, dont 17 000 font déjà l’objet d’option, en vol sec pour un tiers d’entre eux.
Sur l’ensemble de sa programmation, destinations et produits, confondus, le TO entend concentrer ses efforts sur ce qui marche vraiment, comme la Croatie, Madère ou l’Autriche.
Pragmatique malgré la crise, il s’est quand même engagé sur plus de 750 vols spéciaux au départ de toute la France. Mais sa plus grande nouveauté, c’est le flash-code intégré aux 2 deux brochures, Visit Europe et Visit France (sur la Corse uniquement).
Cerise sur le gâteau, le panier moyen de Visit Europe est également en hausse, à 1 000€/pax.
De quoi redoubler d’efforts…
C’est ce qu’il fait au plan commercial, en renforçant son équipe, notamment avec l’arrivée de Muriel Bougeard comme directrice commerciale de Visit Europe.
C’est ce qu’il fait également au plan des produits en relançant la brochure Visit France et la Corse.
Profitant de la reprise de Corse Voyages, le TO autrichien met en effet le paquet sur cette destination pour sa saison printemps-été 2013.
Elle représente 25 % de la brochure, 35 hôtels et 20 000 sièges, dont 17 000 font déjà l’objet d’option, en vol sec pour un tiers d’entre eux.
Sur l’ensemble de sa programmation, destinations et produits, confondus, le TO entend concentrer ses efforts sur ce qui marche vraiment, comme la Croatie, Madère ou l’Autriche.
Pragmatique malgré la crise, il s’est quand même engagé sur plus de 750 vols spéciaux au départ de toute la France. Mais sa plus grande nouveauté, c’est le flash-code intégré aux 2 deux brochures, Visit Europe et Visit France (sur la Corse uniquement).
Plus de souplesse tarifaire avec le flash-code
Avec cet outil, le TO joue à font la carte de la mobilité et du smartphone.
Au client, qui est de plus en plus habitué au yield tarifaire, il offre une référence prix sans donner de réel tarif.
Aux agents de voyages, il apporte un surplus de souplesse en leur donnant en temps réel le tarif ponctuel qu’ils peuvent proposer à leur client.
« Nous nous sommes basés sur le tarif le plus bas ou presque, en conservant la possibilité de faire ponctuellement des opérations promotionnelles, » explique Pascale Gaston, la directrice de Visit Europe, en précisant que cela va encore au delà du simple « early booking », car les premiers à réserver auront un prix exceptionnel tandis que les autres verront le tarif évoluer selon l’état de la demande.
Au client, qui est de plus en plus habitué au yield tarifaire, il offre une référence prix sans donner de réel tarif.
Aux agents de voyages, il apporte un surplus de souplesse en leur donnant en temps réel le tarif ponctuel qu’ils peuvent proposer à leur client.
« Nous nous sommes basés sur le tarif le plus bas ou presque, en conservant la possibilité de faire ponctuellement des opérations promotionnelles, » explique Pascale Gaston, la directrice de Visit Europe, en précisant que cela va encore au delà du simple « early booking », car les premiers à réserver auront un prix exceptionnel tandis que les autres verront le tarif évoluer selon l’état de la demande.
Membre du Top 14
À l’heure ou le TO sont priés d’innover, cette démarche, sur laquelle Travel Europe n’est sans doute pas pionnier, donne en tout cas suffisamment de confiance au Pdg du TO autrichien.
Sur 2013, par exemple, il prévoie 100 000 pax sur la Croatie contre 80 000 en 2012.
Sur Madère également, Anton Gschwentner prévoit une hausse conséquente, avec 20 000 pax contre 15 500 en 2012…
Pour un membre du Top 14, référencé partout, hormis chez Thomas Cook, le défi n’a rien d’exagéré, malgré la crise… « Il ne suffit pas de demander de l’argent… » confie Pascale Gaston qui mise énormément sur cette distribution : « On attend beaucoup plus… »
Sur 2013, par exemple, il prévoie 100 000 pax sur la Croatie contre 80 000 en 2012.
Sur Madère également, Anton Gschwentner prévoit une hausse conséquente, avec 20 000 pax contre 15 500 en 2012…
Pour un membre du Top 14, référencé partout, hormis chez Thomas Cook, le défi n’a rien d’exagéré, malgré la crise… « Il ne suffit pas de demander de l’argent… » confie Pascale Gaston qui mise énormément sur cette distribution : « On attend beaucoup plus… »