Jean-Paul Chantraine, est l'un des pionniers des voyages sur-mesure en Australie.
C'est lui qui a inspiré et donné à François Giner, concepteur du camp Bodeidei, l'idée d'écrire avec le photographe Bruno Cabanis, le livre « En Terre des Ombres ».
François Giner emprunta en effet dès 1988 la piste de Katherine jusqu’au village de Weemol, en plein cœur de la terre d’Arnhem au nord de l’Australie.
Il y rencontra Balang et sa famille, une profonde amitié les lia durant 24 ans. Balang avait rencontré son premier blanc à l’âge de 14 ans. François fut invité à participer aux cérémonies aborigènes. Il devint ami et frère de la communauté.
L’auteur raconte, dans ce livre-photo, ce qui semble indispensable à la compréhension de ce peuple et ce que fut la colonisation de l’Australie depuis 1788.
Photographies, descriptions récits et anecdotes se succèdent sur les aborigènes : leur mode de vie (chasse, pêche, cueillette), leur environnement et leur culture mêlant leurs mythes fondateurs, leurs croyances, leurs lois, leur mode d’enseignement, la peinture, la
musique et la danse.
C'est lui qui a inspiré et donné à François Giner, concepteur du camp Bodeidei, l'idée d'écrire avec le photographe Bruno Cabanis, le livre « En Terre des Ombres ».
François Giner emprunta en effet dès 1988 la piste de Katherine jusqu’au village de Weemol, en plein cœur de la terre d’Arnhem au nord de l’Australie.
Il y rencontra Balang et sa famille, une profonde amitié les lia durant 24 ans. Balang avait rencontré son premier blanc à l’âge de 14 ans. François fut invité à participer aux cérémonies aborigènes. Il devint ami et frère de la communauté.
L’auteur raconte, dans ce livre-photo, ce qui semble indispensable à la compréhension de ce peuple et ce que fut la colonisation de l’Australie depuis 1788.
Photographies, descriptions récits et anecdotes se succèdent sur les aborigènes : leur mode de vie (chasse, pêche, cueillette), leur environnement et leur culture mêlant leurs mythes fondateurs, leurs croyances, leurs lois, leur mode d’enseignement, la peinture, la
musique et la danse.
Aborigènes : un livre-photo indispensable à la compréhension
Le livre se referme sur deux chapitres importants et rares : la première cérémonie d’initiation à laquelle François fut conviée et la cérémonie funéraire qui honora la mémoire de son ami Balang disparu à l’été 2010.
Le Bodeidei Camp ferma en 2011. Ce livre de 200 pages donne un bel éclairage sur l’histoire de ce projet teinté d’humanisme et de profonde amitié avec les Aborigènes, cette histoire c’est aussi celle de Jean-Paul Chantraine et d’Asia en Australie.
Guillaume Linton, Président d’Asia depuis le décès du fondateur Jean-Paul Chantraine, a vécu en expatrié durant quelques années en Australie. Il voit là « un témoignage précieux pour comprendre et décoder en partie la culture millénaire aborigène de ce pays » .…
Et pour rendre visible une de ses parts d’ombre ?
Le Bodeidei Camp ferma en 2011. Ce livre de 200 pages donne un bel éclairage sur l’histoire de ce projet teinté d’humanisme et de profonde amitié avec les Aborigènes, cette histoire c’est aussi celle de Jean-Paul Chantraine et d’Asia en Australie.
Guillaume Linton, Président d’Asia depuis le décès du fondateur Jean-Paul Chantraine, a vécu en expatrié durant quelques années en Australie. Il voit là « un témoignage précieux pour comprendre et décoder en partie la culture millénaire aborigène de ce pays » .…
Et pour rendre visible une de ses parts d’ombre ?
LES AUTEURS
François Giner a 29 ans en 1974 lorsqu’il débarque pour la première fois en Australie, après avoir bourlingué à travers l’Afrique, l’Asie et les Iles du Pacifique. Pendant quatorze ans il va sillonner les pistes Australiennes jusqu’à ce que son Toyota l’amène au cœur des Territoires du Nord, en Terre d’Arnhem.
En 1988, il rencontre la communauté des Ngklabon et se lie d’amitié avec George Jangawanga, un homme important qui lui permettra de s’installer sur leurs terres, puis lui donnera un nom aborigène : Balang qui fera de lui son frère. Il y restera jusqu’à la mort de son ami en 2010. Cette aventure humaine a fait l’objet d’un livre : « En Terre aborigène Rencontre avec un monde ancien » publié chez Albin Michel en 2007.
Bruno Cabanis est photographe, auteur de plusieurs livres sur Paris avec Sybil Canac aux éditions Massin: Boutiques anciennes de Paris, Passages couverts de Paris, Paris métro histoire et design , et deux ouvrages dédiés à des métiers d’art : Horlogerie Française, les artisans du temps et Sculpteurs de BD, dans l’atelier des sculpteurs de figurines aux éditions Eyrolles.
Il rencontre François Giner en 2002 lors d’un voyage en Australie et restera en contact avec lui au travers de la fondation que ce dernier a créé pour aider ses amis aborigènes. C’est en 2007, après la sortie du livre de François que qu’il lui proposera l’idée d’un beau livre photo, dont la réalisation débutera à l’été 2008.
En 1988, il rencontre la communauté des Ngklabon et se lie d’amitié avec George Jangawanga, un homme important qui lui permettra de s’installer sur leurs terres, puis lui donnera un nom aborigène : Balang qui fera de lui son frère. Il y restera jusqu’à la mort de son ami en 2010. Cette aventure humaine a fait l’objet d’un livre : « En Terre aborigène Rencontre avec un monde ancien » publié chez Albin Michel en 2007.
Bruno Cabanis est photographe, auteur de plusieurs livres sur Paris avec Sybil Canac aux éditions Massin: Boutiques anciennes de Paris, Passages couverts de Paris, Paris métro histoire et design , et deux ouvrages dédiés à des métiers d’art : Horlogerie Française, les artisans du temps et Sculpteurs de BD, dans l’atelier des sculpteurs de figurines aux éditions Eyrolles.
Il rencontre François Giner en 2002 lors d’un voyage en Australie et restera en contact avec lui au travers de la fondation que ce dernier a créé pour aider ses amis aborigènes. C’est en 2007, après la sortie du livre de François que qu’il lui proposera l’idée d’un beau livre photo, dont la réalisation débutera à l’été 2008.