Plus de 40 000 emplois ont déjà été perdus dans le secteur du tourisme en Afrique du Sud, depuis le début de la pandémie - Photo CCO Counselling piwabay
Alors que la haute saison estivale pour l'Afrique du Sud s'étend de septembre à mars et représente 60% du chiffre d'affaires annuel touristique, le secteur privé du pays, dans le cadre du Tourism Business Council d'Afrique du Sud (TBCSA), plaide pour une réouverture en plusieurs phases du tourisme international dès septembre 2020.
Cette stratégie a été présentée aux autorités gouvernementales compétentes et prévoit un programme de réouverture échelonné, avec une phase de préparation initiale de 6 à 8 semaines, suivie de 3 phases d'essai en fonction des marchés et de leur niveau d'épidémie, avec, dans la 1ère phase, la mise en place de protocoles de sécurité rigoureux et une mise en avant des produits à faible contact et des zones à faible risque, traditionnellement à faible densité.
Dans la phase 2, l'Afrique du Sud ouvrirait davantage les marchés clés, élargirait les expériences proposées, jusqu'à la phase 3 où l'accès aérien serait entièrement ouvert et la destination pourrait relancer sa stratégie de croissance à plus long terme.
"Dans le même temps, l’Afrique du Sud devra se concentrer sur la poursuite de la création d’un environnement propice au tourisme, envisager davantage d'exemptions de visa, un système eVisa robuste et la libéralisation de l'espace aérien", indique Tshifhiwa Tshivhengwa, le CEO de TBCSA.
Pour rappel, le tourisme réceptif emploie plus de 375 000 personnes en Afrique du Sud et contribue à 8,7% des exportations.
"Plus de 40 000 emplois ont déjà été perdus dans le secteur du tourisme, et il est essentiel de préserver ceux qui restent", précise le TBCSA dans un communiqué.
Cette stratégie a été présentée aux autorités gouvernementales compétentes et prévoit un programme de réouverture échelonné, avec une phase de préparation initiale de 6 à 8 semaines, suivie de 3 phases d'essai en fonction des marchés et de leur niveau d'épidémie, avec, dans la 1ère phase, la mise en place de protocoles de sécurité rigoureux et une mise en avant des produits à faible contact et des zones à faible risque, traditionnellement à faible densité.
Dans la phase 2, l'Afrique du Sud ouvrirait davantage les marchés clés, élargirait les expériences proposées, jusqu'à la phase 3 où l'accès aérien serait entièrement ouvert et la destination pourrait relancer sa stratégie de croissance à plus long terme.
"Dans le même temps, l’Afrique du Sud devra se concentrer sur la poursuite de la création d’un environnement propice au tourisme, envisager davantage d'exemptions de visa, un système eVisa robuste et la libéralisation de l'espace aérien", indique Tshifhiwa Tshivhengwa, le CEO de TBCSA.
Pour rappel, le tourisme réceptif emploie plus de 375 000 personnes en Afrique du Sud et contribue à 8,7% des exportations.
"Plus de 40 000 emplois ont déjà été perdus dans le secteur du tourisme, et il est essentiel de préserver ceux qui restent", précise le TBCSA dans un communiqué.
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