Au rang des principales activités consommées durant le séjour, la visite des musées et des monuments ainsi que les promenades dans la ville arrivent en tête (68 % et 63 % en moyenne).
Pour la première fois de son histoire, le CRT Paris Ile-de-France va faire valoir auprès du marché français sa région qui englobe à la fois Disneyland Paris, première destination touristique européenne, le Stade de France et le Château de Versailles.
Une grande campagne de communication est en préparation à l'échelle nationale. Lancement le 5 novembre 2009.
Après la France, la Belgique avec le Luxembourg représente le premier marché européen (10,8 %) des clients utilisant les trains à grande vitesse pour se rendre à Paris. Viennent ensuite le Royaume-Uni (9 %), l'Allemagne (5,3 %), les Pays-Bas (3,9 %).
La durée moyenne de séjour est de 4 nuits et la dépense moyenne, de 123 € par jour et par personne (90 € pour le Français et 172 € pour l'Etranger).
PACA, puis Rhône-Alpes et Pays de Loire sont les 3 premières régions d'origine des touristes de Paris Ile-de-France. Il s'agit, pour l'essentiel, de personnes exerçant une profession libérale, cadres, hommes d'affaires (38 %) âgés de 26 à 59 ans.
Une grande campagne de communication est en préparation à l'échelle nationale. Lancement le 5 novembre 2009.
Après la France, la Belgique avec le Luxembourg représente le premier marché européen (10,8 %) des clients utilisant les trains à grande vitesse pour se rendre à Paris. Viennent ensuite le Royaume-Uni (9 %), l'Allemagne (5,3 %), les Pays-Bas (3,9 %).
La durée moyenne de séjour est de 4 nuits et la dépense moyenne, de 123 € par jour et par personne (90 € pour le Français et 172 € pour l'Etranger).
PACA, puis Rhône-Alpes et Pays de Loire sont les 3 premières régions d'origine des touristes de Paris Ile-de-France. Il s'agit, pour l'essentiel, de personnes exerçant une profession libérale, cadres, hommes d'affaires (38 %) âgés de 26 à 59 ans.
Le guide « payant » ne fait plus recette
L'escapade parisienne se partage à quasi égalité entre les motifs professionnels (45 %) et les vacances (50 %). 23 % viennent visiter la famille et 16 %, des amis.
Qu'ils soient Français ou Etrangers, les touristes s'informent et préparent leur voyage à Paris par des sites internet (30%) alors qu'ils ne sont plus que 3 % a faire appel à des guides payants.
Les agences de voyages restent dans la course (21 %). Beaucoup de voyageurs viennent par leur entreprise (16 %). Ils sont 15 % à s'informer directement auprès de leur hébergeur.
Pour réserver « ferme » 29 % s'adressent directement à leur hébergeur, 26 % utilisent internet et 22 % font appel à leur agences de voyages.
Qu'ils soient Français ou Etrangers, les touristes s'informent et préparent leur voyage à Paris par des sites internet (30%) alors qu'ils ne sont plus que 3 % a faire appel à des guides payants.
Les agences de voyages restent dans la course (21 %). Beaucoup de voyageurs viennent par leur entreprise (16 %). Ils sont 15 % à s'informer directement auprès de leur hébergeur.
Pour réserver « ferme » 29 % s'adressent directement à leur hébergeur, 26 % utilisent internet et 22 % font appel à leur agences de voyages.
Plus de 75 % des touristes TGV courent les musées et les monuments
Au rang des principales activités consommées durant le séjour, la visite des musées et des monuments ainsi que les promenades dans la ville arrivent en tête (68 % et 63 % en moyenne). Ce chiffre monte à 87 % pour les Pays-Bas et 75 % pour l'Allemagne. La Tour Eiffel et Notre Dame de Paris restent les premiers lieux visités.
Le shopping est dans le « top 5 » des activités plébiscitées (40 %), suivi par les visites de parcs, jardins et sites naturels et par les sorties nocturnes. Les Allemands privilégient la gastronomie et les Belges, le shopping.
Face à ses concurrentes européennes que sont Londres, Berlin, Rome, Madrid ou Barcelone, Paris garde la main en réunissant plusieurs cartes maîtresses. Ses musées, ses expositions, son patrimoine historique, sa mode, ses créateurs, ses spectacles et sa vie nocturne sans oublier ses tables étoilées et ses bistrots « tendance » forment un tout unanimement apprécié.
Preuve en est : en dépit d'un accueil souvent critiqué et, pour les clientèles étrangères, un déficit notoire de professionnels s'exprimant dans leurs langues, 93 % des visiteurs se disent satisfaits de leurs séjours à Paris et dans sa région. 64 % déclarent avoir l'intention de revenir d'ici 2 ans.
Le shopping est dans le « top 5 » des activités plébiscitées (40 %), suivi par les visites de parcs, jardins et sites naturels et par les sorties nocturnes. Les Allemands privilégient la gastronomie et les Belges, le shopping.
Face à ses concurrentes européennes que sont Londres, Berlin, Rome, Madrid ou Barcelone, Paris garde la main en réunissant plusieurs cartes maîtresses. Ses musées, ses expositions, son patrimoine historique, sa mode, ses créateurs, ses spectacles et sa vie nocturne sans oublier ses tables étoilées et ses bistrots « tendance » forment un tout unanimement apprécié.
Preuve en est : en dépit d'un accueil souvent critiqué et, pour les clientèles étrangères, un déficit notoire de professionnels s'exprimant dans leurs langues, 93 % des visiteurs se disent satisfaits de leurs séjours à Paris et dans sa région. 64 % déclarent avoir l'intention de revenir d'ici 2 ans.
Développer l'événement et créer l'urgence de partir
Henriette Zoughebi, la présidente du Comité Régional du Tourisme Paris Ile-de-France souhaite voir se développer l'événementiel culturel, un axe fondamental, selon elle, pour créer auprès des marchés français et limitrophes l'urgence de venir à Paris.
A propos de l'enquête et de ses résultats elle a déclaré : « Tout ce travail d'observation est destiné à améliorer l'accueil des visiteurs en sachant qui ils sont, quelles sont leurs attentes. Nous faisions beaucoup de communication sans données réelles.
Nous sommes en mesure aujourd'hui de proposer aux acteurs du tourisme que sont les hôteliers, les restaurateurs, les musées, les sites culturels et les transports publics des données fiables. »
A propos de l'enquête et de ses résultats elle a déclaré : « Tout ce travail d'observation est destiné à améliorer l'accueil des visiteurs en sachant qui ils sont, quelles sont leurs attentes. Nous faisions beaucoup de communication sans données réelles.
Nous sommes en mesure aujourd'hui de proposer aux acteurs du tourisme que sont les hôteliers, les restaurateurs, les musées, les sites culturels et les transports publics des données fiables. »