Trois Norvégiens étaient montés dans la Tour et l'un d'eux a sauté en parachute, vers 22h00 lundi (20H00 GMT), du deuxième étage (115 mètres).
Il s'est encastré sur les hauteurs du premier étage du célèbre monument et est mort sur le coup, selon les éléments de l'enquête policière.
Son amie, en état de choc, a précisé aux policiers que la victime avait manifesté son intention de "sauter à tout prix" du monument la veille en l'honneur de la fête nationale de son pays mardi. Il avait également l'intention de diffuser un film sur internet, selon la même source.
Avant ce saut tragique, quatre Norvégiens, sans doute du même groupe, avaient été interceptés dans l'après-midi par le service de sécurité de la Tour Montparnasse alors que deux d'entre eux s'apprêtaient à sauter en parachute du sommet du bâtiment à 210 mètres d'altitude, a-t-on appris à la Tour.
Les deux "base-jumpers" (sauteurs en parachute depuis un point fixe, immeuble ou relief naturel) voulaient tourner un film publicitaire pour une marque de vêtements pour jeunes.
Le premier "base-jumper" de la Tour Eiffel, un certain Franz Reichelt, tailleur de son état, s'était tué en sautant le 4 février 1912 du premier étage avec un parachute de son invention. Son saut de cinq secondes avait été filmé.
La Rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
Il s'est encastré sur les hauteurs du premier étage du célèbre monument et est mort sur le coup, selon les éléments de l'enquête policière.
Son amie, en état de choc, a précisé aux policiers que la victime avait manifesté son intention de "sauter à tout prix" du monument la veille en l'honneur de la fête nationale de son pays mardi. Il avait également l'intention de diffuser un film sur internet, selon la même source.
Avant ce saut tragique, quatre Norvégiens, sans doute du même groupe, avaient été interceptés dans l'après-midi par le service de sécurité de la Tour Montparnasse alors que deux d'entre eux s'apprêtaient à sauter en parachute du sommet du bâtiment à 210 mètres d'altitude, a-t-on appris à la Tour.
Les deux "base-jumpers" (sauteurs en parachute depuis un point fixe, immeuble ou relief naturel) voulaient tourner un film publicitaire pour une marque de vêtements pour jeunes.
Le premier "base-jumper" de la Tour Eiffel, un certain Franz Reichelt, tailleur de son état, s'était tué en sautant le 4 février 1912 du premier étage avec un parachute de son invention. Son saut de cinq secondes avait été filmé.
La Rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com