i-tourisme : Quel sera le thème de cette 7ème édition de Voyage en Multimédia ?
Benoît Dudragne : Cette année, nous aborderons principalement les thèmes de l’expérience utilisateur, de la mobilité et de la séduction.
De nouveaux acteurs prennent leur place dans le secteur du tourisme et révolutionnent le domaine. Nous nous sommes demandé sur quoi nous pouvions encore apporter un éclairage dans ce contexte, sur quels leviers nos visiteurs peuvent encore agir.
Aujourd’hui, la différence se fait sur la qualité du produit car il y a beaucoup de transparence sur le web, il est très facile de comparer.
La façon dont il est vendu compte également : il s’agit de faire un produit de bonne qualité, puis de réfléchir à sa présentation sur des supports numériques afin d’apporter le plus d’impact.
Nous travaillons principalement sur la notion de contenu et de mise en scène. Pour les entreprises du voyage, il faut s’adapter pour vendre un « moment de vie », une expérience touristique à part entière.
Les réseaux sociaux permettent de partager cette expérience. Ce sont aussi des relais pour prolonger la relation client.
L’expérience utilisateur implique une approche centrée sur le client. Nous devons étudier ses besoins réels et prendre position en fonction.
L’expérience utilisateur doit également générer l’intuitivité dans la navigation, il faut donc se centrer sur l’ergonomie et particulièrement en situation de mobilité.
i-tourisme : Comment avez-vous déterminé les thèmes des ateliers ?
Benoît Dudragne : Nous avons choisi ces thèmes avec le réseau que nous avons constitué lors des éditions précédentes. Nous partageons nos idées et visions, nous tentons de déterminer les tendances, les sujets les plus pertinents.
Notre but est de répondre aux questions que notre public se pose, de les faire réfléchir, de proposer des solutions.
Benoît Dudragne : Cette année, nous aborderons principalement les thèmes de l’expérience utilisateur, de la mobilité et de la séduction.
De nouveaux acteurs prennent leur place dans le secteur du tourisme et révolutionnent le domaine. Nous nous sommes demandé sur quoi nous pouvions encore apporter un éclairage dans ce contexte, sur quels leviers nos visiteurs peuvent encore agir.
Aujourd’hui, la différence se fait sur la qualité du produit car il y a beaucoup de transparence sur le web, il est très facile de comparer.
La façon dont il est vendu compte également : il s’agit de faire un produit de bonne qualité, puis de réfléchir à sa présentation sur des supports numériques afin d’apporter le plus d’impact.
Nous travaillons principalement sur la notion de contenu et de mise en scène. Pour les entreprises du voyage, il faut s’adapter pour vendre un « moment de vie », une expérience touristique à part entière.
Les réseaux sociaux permettent de partager cette expérience. Ce sont aussi des relais pour prolonger la relation client.
L’expérience utilisateur implique une approche centrée sur le client. Nous devons étudier ses besoins réels et prendre position en fonction.
L’expérience utilisateur doit également générer l’intuitivité dans la navigation, il faut donc se centrer sur l’ergonomie et particulièrement en situation de mobilité.
i-tourisme : Comment avez-vous déterminé les thèmes des ateliers ?
Benoît Dudragne : Nous avons choisi ces thèmes avec le réseau que nous avons constitué lors des éditions précédentes. Nous partageons nos idées et visions, nous tentons de déterminer les tendances, les sujets les plus pertinents.
Notre but est de répondre aux questions que notre public se pose, de les faire réfléchir, de proposer des solutions.
La culture au coeur de l'événement
"L’année dernière, le retour était positif et nous permet de poursuivre dans cet esprit là." (c) Benoit Dudragne
i-tourisme : A qui vous adressez-vous lors de ce salon ?
Benoît Dudragne : Tout d’abord aux institutions : offices du tourisme, collectivités locales, chambres de commerce, etc.
Nous ciblons aussi les entreprises prestataires du tourisme, du loisir, les acteurs de la culture, mais également les agences de communication ou les agences web.
Notre public est varié.
i-tourisme : Pourquoi avez-vous choisi Franck Gervais en tant que « Grand Témoin » ?
Benoît Dudragne : Franck Gervais est au cœur de l’actualité ces derniers temps.
Le site voyages-sncf.com est aussi très centré sur l’expérience utilisateur.
Franck Gervais est un manager jeune qui a une vraie vision et qui la met en œuvre. Notre « Grand Témoin » doit être capable de prendre de la hauteur pour nous faire comprendre des facteurs clé dans le marché actuel.
i-tourisme : Quel est le rôle de vos partenaires ? Apportent-ils un soutien concernant l’organisation du salon ?
