En attendant, si jamais le conseil du « coach », lequel aura forcément « approuvé » un (ou plusieurs) prestataires ne répond pas aux attentes du client, vers qui celui-ci se retournera-t-il ? © klickerminth - Fotolia.com
Ça existe à tel point que de grandes maisons, style TUI ou Thomas Cook se sont penchées sur le problème.
Et même engagés certains de ces « consultants » qui ne sont ni plus, ni moins que des « commerciaux free-lance ». En gros, des apporteurs d’affaires, rémunérés à la commission par leur employeur, histoire de « booster » les ventes directes de tel ou tel voyagiste.
Une sorte de VRP du voyage, lesquels, je le suppose ne sont pas « multicartes ». Bon, même si ceci concurrence la distribution traditionnelle, rien à dire, après tout…
En revanche, et c’est là où la fronde de ce groupe d’agences de voyage mérite toute mon approbation, toutes ces nouvelles officines qui proposent des « conseils » de voyages au chaland, quitte à s’occuper pour eux de toutes les « formalités » paraissent parfois un peu glauques.
Curieusement d’ailleurs, ça me rappelle un peu cette vieille histoire d’il y a quelques années. Souvenez-vous, c’était une boîte dirigée par un nommé Pierre-André Romano, Twim Travel, lequel avait organisé un sacré business. Des « associés » collaborateurs qui travaillaient depuis chez eux en conseillant le grand public sur tel ou tel voyage…
On connait la suite : la plupart des collaborateurs (pardon, associés) y ont perdu toutes leurs plumes et de nombreux clients n’ont eu que leurs yeux pour pleurer un beau voyage jamais réalisé !
Et même engagés certains de ces « consultants » qui ne sont ni plus, ni moins que des « commerciaux free-lance ». En gros, des apporteurs d’affaires, rémunérés à la commission par leur employeur, histoire de « booster » les ventes directes de tel ou tel voyagiste.
Une sorte de VRP du voyage, lesquels, je le suppose ne sont pas « multicartes ». Bon, même si ceci concurrence la distribution traditionnelle, rien à dire, après tout…
En revanche, et c’est là où la fronde de ce groupe d’agences de voyage mérite toute mon approbation, toutes ces nouvelles officines qui proposent des « conseils » de voyages au chaland, quitte à s’occuper pour eux de toutes les « formalités » paraissent parfois un peu glauques.
Curieusement d’ailleurs, ça me rappelle un peu cette vieille histoire d’il y a quelques années. Souvenez-vous, c’était une boîte dirigée par un nommé Pierre-André Romano, Twim Travel, lequel avait organisé un sacré business. Des « associés » collaborateurs qui travaillaient depuis chez eux en conseillant le grand public sur tel ou tel voyage…
On connait la suite : la plupart des collaborateurs (pardon, associés) y ont perdu toutes leurs plumes et de nombreux clients n’ont eu que leurs yeux pour pleurer un beau voyage jamais réalisé !
Dominique Gobert - DR
Comme nous l’écrivons dans notre article, ces « coach » ne sont souvent que des voyageurs « passionnés », auto-entrepreneurs pour nombre d’entre eux, sans aucune immatriculation de la part d’Atout France et qui facturent des frais d’honoraires à leurs clients.
A charge pour ces derniers d’acheter la prestation proposée par tel ou tel voyagiste. On peut supposer aussi, sans être mesquin, que le voyagiste en question rémunère le « coach » plus ou moins grassement…
Certes, le sujet est loin d’être nouveau, mais à l’heure où le syndicat a entrepris, sous la houlette de Jacques Judeaux, une vaste entreprise de blanchiment de la profession, tout ceci fait parfois un peu désordre.
Certes, parmi toute cette cohorte de « coachs », certains revendiquent un rôle de « conseiller en voyage, tels TravelCoach ou Le Monde cousu main.
A charge pour ces derniers d’acheter la prestation proposée par tel ou tel voyagiste. On peut supposer aussi, sans être mesquin, que le voyagiste en question rémunère le « coach » plus ou moins grassement…
Certes, le sujet est loin d’être nouveau, mais à l’heure où le syndicat a entrepris, sous la houlette de Jacques Judeaux, une vaste entreprise de blanchiment de la profession, tout ceci fait parfois un peu désordre.
Certes, parmi toute cette cohorte de « coachs », certains revendiquent un rôle de « conseiller en voyage, tels TravelCoach ou Le Monde cousu main.
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Avec des arguments sérieux et je cite : « Nous n’intervenons jamais dans la vente de séjours et de packages, même à titre de conseil. Les voyages organisés par nos clients sont des voyages individuels qui assemblement classiquement plusieurs prestataires. (…) Concrètement, nous redirigeons les personnes à la recherche de séjours qui arrivent jusqu’à nous vers les agences de voyages car cela n’est ni notre cible ni notre activité ».
Et encore : « A aucun moment, nous n’entretenons la confusion avec les agences de voyages car ce n’est pas notre métier ni notre cible de clientèle ».
Pour finir : « Nous sommes prêts à partager ces compétences avec les agences pour les aider à affronter la transformation de leur marché dans une démarche vertueuse pour le secteur du voyage.
Enfin, nous appelons les pouvoirs publics à se saisir de ce sujet pour clarifier enfin ce débat et adapter le code du tourisme aux nouvelles pratiques et aux nouveaux métiers issus du monde digital et de l’économie de la connaissance. Nous souhaitons également être partie prenante de cette réflexion pour faire valoir les spécificités de notre activité ».
Bon. Voilà encore du boulot pour le se secrétariat d’état au tourisme…
En attendant, si jamais le conseil du « coach », lequel aura forcément « approuvé » un (ou plusieurs) prestataires ne répond pas aux attentes du client, vers qui celui-ci se retournera-t-il ?
Caramba...
Et encore : « A aucun moment, nous n’entretenons la confusion avec les agences de voyages car ce n’est pas notre métier ni notre cible de clientèle ».
Pour finir : « Nous sommes prêts à partager ces compétences avec les agences pour les aider à affronter la transformation de leur marché dans une démarche vertueuse pour le secteur du voyage.
Enfin, nous appelons les pouvoirs publics à se saisir de ce sujet pour clarifier enfin ce débat et adapter le code du tourisme aux nouvelles pratiques et aux nouveaux métiers issus du monde digital et de l’économie de la connaissance. Nous souhaitons également être partie prenante de cette réflexion pour faire valoir les spécificités de notre activité ».
Bon. Voilà encore du boulot pour le se secrétariat d’état au tourisme…
En attendant, si jamais le conseil du « coach », lequel aura forcément « approuvé » un (ou plusieurs) prestataires ne répond pas aux attentes du client, vers qui celui-ci se retournera-t-il ?
Caramba...