La destination France va-t-elle (enfin) se doter un portail de promotion digne de ce nom ?
C'est en tout cas l'ambition du Bon Guide, un nouveau site internet lancé en grande pompe ce mercredi 17 juin.
Nul doute qu'avec toutes les fées qui se sont penchées sur son berceau, le Bon Guide possède tous les atouts nécessaires pour réussir.
En effet, son baptême officiel a eu lieu au Ministère des Affaires Etrangères, sous le patronage de Laurent Fabius.
Guillaume Pépy le patron de la SNCF et Dominique Desseigne, le PDG du groupe hôtelier Barrière sont montés à la tribune pour se féliciter de cet outil de promotion de la France.
Christian Mantéi, le directeur d'Atout France ainsi que Matthias Fekl, le secrétaire d'État chargé du tourisme étaient également présents.
C'est en tout cas l'ambition du Bon Guide, un nouveau site internet lancé en grande pompe ce mercredi 17 juin.
Nul doute qu'avec toutes les fées qui se sont penchées sur son berceau, le Bon Guide possède tous les atouts nécessaires pour réussir.
En effet, son baptême officiel a eu lieu au Ministère des Affaires Etrangères, sous le patronage de Laurent Fabius.
Guillaume Pépy le patron de la SNCF et Dominique Desseigne, le PDG du groupe hôtelier Barrière sont montés à la tribune pour se féliciter de cet outil de promotion de la France.
Christian Mantéi, le directeur d'Atout France ainsi que Matthias Fekl, le secrétaire d'État chargé du tourisme étaient également présents.
Agréger toute l'offre France sur un même site
Autres articles
-
Inscriptions ouvertes pour le salon Destination Montagnes 2025
-
Faible enneigement : "La montagne continue d’attirer"
-
200 chefs d'entreprise attendus pour le 2e Sommet Destination France
-
Tourisme d’affaires : Atout France soutient 11 projets en 2024
-
JOP de Paris 2024 : Atout France donne le coup d'envoi de sa campagne internationale
Le Bon Guide espère réussir là où tout le monde a échoué : réunir l'ensemble de l'offre touristique française et proposer aux professionnels une vitrine de promotion presque gratuite.
"Nous allons fonctionner un peu comme Le Bon Coin. Les professionnels pourront déposer leur annonce pour présenter leur activité. Et s'ils veulent plus de visibilité ils pourront payer" explique Antoine Hermite, le directeur général du site.
La plateforme veut également utiliser l'expertise de ces hôteliers, restaurateurs et offices du tourisme pour recommander des bons plans dans leurs régions respectives.
A terme, près de 6000 hébergements pourront être réservés en direct ou via des centrales partenaires.
Le Bon Guide compte se rémunérer grâce à la publicité, comme un média classique, ainsi qu'avec des abonnements qui seront achetés par ces professionnels du tourisme.
Le directeur promet toutefois de ne pas prendre des commissions comme les OTA américaines. "Les prestataires auront donc tout intérêt à proposer les meilleurs tarifs sur notre site" remarque-t-il.
"Nous allons fonctionner un peu comme Le Bon Coin. Les professionnels pourront déposer leur annonce pour présenter leur activité. Et s'ils veulent plus de visibilité ils pourront payer" explique Antoine Hermite, le directeur général du site.
La plateforme veut également utiliser l'expertise de ces hôteliers, restaurateurs et offices du tourisme pour recommander des bons plans dans leurs régions respectives.
A terme, près de 6000 hébergements pourront être réservés en direct ou via des centrales partenaires.
Le Bon Guide compte se rémunérer grâce à la publicité, comme un média classique, ainsi qu'avec des abonnements qui seront achetés par ces professionnels du tourisme.
Le directeur promet toutefois de ne pas prendre des commissions comme les OTA américaines. "Les prestataires auront donc tout intérêt à proposer les meilleurs tarifs sur notre site" remarque-t-il.
Un portail soutenu par un grand groupe médias
Une belle brochettes de personnalités officielles lors de la présentation du Bon Guide. DR-F. Bitouzet @B2zet
Contrairement aux précédentes expériences, comme la défunte Hexatourisme, le Bon Guide a les moyens de ses ambitions.
Soutenu par le groupe Webedia, qui appartient à la société d'investissement Fimalac, il a investi entre 10 et 20 millions d'euros dans son développement sur cinq ans et espère atteindre la rentabilité d'ici 18 mois.
"Nous visons 2 millions de visiteurs uniques, soit environ 10% de l'audience de l'ensemble des sites du groupe. Et nous prévoyons d'ouvrir d'ici la fin de l'année des versions internationales en Anglais, Allemand, Espagnol Italien et Néerlandais ", poursuit Antoine Hermite.
Webedia a récemment fait parler de lui en rachetant Easyvoyage.
L'entreprise de Jean-Pierre Nadir va intégrer prochainement le groupe tout en conservant pour l'instant son identité.
"Webedia a l'habitude de garder les marques qu'elles rachète, d'autant qu'Easyvoyage bénéficie d'une forte notoriété sur le marché français" assure Antoine Hermite.
Des synergies rédactionnelles et technologiques devraient toutefois être mises en place. Une annonce rassurante pour les quelques salariés d'Easyvoyage présents dans la salle.
Soutenu par le groupe Webedia, qui appartient à la société d'investissement Fimalac, il a investi entre 10 et 20 millions d'euros dans son développement sur cinq ans et espère atteindre la rentabilité d'ici 18 mois.
"Nous visons 2 millions de visiteurs uniques, soit environ 10% de l'audience de l'ensemble des sites du groupe. Et nous prévoyons d'ouvrir d'ici la fin de l'année des versions internationales en Anglais, Allemand, Espagnol Italien et Néerlandais ", poursuit Antoine Hermite.
Webedia a récemment fait parler de lui en rachetant Easyvoyage.
L'entreprise de Jean-Pierre Nadir va intégrer prochainement le groupe tout en conservant pour l'instant son identité.
"Webedia a l'habitude de garder les marques qu'elles rachète, d'autant qu'Easyvoyage bénéficie d'une forte notoriété sur le marché français" assure Antoine Hermite.
Des synergies rédactionnelles et technologiques devraient toutefois être mises en place. Une annonce rassurante pour les quelques salariés d'Easyvoyage présents dans la salle.