Annoncés en décembre dernier, les « vols écologiques » et les « éco-atterrissages » SAS, avaient fait jazzer (LIRE) dans les commentaires. Il n'empêche, la Cie suédoise annonce à ce jour, 1500 eco-atterrissages été effectués avec les Boeing 737 à l’aéroport Arlanda et les premières expériences du genre pour cet automne sur les vols transatlantiques.
Selon un communiqué, « Les résultats ont montré qu’avec un Boeing 737, il est possible de réduire de 150 kilos en moyenne sa consommation en kérosène et d’environ 475 kilos l’émission de CO2 par atterrissage. Puisque les appareils long-courrier sont plus grands et plus lourds, la réduction en kérosène serait en moyenne de 200 à 300 kilos et de 600 à 950 kilos environ de CO2 par atterrissage. »
Lors d’une conférence au Salon International de l'Aéronautique et de l'Espace de Paris-Le Bourget, l’Union Européenne et la Federal Aviation Administration américaine (FAA) ont lancé une initiative commune pour harmoniser les vols transatlantiques et les rendre plus respectueux de l’environnement et plus économes en énergie.
Pour SAS et LFV, il s’agit d’une forme de reconnaissance. Les vols au-dessus de l’Atlantique Nord commenceront à l’automne 2007. Ils impliqueront également l’avionneur Airbus, afin de tester de nouvelles technologies à bord et la manière dont celles-ci pourront être améliorées en coopération avec les systèmes d’aviation au sol.
« Notre concept et notre technologie rendront la réalisation des « éco-atterrissages » plus facile et nous pensons qu’à l’avenir d’autres compagnies aériennes adopterons cette idée ainsi que nos méthodes de travail pour que d’autres aéroports principalement situés en Suède et dans les pays nordiques s’impliquent. Cela pourrait avoir un impact de taille également en Europe » a déclaré SAS.
Selon un communiqué, « Les résultats ont montré qu’avec un Boeing 737, il est possible de réduire de 150 kilos en moyenne sa consommation en kérosène et d’environ 475 kilos l’émission de CO2 par atterrissage. Puisque les appareils long-courrier sont plus grands et plus lourds, la réduction en kérosène serait en moyenne de 200 à 300 kilos et de 600 à 950 kilos environ de CO2 par atterrissage. »
Lors d’une conférence au Salon International de l'Aéronautique et de l'Espace de Paris-Le Bourget, l’Union Européenne et la Federal Aviation Administration américaine (FAA) ont lancé une initiative commune pour harmoniser les vols transatlantiques et les rendre plus respectueux de l’environnement et plus économes en énergie.
Pour SAS et LFV, il s’agit d’une forme de reconnaissance. Les vols au-dessus de l’Atlantique Nord commenceront à l’automne 2007. Ils impliqueront également l’avionneur Airbus, afin de tester de nouvelles technologies à bord et la manière dont celles-ci pourront être améliorées en coopération avec les systèmes d’aviation au sol.
« Notre concept et notre technologie rendront la réalisation des « éco-atterrissages » plus facile et nous pensons qu’à l’avenir d’autres compagnies aériennes adopterons cette idée ainsi que nos méthodes de travail pour que d’autres aéroports principalement situés en Suède et dans les pays nordiques s’impliquent. Cela pourrait avoir un impact de taille également en Europe » a déclaré SAS.