
Anton Gschwennter, compte beaucoup, également, sur le récent rachat de Corse Voyages. Sur un plan aérien de 22 000 sièges, Travel Europe en aurait déjà vendu 13 000 et son tout nouveau directeur du Développement, Paul Bronte, un ex-NF/TUI, prévoit de finir l’exercice 2012-13 avec 20 000 pax ./photo Caroline Dherbey
Travel Europe va bien ; « modestement mais sûrement », confie Anton Gschwennter, Pdg, avec son frère Helmut, du groupe autrichien.
L’exercice clos au 31 mars dernier s’achève sur un bénéfice de 2,5 M €, pour 110 M € de chiffres d’affaires, en progression de 10 % par rapport au bilan 2010-2011, et 253 000 clients contre 203 000.
Sur le marché français, Visit Europe, filiale de Travel Europe, reste sans doute déficitaire de 150 000 €, mais c’est nettement mieux que les 0,4 M € du précédent exercice.
Avec un chiffre d’affaires de 22 M €, le TO conduit par Pascale Gaston enregistre un baisse de 15 % du nombre de ses clients, à 38 000 pax.
Il compense toutefois ce recul par une augmentation de ses marges, grâce notamment à la rationalisation de ses résa, mais en profitant aussi d’une hausse de son panier moyen.
Visit Europe a perdu des parts de marché sur les courts séjours et les week-ends » explique toutefois Anton Gschwennter, en évoquant la France, destination sur laquelle les ventes du TO ont chuté de 30 %…
L’exercice clos au 31 mars dernier s’achève sur un bénéfice de 2,5 M €, pour 110 M € de chiffres d’affaires, en progression de 10 % par rapport au bilan 2010-2011, et 253 000 clients contre 203 000.
Sur le marché français, Visit Europe, filiale de Travel Europe, reste sans doute déficitaire de 150 000 €, mais c’est nettement mieux que les 0,4 M € du précédent exercice.
Avec un chiffre d’affaires de 22 M €, le TO conduit par Pascale Gaston enregistre un baisse de 15 % du nombre de ses clients, à 38 000 pax.
Il compense toutefois ce recul par une augmentation de ses marges, grâce notamment à la rationalisation de ses résa, mais en profitant aussi d’une hausse de son panier moyen.
Visit Europe a perdu des parts de marché sur les courts séjours et les week-ends » explique toutefois Anton Gschwennter, en évoquant la France, destination sur laquelle les ventes du TO ont chuté de 30 %…
Madère a fait un bond de 20 % et la Croatie a gagné 40 %
Autres articles
-
Disparition d'Alexis Lacourt : une cagnotte ouverte en ligne
-
Faillite Travel Europe : Travel Partner veut accroître sa présence en France !
-
Faillite de Visit Europe : les voyages après le 28 février 2025 annulés
-
Alexis Lacourt (Visit Europe) nous a quittés
-
Travel Europe : "C'est triste de les voir disparaître" [ABO]
« Mais Madère a fait un bond de 20 % et la Croatie, où l’offre week-end à Dubrovnik sera reconduite en 2012-13, a gagné 40 %. »
Cependant, malgré des résultats financiers mitigés, l’opérateur autrichien ne regrette pas d’avoir racheté Visit Europe :
« Cela a été plus difficile qu’on ne l’imaginait », convient le Pdg de Travel Europe, « Mais stratégiquement, nous avons pris le bon chemin ; nous avons conservé un large référencement et récupéré des destinations, comme Madère par exemple, qui sont devenues de vrais centres de profit. »
Pour l’exercice 2012-13, Travel Europe est plutôt optimiste. Certes le groupe prévoit une baisse de 10 % sur son futur chiffre d’affaires, en grande partie à cause du marché espagnol, mais pour autant, il n’affichera aucune perte.
« Nous devrions finir avec un résultat net groupe de 1 M € et Visit Europe devrait arriver à l’équilibre » assure Anton Gschwennter, qui compte beaucoup, également, sur le récent rachat de Corse Voyages.
Sur un plan aérien de 22 000 sièges, Travel Europe en aurait déjà vendu 13 000 et son tout nouveau directeur du Développement, Paul Bronte, un ex-NF/TUI, prévoit de finir l’exercice 2012-13 avec 20 000 pax, du groupe à 80 %.
Ceci en s’appuyant sur Bastia pour proposer des séjours et surtout des circuits au choix, classiques, Nord-Sud ou bien « en étoile ». La Corse : encore un centre de profit pour Travel Europe ?
Pourquoi pas… Anton Gschwennter discuterait déjà avec des TO anglais.
Cependant, malgré des résultats financiers mitigés, l’opérateur autrichien ne regrette pas d’avoir racheté Visit Europe :
« Cela a été plus difficile qu’on ne l’imaginait », convient le Pdg de Travel Europe, « Mais stratégiquement, nous avons pris le bon chemin ; nous avons conservé un large référencement et récupéré des destinations, comme Madère par exemple, qui sont devenues de vrais centres de profit. »
Pour l’exercice 2012-13, Travel Europe est plutôt optimiste. Certes le groupe prévoit une baisse de 10 % sur son futur chiffre d’affaires, en grande partie à cause du marché espagnol, mais pour autant, il n’affichera aucune perte.
« Nous devrions finir avec un résultat net groupe de 1 M € et Visit Europe devrait arriver à l’équilibre » assure Anton Gschwennter, qui compte beaucoup, également, sur le récent rachat de Corse Voyages.
Sur un plan aérien de 22 000 sièges, Travel Europe en aurait déjà vendu 13 000 et son tout nouveau directeur du Développement, Paul Bronte, un ex-NF/TUI, prévoit de finir l’exercice 2012-13 avec 20 000 pax, du groupe à 80 %.
Ceci en s’appuyant sur Bastia pour proposer des séjours et surtout des circuits au choix, classiques, Nord-Sud ou bien « en étoile ». La Corse : encore un centre de profit pour Travel Europe ?
Pourquoi pas… Anton Gschwennter discuterait déjà avec des TO anglais.