Plus d’un an après s’être lancée sur iPhone, l’application débarque sur Google Play - DR : VeryLastRoom
« Plus tu réserves tard, moins tu payes ! » C’est avec ce slogan que l’application mobile de réservation d’hôtels à la dernière minute a su trouver sa place.
Sur VeryLastRoom, impossible de réserver pour le lendemain, ou le surlendemain, la société s’est spécialisée dans le “very last-minute” et ne met en vente que des chambres encore invendues pour le soir-même.
Un créneau qu’il fallait prendre quand l’on connaît les tendances du marché, de plus en plus propices à la vente de dernière minute.
Depuis juillet 2012, VeryLastRoom ne cesse de se déployer. Désormais disponible sur Androïd, l’application mobile vient de signer le 1 000ème hôtel partenaire, depuis son lancement.
« Lors de notre lancement en 2012, les premiers à nous avoir fait confiance ont été les hôteliers indépendants, mais aujourd’hui des chaines hôtelières de plus en plus importantes viennent vers nous.
Le concept commence à faire sérieusement ses preuves », commente Nicolas SALIN, CEO & co-fondateur de VeryLastRoom. En effet, des établissements BestWestern, Lucien Barrière, ou encore Radisson font partie de l’offre de la start-up.
Sur VeryLastRoom, impossible de réserver pour le lendemain, ou le surlendemain, la société s’est spécialisée dans le “very last-minute” et ne met en vente que des chambres encore invendues pour le soir-même.
Un créneau qu’il fallait prendre quand l’on connaît les tendances du marché, de plus en plus propices à la vente de dernière minute.
Depuis juillet 2012, VeryLastRoom ne cesse de se déployer. Désormais disponible sur Androïd, l’application mobile vient de signer le 1 000ème hôtel partenaire, depuis son lancement.
« Lors de notre lancement en 2012, les premiers à nous avoir fait confiance ont été les hôteliers indépendants, mais aujourd’hui des chaines hôtelières de plus en plus importantes viennent vers nous.
Le concept commence à faire sérieusement ses preuves », commente Nicolas SALIN, CEO & co-fondateur de VeryLastRoom. En effet, des établissements BestWestern, Lucien Barrière, ou encore Radisson font partie de l’offre de la start-up.
Un processus de réservation court
Nicolas Salin, présent à la conférence e-tourisme de CCM Benchmark, expliquait son positionnement. « Notre application répond à un besoin clair et précis. Et propose le chemin le plus court pour y arriver. Je souhaite que le tunnel d’achat soit le plus court possible. »
Pour faciliter encore plus la réservation d’un hôtel, un système de scan de carte bleue a été mis en place. « Un processus original qui créé un lien mémoriel avec l’application », se félicite le jeune entrepreneur. « Nous capitalisons aussi sur Facebook Connect, utilisé par 20% de nos clients. »
L’application recense 80% de son portfolio hôtelier en France. La société a déjà commencé à se développer en Espagne, Belgique et Luxembourg.
La société avait levé 400 000 euros en avril 2013.
Chaque jour, l’application propose des promotions sur des chambres d’hôtels à réserver pour le soir-même, avec des prix qui descendent centimes par centimes, tout au long de la journée.
Pour faciliter encore plus la réservation d’un hôtel, un système de scan de carte bleue a été mis en place. « Un processus original qui créé un lien mémoriel avec l’application », se félicite le jeune entrepreneur. « Nous capitalisons aussi sur Facebook Connect, utilisé par 20% de nos clients. »
L’application recense 80% de son portfolio hôtelier en France. La société a déjà commencé à se développer en Espagne, Belgique et Luxembourg.
La société avait levé 400 000 euros en avril 2013.
Chaque jour, l’application propose des promotions sur des chambres d’hôtels à réserver pour le soir-même, avec des prix qui descendent centimes par centimes, tout au long de la journée.