Et tout le monde s'y met. Même les industriels qui, une fois de plus et toujours à la traine de la mode, retournent la veste et se lancent dans le "sur-mesure" ! /photo dr
J'ai souvent parlé d'Asia et bon nombre de lecteurs auront soupçonné une certaine complicité de ma part avec ce TO.
Ils n'ont pas tort, j'ai toujours privilégié le travail bien fait, la créativité et le sens du service.
Et comme d'habitude, force est de constater qu'il existe encore certains TO qui anticipent, qui créent et cherchent à rester dans la mouvance de leur marché.
Quitte souvent à instaurer les tendances futures. Et parfois, se planter aussi !
En tout cas, et je ne reviendrai pas dessus, pour Asia, ça marche ! (lire ci-dessus ou dessous)
La machine, sous des airs d'artisanat est bien huilée industriellement, car le duo Chantraine et son Lagerfeld-Chiffert (le créateur des tendances) fonctionne.
Et pour une fois, le temps de parole de chacun a été quasi respecté.
Ils n'ont pas tort, j'ai toujours privilégié le travail bien fait, la créativité et le sens du service.
Et comme d'habitude, force est de constater qu'il existe encore certains TO qui anticipent, qui créent et cherchent à rester dans la mouvance de leur marché.
Quitte souvent à instaurer les tendances futures. Et parfois, se planter aussi !
En tout cas, et je ne reviendrai pas dessus, pour Asia, ça marche ! (lire ci-dessus ou dessous)
La machine, sous des airs d'artisanat est bien huilée industriellement, car le duo Chantraine et son Lagerfeld-Chiffert (le créateur des tendances) fonctionne.
Et pour une fois, le temps de parole de chacun a été quasi respecté.
Faut dire aussi que le menu du restaurant LiLi du Peninsula Paris ne permettait pas de laisser refroidir les saveurs trop longtemps !
Ceci étant, c'est un mot comme les affectionne Jean-Paul Chantraine, qui me porte à vous soumettre ces quelques réflexions.
"La concurrence, explique-t-il, ce ne sont pas les quelque 32 TO du Seto qui travaillent sur l'Asie, c'est essentiellement la désintermédiation… et les producteurs occasionnels".
En clair, tous ces "nouveaux" producteurs, armés d'un moteur de recherche connecté à des réceptifs disséminés à travers le monde et qui proposent à leurs clients du pseudo "sur mesure".
Ça, c'est moi qui le dit, mais c'est tellement évident… Parce que, c'est aussi vrai, les tendances évoluent.
On avait le circuit, le séjour, le club, le mainstream, le "à la carte", maintenant, la tendance est au "sur mesure".
Et tout le monde s'y met. Même les industriels qui, une fois de plus et toujours à la traîne de la mode, retournent la veste et se lancent dans le "sur-mesure" !
Du coup, tout le monde s'y engouffre, avec plus ou moins de bonheur.
Et, certains malins ont bien senti le vent venir, ceux qui ont concocté ces "plateformes de réceptifs", à partir desquelles n'importe quelle agence un peu maline va proposer un séjour sur mesure à ses clients.
Et peu importe que ce soit au Kamchatka ou en Papouasie (sans aucune connotation péjorative pour ces destinations de grande qualité).
Ceci étant, c'est un mot comme les affectionne Jean-Paul Chantraine, qui me porte à vous soumettre ces quelques réflexions.
"La concurrence, explique-t-il, ce ne sont pas les quelque 32 TO du Seto qui travaillent sur l'Asie, c'est essentiellement la désintermédiation… et les producteurs occasionnels".
En clair, tous ces "nouveaux" producteurs, armés d'un moteur de recherche connecté à des réceptifs disséminés à travers le monde et qui proposent à leurs clients du pseudo "sur mesure".
Ça, c'est moi qui le dit, mais c'est tellement évident… Parce que, c'est aussi vrai, les tendances évoluent.
On avait le circuit, le séjour, le club, le mainstream, le "à la carte", maintenant, la tendance est au "sur mesure".
Et tout le monde s'y met. Même les industriels qui, une fois de plus et toujours à la traîne de la mode, retournent la veste et se lancent dans le "sur-mesure" !
Du coup, tout le monde s'y engouffre, avec plus ou moins de bonheur.
Et, certains malins ont bien senti le vent venir, ceux qui ont concocté ces "plateformes de réceptifs", à partir desquelles n'importe quelle agence un peu maline va proposer un séjour sur mesure à ses clients.
Et peu importe que ce soit au Kamchatka ou en Papouasie (sans aucune connotation péjorative pour ces destinations de grande qualité).
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La plupart du temps sans grande connaissance du pays, mais c'est pas grave, il suffit de googueliser et c'est parti. Vous voulez du sur-mesure à bas prix, on va vous en donner !
Ben, il a raison, le père Chantraine, c'est ça la vraie concurrence. Même, si, à leur retour, les clients sentent un peu le rassis et viennent voir leur agence avec un goût amer dans le regard…
Allez leur expliquer qu'ils ont payé low cost une prestation qu'on leur présente "sur mesure".
Et c'est bien, franchement, je n'y crois pas. J'ai même envie de dire que les agences qui vont se croire producteurs de ce genre de voyages finiront par se casser la figure, sauf certaines, extrêmement spécialisées et qui auront choisi elle-mêmes leurs réceptifs.
Je ne crois pas au "sur mesure" de masse, même si la tendance est encore à la recherche du "meilleur prix".
A plus forte raison, les réseaux qui mettent à disposition (moyennant finances) de leurs adhérents, ces fameuses plateformes de réceptifs…
En même temps, il y a de la place pour tout le monde, mais faut pas confondre Ibis et Peninsula (par exemple). Perso, mon choix est fait… mais faut pas rêver !
Chacun sa croix…
Ben, il a raison, le père Chantraine, c'est ça la vraie concurrence. Même, si, à leur retour, les clients sentent un peu le rassis et viennent voir leur agence avec un goût amer dans le regard…
Allez leur expliquer qu'ils ont payé low cost une prestation qu'on leur présente "sur mesure".
Et c'est bien, franchement, je n'y crois pas. J'ai même envie de dire que les agences qui vont se croire producteurs de ce genre de voyages finiront par se casser la figure, sauf certaines, extrêmement spécialisées et qui auront choisi elle-mêmes leurs réceptifs.
Je ne crois pas au "sur mesure" de masse, même si la tendance est encore à la recherche du "meilleur prix".
A plus forte raison, les réseaux qui mettent à disposition (moyennant finances) de leurs adhérents, ces fameuses plateformes de réceptifs…
En même temps, il y a de la place pour tout le monde, mais faut pas confondre Ibis et Peninsula (par exemple). Perso, mon choix est fait… mais faut pas rêver !
Chacun sa croix…