Benoît Dudragne : Nous avons de nombreux partenaires avec lesquels nous réfléchissons ensemble au concept de l’événement.
D’autres partenaires nous aident en matière de communication : ils relaient l’évènement car ils sont eux-mêmes acteurs sur ce salon.
Notre rôle est de fédérer des acteurs autour d’un rendez-vous, de travailler en intelligence collective. Ils nous apportent leur expertise et nous leur offrons de la visibilité.
Benoît Dudragne : Tout d’abord aux institutions : offices du tourisme, collectivités locales, chambres de commerce, etc.
Nous ciblons aussi les entreprises prestataires du tourisme, du loisir, les acteurs de la culture, mais également les agences de communication ou les agences web.
Notre public est varié.
i-tourisme : Pourquoi avez-vous choisi Franck Gervais en tant que « Grand Témoin » ?
Benoît Dudragne : Franck Gervais est au cœur de l’actualité ces derniers temps.
Le site voyages-sncf.com est aussi très centré sur l’expérience utilisateur.
Franck Gervais est un manager jeune qui a une vraie vision et qui la met en œuvre. Notre « Grand Témoin » doit être capable de prendre de la hauteur pour nous faire comprendre des facteurs clé dans le marché actuel.
i-tourisme : Quel est le rôle de vos partenaires ? Apportent-ils un soutien concernant l’organisation du salon ?
Benoît Dudragne : Nous avons de nombreux partenaires avec lesquels nous réfléchissons ensemble au concept de l’événement.
D’autres partenaires nous aident en matière de communication : ils relaient l’évènement car ils sont eux-mêmes acteurs sur ce salon.
Notre rôle est de fédérer des acteurs autour d’un rendez-vous, de travailler en intelligence collective. Ils nous apportent leur expertise et nous leur offrons de la visibilité.
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i-tourisme : Qu’est-ce qui a changé par rapport à l’année dernière ?
Benoît Dudragne : La culture prend une place importante cette année. Elle permet aussi d’améliorer l’attractivité d’un territoire.
Nous avons travaillé avec des professionnels du domaine et nous leur offrons la possibilité de se faire connaître auprès d’acteurs du tourisme et vice versa. Il s’agit de les faire collaborer ensemble.
Nous avons aussi ajouté un atelier sur le fooding, une tendance forte qui valorise la gastronomie.
Un atelier "billetterie", qui participe à la gestion de la relation client, sera également mis en place.
Les thèmes traités sont toujours des thèmes d’actualité. Nous mélangeons les acteurs de la culture, les institutions en se centrant sur leurs besoins.
i-tourisme : Quels sont les retours que vous avez eu après l’édition 2015 de l’évènement ? Avez-vous une visibilité sur les rencontres qui s’y sont déroulées ?
Benoît Dudragne : Nous avons des retours qui nous permettent d’évaluer le salon. L’année dernière, le retour était positif et nous permet de poursuivre dans cet esprit là.
Le salon est un espace de networking très fort où des gens peuvent se rencontrer et des partenariats se nouer.
Nous avons de nombreux témoignages positifs sur les rencontres BtoB qui se sont générées.
Benoît Dudragne : La culture prend une place importante cette année. Elle permet aussi d’améliorer l’attractivité d’un territoire.
Nous avons travaillé avec des professionnels du domaine et nous leur offrons la possibilité de se faire connaître auprès d’acteurs du tourisme et vice versa. Il s’agit de les faire collaborer ensemble.
Nous avons aussi ajouté un atelier sur le fooding, une tendance forte qui valorise la gastronomie.
Un atelier "billetterie", qui participe à la gestion de la relation client, sera également mis en place.
Les thèmes traités sont toujours des thèmes d’actualité. Nous mélangeons les acteurs de la culture, les institutions en se centrant sur leurs besoins.
i-tourisme : Quels sont les retours que vous avez eu après l’édition 2015 de l’évènement ? Avez-vous une visibilité sur les rencontres qui s’y sont déroulées ?
Benoît Dudragne : Nous avons des retours qui nous permettent d’évaluer le salon. L’année dernière, le retour était positif et nous permet de poursuivre dans cet esprit là.
Le salon est un espace de networking très fort où des gens peuvent se rencontrer et des partenariats se nouer.
Nous avons de nombreux témoignages positifs sur les rencontres BtoB qui se sont générées.