Top 5 : nous vous proposons de prendre de la hauteur

Besoin d'évasion ou approche des vacances ? L'aérien a grandement retenu votre attention cette semaine.

Test. Une fois n'est pas coutume commençons par l'information la plus agréable, et le voyage test de l'A330 neo. Le tout nouveau gros porteur du constructeur européen, qui a annoncé ce vendredi 22 juin 2018 quitter le Royaume-Uni, réalise actuellement une série de vols d'endurance afin de recevoir sa certification.

Notre expert de l'aérien a eu le privilège de pouvoir embarquer dans un des vols test, et découvrir les différentes classes de l'appareil sous les couleurs de TAP.

Antonoaldo Neves, P-DG de la compagnie portugaise de conclure "c’est un avion plus adapté à nos usages. Il va nous amener beaucoup de croissance sur l’Atlantique".

A lire : A330neo : j'ai testé pour vous le dernier Airbus de TAP Air Portugal (vidéo)

Nouveau modèle économique. Alors que TAP teste un nouvel appareil, l'avenir de l'aérien sera-t-il low-cost ? C'est en tout cas l'avis et la conviction des présidents des deux low-cost long-courriers françaises.

Selon Laurent Magnin, président de XL Airways France "quelque part, avec le low-cost long-courrier, le consommateur prend sa revanche." Au lieu de se laisser dicter sa conduite et devoir payer le prix fort, les clients ont la possibilité de bénéficier de petit-prix et maintenant sur l'ensemble du globe.

D'ailleurs, cette semaine Brussel Airlines propriété de Lufthansa lancé les vols vers l'Amérique du Nord, sans bagage en soute, un moyen d'attaquer les compagnies comme Norwegian.

Les initiatives dans ce sens sont de plus en plus nombreuses, pour Marc Rochet, le patron de French Bee, "je suis absolument convaincu que le modèle est promis à un grand avenir."

Seul l'avenir nous le dira, mais en attendant vous pouvez retrouver le passionnant débat en lisant : Low-cost long-courrier : "Si Air France disparaît, il faudra 3 mois pour la remplacer" d'après L. Magnin

Low-cost encore. Le consommateur ne prend pas toujours sa revanche et se trouve parfois prisonnier des compagnies à bas coût, enfin surtout de leur modèle économique.

Depuis fin avril, une grève paralyse presque chaque week-end des centaines d'avions dans toute la France et même en dehors. L'UNSA-ICNA actionnaire majoritaire dans le ciel provençale souffle le chaud et le froid dans la tour de contrôle d'Aix. Ce week-end une nouvelle grève va supprimer des centaines de vols.

Et si les commentaires des usagers du ciel français s'accumulent sur chacun des articles de TourMaG.com, ils ne sont pas les seuls puisque les voyagistes, tour-opérateurs et compagnies sont littéralement au bord de la crise de nerfs.

Pour tout comprendre du mouvement et de ses conséquences, lisez cet article : Contrôleurs aériens Marseille : les voyagistes du sud de la France au bord de la crise de nerfs

Grève encore. Belote, rebelote et dix der ? Le dernier préavis de grève a été levé par l'intersyndicale d'Air France, mais cela n'empêche pas la compagnie nationale de perdre du terrain et des clients à cause du mouvement pour une revalorisation salariale.

Si nombreux sont les perdants d'une telle situation, certains se frottent les mains. Au premier rang duquel se trouvent notamment ses concurrentes.

Il est encore trop tôt pour comptabiliser le manque à gagner, et les parts de marché conquises, mais d'ores et déjà les low-cost ont connu un pic des réservations qui pourrait se prolonger au-delà du mouvement, car pour bon nombre d'agents de voyages spécialisés dans le business travel Air France ne fera plus partie de leurs recommandations.

A lire : Grève Air France : les concurrents se frottent les mains...

Low-cost toujours. Même si les grèves des contrôleurs aériens d'Aix commencent à peser sur les compagnies se résolvant à supprimer des centaines de vols, Volotea va bien et vous remercie.

Cette semaine était spéciale pour la low-cost Espagnole, puisqu'elle fêtait ses 6 ans de présence à Nantes et par la même occasion son 3 millionième passager. En parallèle, Volotea mène une grande campagne de recrutement, avec pour objectif de trouver 250 perles rares, alors que pour le moment le staff se limite à presque 1000 personnes.

Pour recruter dans de telles dimensions, et à tous les niveaux, Volotea organise des journées de recrutement.

Retrouvez toutes les informations, dans l'article de notre spécialiste de l'emploi : Emploi : Volotea recrutera 250 personnes en 2018

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