Le board de Turkish Airlines avec Hamdi Topçu, directeur général au centre
Décidément, Turkish Airlines est une compagnie atypique.
Si la règle pour les compagnies nationales et publiques est de perdre de l'argent, souvent beaucoup, la compagnie turque, elle, en gagne. Beaucoup. Souvent.
En effet, son exercice 2010 devrait se solder par environ... 300 millions de bénéfice net !
Un résultat qui propulsera le transporteur national au 6e rang mondial des champions de la profitabilité immédiatement (excusez du peu) après Ryanair.
Au dernier trimestre, Turkish qui connaît la croissance la plus rapide des compagnies européennes, s'est même permis le luxe de coiffer British Airways au poteau.
Sans vouloir vous abreuver de chiffres, sachez qu'en 5 ans (2005 à 2010), le nombre de passagers en correspondance à Istanbul s'est envolé de... 450% pour atteindre plus de 6,3 millions !
Si la règle pour les compagnies nationales et publiques est de perdre de l'argent, souvent beaucoup, la compagnie turque, elle, en gagne. Beaucoup. Souvent.
En effet, son exercice 2010 devrait se solder par environ... 300 millions de bénéfice net !
Un résultat qui propulsera le transporteur national au 6e rang mondial des champions de la profitabilité immédiatement (excusez du peu) après Ryanair.
Au dernier trimestre, Turkish qui connaît la croissance la plus rapide des compagnies européennes, s'est même permis le luxe de coiffer British Airways au poteau.
Sans vouloir vous abreuver de chiffres, sachez qu'en 5 ans (2005 à 2010), le nombre de passagers en correspondance à Istanbul s'est envolé de... 450% pour atteindre plus de 6,3 millions !
Renforcement très significatif de sa présence aux Etats Unis
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Une stratégie de hub qui réussit particulièrement bien à Turkish. Et la compagnie entend persévérer dans cette direction, a rappelé Hamdi Topçu, directeur général, qui a fait le déplacement à Seattle pour réceptionner le 1er de la série des 12 Boeing 777-300 RE de nouvelle génération commandés au constructeur américain.
Des résultats qui ne sont pas étrangers au positionnement stratégique d'Istanbul, au carrefour des continents européens, asiatique et du moyen orient qui permettent des gains de temps non négligeables, notamment lors des traversées transatlantiques.
Un avantage que Turkish Airlines compte creuser, avec le renforcement très significatif de sa présence aux Etats Unis.
Les deux vols quotidiens au départ de New York et Chicago devraient essaimer en novembre prochain à Atlanta et Washington DC, (4 vols hebdo chacun), Los Angeles ouvrant en mars 2011.
Mais d'ores et déjà la compagnie louche aussi sur Detroit, Houston, Boston, Miami et au delà vers Buenos Aires et Mexico City.
Des résultats qui ne sont pas étrangers au positionnement stratégique d'Istanbul, au carrefour des continents européens, asiatique et du moyen orient qui permettent des gains de temps non négligeables, notamment lors des traversées transatlantiques.
Un avantage que Turkish Airlines compte creuser, avec le renforcement très significatif de sa présence aux Etats Unis.
Les deux vols quotidiens au départ de New York et Chicago devraient essaimer en novembre prochain à Atlanta et Washington DC, (4 vols hebdo chacun), Los Angeles ouvrant en mars 2011.
Mais d'ores et déjà la compagnie louche aussi sur Detroit, Houston, Boston, Miami et au delà vers Buenos Aires et Mexico City.
Plan d'achat de plus d'une centaine de nouveaux appareils
1 des Boeing 777-300 RE de Turkish Airlines en cours d'assemblage
Déjà présente en Asie avec 12 destinations, elle prévoit également d'ouvrir bientôt Manille, Ghouanzou, Dacca et Ho Chi Min ville. Mais il ne saurait être question d'oublier l'Afrique où, grâce au B737-900, Turkish compte disposer d'un "avantage significatif" en termes de tarifs pour conquérir des parts de marché.
Avec une flotte de 142 appareils d'une moyenne d'âge de 6,26 ans, soit la plus jeune des compagnies européenne et des coûts opérationnels parmi les plus compétitifs du marché, le transporteur turc a enclenché un cercle vertueux.
Les retours des clients sont flatteurs, le taux de satisfaction est au zénith et la compagnie joue les élèves modèles aux SkyTrax Awards dont elle rafle les prix.
Un avantage concurrentiel que TA pousse encore à son avantage en investissant massivement dans un plan d'achat de plus d'une centaine de nouveaux appareils pour répondre à son calendrier d'ouverture de lignes.
Dans quelques heures, tout le board de Turkish Airlines décollera vers Istanbul via New York à bord du 1er 777-300 RE nouvelle génération. Un événement qui sonne aussi comme le départ d'une nouvelle ère pour la compagnie nationale.
Avec une flotte de 142 appareils d'une moyenne d'âge de 6,26 ans, soit la plus jeune des compagnies européenne et des coûts opérationnels parmi les plus compétitifs du marché, le transporteur turc a enclenché un cercle vertueux.
Les retours des clients sont flatteurs, le taux de satisfaction est au zénith et la compagnie joue les élèves modèles aux SkyTrax Awards dont elle rafle les prix.
Un avantage concurrentiel que TA pousse encore à son avantage en investissant massivement dans un plan d'achat de plus d'une centaine de nouveaux appareils pour répondre à son calendrier d'ouverture de lignes.
Dans quelques heures, tout le board de Turkish Airlines décollera vers Istanbul via New York à bord du 1er 777-300 RE nouvelle génération. Un événement qui sonne aussi comme le départ d'une nouvelle ère pour la compagnie nationale.